N'importe qui peut vous transformer en chatbot IA. Vous ne pouvez pas faire grand-chose pour les arrêter
Character.AI permet aux utilisateurs de créer des robots à l'image de n'importe quelle personne, sans avoir besoin de leur consentement.
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DC a conclu un accord avec GlobalComix, une société qui optimise les bandes dessinées pour qu'elles défilent verticalement. De Batman au Joker, tout le monde se dirige vers cette plateforme avec de grands projets sur la génération TikTok.
Le romancier Howard Jacobson a soutenu qu’une trop grande couverture médiatique des enfants palestiniens morts est une nouvelle forme de “calomnie du sang” contre les Juifs.
Le nouveau RPG de Studio Zero est une aventure gigantesque avec beaucoup à faire. Voici par où commencer.
Amélie Nothomb, l’autrice belge aux 20 millions de livres vendus, est l’invitée de Mouloud Achour dans Clique. À l’occasion de la sortie de son nouveau roman “L’impossible retour”, elle revient sur l’affection de ses fans, son attachement au Japon et son amour pour Mylène Farmer. Sa proximité avec ses lecteurs Le 21 août dernier, Amélie Nothomb publiait “L’impossible retour” aux Éditions Albin Michel. L’autrice écrit un ouvrage par an depuis 1991, ce qui fait de ce roman son 33ème. Malgré cette cadence effrénée, elle ne se repose jamais sur ses lauriers : “À chaque fois que je publie un livre, j’ai l’impression de remettre mon titre en jeu.” Repartir de zéro à chaque fois permet à Amélie Nothomb de garder les pieds sur terre, tout en abordant des sujets différents de roman en roman : “Mes livres sont de plus en plus graves.” Si l’autrice a toujours du succès aujourd’hui, c’est grâce à ses fidèles lecteurs. Pour elle, ils ne sont pas forcément acquis à sa cause. “J’ai de la gratitude envers mes lecteurs qui veulent bien de moi.” Grâce à la qualité de ses écrits, Amélie Nothomb a réussi à créer un véritable lien avec ceux qui lisent ses livres : “Mes lecteurs me connaissent très intimement.” Amélie Nothomb, seule dans son monde Durant toute sa carrière, l’autrice belge est toujours apparue comme quelqu’un d’à part dans les médias. Cette image lui colle à la peau, sans pour autant la déranger. Elle en est consciente et n’a aucun problème à assumer sa solitude : “Je ne suis pas très dîner en ville, donc je trouve toujours des excuses pour ne pas y aller.” Si elle accepte aussi facilement d’être seule, c’est aussi pour faire face à ses sentiments négatifs : “Je pense que je ne pourrais pas me délivrer de mes démons.” Le fait d’être seule dans son monde, elle le partage avec une autre artiste qu’elle apprécie grandement : Mylène Farmer. Amélie Nothomb a eu la chance de la rencontrer il y a presque 30 ans : “En 1995, le magazine Vogue Allemand m’avait dit ‘vous avez le droit de faire venir la personne que vous voulez rencontrer et on vous arrange une interview croisée.’ J’ai choisi Mylène Farmer et elle a accepté.” Les deux femmes finissent par passer la soirée ensemble. “C’était génial.” Sa passion débordante pour la Japon Amélie Nothomb a vécu une partie de son enfance au Japon. Elle était alors élevée par une nounou japonaise qu’elle a pu revoir lors d’un voyage il y a 12 ans. Cette anecdote touchante s’arrête là, puisque lorsqu’on lui demande des nouvelles de cette dame, elle répond : “J’en suis à un stade où je ne sais même si elle est en vie.” Grâce à sa vie au Japon, Nothomb a pu analyser la culture nippone et ses différences avec l’Europe. “Les Japonais ne disent pas ‘non’, ils refusent en utilisant des subterfuges verbaux.” Une société qui lui correspond parfois plus qu’en France ou en Belgique, notamment sur la notion du temps : “Les Japonais ont compris le temps. Le temps n’est jamais révolu, ce n’est ni le passé, ni le futur, c’est tout à la fois. Ce sont des gens qui vivent le temps dans sa véritable dimension.” Quand on aborde son avenir, Amélie Nothomb se voit continuer de publier des romans régulièrement. Pour elle, il n’est pas question de se faire concurrencer par les intelligences artificielles : “Historiquement, on sait que ce qui consomme moins perdure et je consomme beaucoup moins que l’intelligence artificielle.” L’interview d’Amélie Nothomb est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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Gravity, Les Fils de l'Homme, le meilleur film d'Harry Potter… et maintenant une mini-série en sept épisodes ? Avec Disclaimer, le réalisateur Alfonso Cuarón se lance à la conquête de la télévision au nom du cinéma.
