ACTUALITÉS

Les Français du Royaume-Uni pourront-ils venir en France à Noël ?

Peter Summers via Getty ImagesUne voyageuse dans le hall de l’Eurostar à St Pancras, Londres, le 20 décembre 2020 (Photo by Peter Summers/Getty Images) CORONAVIRUS – Plusieurs pays européens ont annoncé de dimanche 20 décembre la fermeture de leurs liaisons avec le Royaume-Uni, de nouveau reconfiné en partie, face à une nouvelle souche du coronavirus. Paris en a fait de même dans la soirée en annonçant une suspension pour 48 heures de toutes les circulations en provenance du Royaume-Uni. Tous les modes de transports sont concernés, passagers et marchandises y compris. Cette décision sème la pagaille pour les Français vivant outre-Manche et qui désiraient venir passer les fêtes de fin d’année dans l’Hexagone. Si ceux vivant à Londres et dans le sud-est de l’Angleterre avaient déjà interdiction de voyager dans le reste du pays et à l’étranger pour cause de reconfinement, ceux résidant dans le reste du pays pouvaient encore nourrir quelques espoirs. Et a priori tout n’est pas encore perdu. Une solution commune avec l’UE Dans son communiqué publié ce dimanche, Matignon rappelle que cette suspension est pour une durée de 48 heures, jusqu’au 22 décembre donc. Surtout, ce laps de temps, indique le cabinet de Jean Castex devra permettre d’’“ouvrir un temps de coordination” entre pays de l’UE “afin de définir une doctrine” commune. Il s’agit aussi de “préparer une réouverture sécurisée des flux en provenance du Royaume-Uni” qui s’appuiera “sur un dispositif de test obligatoire au départ”. Nous invitons l’ensemble des ressortissants français à réaliser un test PCR qui pourra être exigé pour toute entrée sur le territoire français à partir du Royaume-Uni, à l’issue du délai de précaution de 48 heures. pic.twitter.com/HRiIaZhOD9 — Jean Castex (@JeanCASTEX) December 20, 2020 “Nous veillerons particulièrement à la situation spécifique des ressortissants français qui ont prévu de rentrer en France…

ACTUALITÉS

La SNCF veut faire évoluer ses prix pour se remettre de la crise

ASSOCIATED PRESSLa SNCF mettra “environ deux ans” à retrouver son niveau de trafic avant crise et va simplifier sa tarification actuelle,  a déclaré Jean-Pierre Farandou, PDG du groupe ferroviaire français, lors d’un entretien au quotidien Les Echos publié jeudi en ligne. TRANSPORTS – La SNCF mettra “environ deux ans” à retrouver son niveau de trafic avant crise et va simplifier sa tarification actuelle,  a déclaré Jean-Pierre Farandou, PDG du groupe ferroviaire français, lors d’un entretien au quotidien Les Echos publié jeudi en ligne. “Les courbes (de trafic) repartent vers le haut, mais à vitesse lente”, affirme le patron de la SNCF pour qui “il reste des traces de la crise du Covid-19″.  “L’été s’est bien passé, mieux que ce que nous avions prévu au départ mais nous sommes un peu plus inquiets pour la clientèle affaires, qui représente en temps normal 15 % de nos clients et 30 % de notre trafic TGV Inoui mais davantage en termes de contribution”, détaille-t-il au quotidien économique. “Il nous manque des générateurs de trafic comme les grands salons professionnels, et le télétravail nous prive d’environ 10 à 15 % de la clientèle affaires”, poursuit-il, déplorant également un recul de “30 à 40% par rapport à la normale” du trafic TER (transport express régional, NDLR). Lutter contre le TGV “cher” Interrogé sur la politique tarifaire du groupe ferroviaire, Jean-Pierre Farandou a admis un problème concernant le TGV perçu comme un moyen de transport “cher”.  “Cet été, nous avons vendu 4 millions de billets à petits prix. Mais une partie de notre clientèle qui achète ses billets au dernier moment les jours de grands départs n’a pas accès à nos meilleurs tarifs. Nous devons réfléchir à une évolution de notre politique tarifaire, plus simple”, a-t-il avancé. “Dans les années 1990, avec l’essor du TGV, nous avons mis fin à…