Naza, le rappeur aux multiples singles de diamant, est l’invité de Clique. Connu pour sa joie de vivre infinie, il revient sur sa relation fraternelle avec Gradur et Loris Giuliano, ses nombreux tubes et son concert à venir à l’Accor Arena. Un rappeur au succès massif Naza a commencé sa carrière musicale il y a huit ans. Durant cette période, il a réussi à enchaîner hit sur hit, de “Sac à dos” en 2017 à “1,2,3 Soleil” avec Keblack en 2023. Une discographie bien remplie, malgré une petite période creuse : “Pendant 1 an et demi, je n’ai pas eu de gros singles, mais j’avais toujours des dates de concert.” C’est pendant ses shows que le rappeur de Creil voit l’impact de ses plus gros tubes. “Quand je chante ‘Mouiller le Maillot’ qui est sorti en 2017, on dirait qu’il est sorti hier !” Pour la première fois, Naza va se produire à l’Accor Arena, le 30 octobre 2025. Sachant que ses deux précédents concerts au Zénith de Paris et à l’Olympia se sont déroulés aussi un 30 octobre, on pourrait croire à une date symbolique. La réalité est tout autre : “Je ne suis pas un menteur : il n’y a rien de spécial ce jour-là.” Pourtant, le rappeur s’est attaché à cette date, si bien que même si elle n’était pas disponible en 2024, il la gardait pour son concert événement à l’Accor Arena l’année prochaine. Naza, le “Roi de la joie” Naza est connu pour sa musique, mais aussi pour ses blagues capables de faire rire n’importe qui. “Je suis l’artiste qui a le droit de tout faire.” Surnommé le “Roi de la joie”, il ne peut pas s’empêcher de rigoler, que ce soit sur son Snapchat avec ses amis ou même dans ses chansons, comme sa reprise humoristique de “Une souris verte”. Cet amusement constant, il le partage avec un collègue : Gradur. En plus de leur titre en commun “Ma petite”, les deux rappeurs sont inséparables dans la vie. En suivant leurs stories respectives, il est très facile d’imaginer les multiples fous rires qu’ils s’infligent à longueur de journée : “Quand je suis avec lui, on redevient des gosses. Nous sommes un duo incroyable.” En parallèle de ses albums et de ses concerts, Naza aimerait lancer son one-man-show, “mais c’est dur de faire rire les gens.” Cela fait plusieurs années que son grand frère l’incite à créer sa propre émission humoristique. Pour le choix de son invité, le rappeur voit les choses en triple : “Gradur, Keblack et Loris.” Ce projet, il y pense depuis un long moment, même si “la musique, ça prend du temps. Mais je garde ça dans un coin de ma tête.” Peut-être un lancement après son Accor Arena prévu pour l’année prochaine ? Affaire à suivre. L’’interview de Naza est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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Dans un cycle de trois épisodes réalisé par Kim Chapiron, Vincent Cassel découvre le berceau de la création d’Audemars Piguet, niché dans la Vallée de Joux, là où le temps semble s’être arrêté. Entre passé, présent et futur, cette aventure passionnante nous transporte au cœur d’un savoir-faire intemporel. Pour Audemars Piguet, Vincent Cassel se fait explorateur du temps. À la recherche de réponses à ses questions existentielles sur l’univers, il s’entretient avec l’astrophysicien Michel Cassé et le Directeur du Musée et du Patrimoine d’Audemars Piguet, Sébastian Vivas. Le Passé En pleine déambulation, Vincent Cassel se plonge dans le passé de la Manufacture, abritant depuis bientôt 150 ans nombre des plus grands artisans de l’horlogerie. C’est à la Maison des Fondateurs que débute le pèlerinage temporel de l’acteur, retournant aux origines de la création du temps. “Imaginez si les jours n’avaient pas de noms ?” – Sébastian Vivas L’astrophysicien Michel Cassé et le Directeur du Musée et du Patrimoine d’Audemars Piguet, Sébastian Vivas, nous invitent dans leur machine à remonter le temps. Il y a 4000 ans, en Mésopotamie, naissait la mesure du temps. Cette exactitude et justesse du temps sont réveillées par les pièces de collection et outils historiques de La Manufacture, multiples preuves d’un savoir-faire ancien, authentique et rigoureux. Un voyage dans l’histoire de l’horlogerie où murmure entre les couloirs un art précis et précieux, qui se transmet de génération en génération. Le Présent “La montre, machine magique que l’on a au poignet, nous fournit aussi des émotions.” Sébastian Vivas Pour se plonger au cœur de la magie d’Audemars Piguet, Vincent Cassel découvre les merveilles du Musée Atelier, où l’on peut admirer l’héritage des horlogers, sertisseurs, joailliers, graveurs et autres artisans. L’acteur trouve les réponses à ses questions dans le lieu où le temps se fabrique et se partage. Il découvre les prouesses technologiques de la Manufacture Audemars Piguet, là où la montre devient vecteur d’émotion. Avec Audemars Piguet, la maîtrise de la précision se transforme en art, puisant son inspiration dans l’histoire de la création du temps. Parfois trop lent, parfois trop rapide, le temps ressenti n’est jamais maîtrisé. L’heure devient alors le liant nécessaire entre les Hommes, pour vivre ensemble malgré la distance, la culture, la langue. Un élément unificateur régi par le soleil. C’est dans le puits de lumière du Musée que se dévoile la relation entre le corps humain, base de toutes les mesures, la création du temps et la maîtrise de ce dernier.
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