ACTUALITÉS

Bison Futé: plus de 600km de bouchons pour le retour des vacances

BOUCHONS – Un pic de 646 kilomètres de ralentissements cumulés a été relevé par Bison Futé à la mi-journée de ce samedi 22 août, journée classée rouge au niveau national sur les routes de France dans le sens des retours de vacances. Les principales difficultés de circulation se situent sur l’autoroute A7 dans la vallée du Rhône, avec un trafic “extrêmement dense” depuis Orange (Vaucluse) en direction de Lyon, selon le centre d’information routière. Vers 12H15, le temps de parcours entre ces deux villes était de 03H10 contre 01H30 ordinairement. Les grands axes sont aussi chargés autour de l’arc méditerranéen (A61, A75, A8 et A9), de même dans le Sud-Ouest (autoroutes A10, A20, rocade de Bordeaux – A630) et dans le grand Ouest (N165, A11, N12, périphérique de Nantes – N844, rocade de Rennes – N136, et A13). Dans le sens des départs, la circulation est également difficile sur ces mêmes axes. La journée est classée orange au niveau national. A voir également sur Le HuffPost: Comprenez comment se forment les bouchons sur l’autoroute grâce à ce simulateur Source

ACTUALITÉS

Les “cars Air France” ne devraient pas reprendre

KeolisUn “car Air France” ici sur la place de l’Étoile à Paris. TRANSPORTS – “Le Bus Direct”, liaison par autocar entre Paris et ses aéroports suspendue depuis avril en raison de la crise sanitaire, ne devrait pas reprendre du service, a indiqué vendredi 14 août son exploitant Keolis. Autrefois appelé “Cars Air France”, ce service proposait quatre lignes entre la capitale et les deux principaux aéroports parisiens, Orly et Roissy/Charles de Gaulle (CDG). Il était exploité sans subvention par Keolis (filiale de la SNCF), qui avait passé un accord de visibilité avec Aéroports de Paris (ADP). La desserte d’Orly avait été suspendue le 1er avril à la fermeture de l’aéroport, puis celle de Roissy six jours plus tard faute de clients. “On a essayé de tenir au maximum, mais on n’avait plus personne sur nos lignes”, a raconté à l’AFP son directeur Jérôme Dupont. 180 employés Une réouverture était envisagée le 15 juin, mais la direction n’a pas trouvé d’accord avec les organisations syndicales, a-t-il ajouté, notant que la fréquentation des aéroports “demeurait extrêmement faible”.  Keolis a lancé en juillet un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) qui devrait être bouclé en décembre, selon Jérôme Dupont. “On a de quoi proposer des postes à tout le monde en Île-de-France” où Keolis a 400 postes à pourvoir, ou le cas échéant en province, a-t-il remarqué.  “Le Bus Direct” emploie 180 personnes, dont 160 conducteurs. À voir également sur Le HuffPost: Les salariés d’Air France ont “du mal à avaler” les suppressions de postes Source

ACTUALITÉS

Contre le coronavirus en Corée, des abribus innovants

CORONAVIRUS – La Corée du Sud a installé des abribus innovants pour lutter contre le nouveau coronavirus, équipés de caméras thermiques et de lampes à rayons ultraviolets pour permettre leur désinfection, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.  Dix arrêts de bus haute-technologie ont été installés dans un quartier du nord-est de Séoul afin de protéger les passagers de la pluie, de la chaleur estivale mais également du virus.  Avant de pénétrer dans ces abribus, les voyageurs doivent se tenir devant une caméra thermique et la porte ne s’ouvre que si leur température est inférieure à 37,5 degrés Celsius.  Une autre caméra destinée aux enfants a été installée en contrebas.  A l’intérieur de cet arrêt de bus qui ressemble à une large cabine vitrée, le système de climatisation est équipé de lampes à rayons ultraviolets destinées à éliminer le virus tout en rafraîchissant la température.  Chacun de ces abribus coûte quelque 100 millions de wons (71.000 euros). Un distributeur de gel hydroalcoolique a également été installé.  Les usagers sont invités à porter un masque et à se tenir à une distance d’au moins un mètre des autre passagers.  “Nous avons installé toutes les mesures anti-coronavirus auxquelles nous pensions”, a expliqué à l’AFP Kim Hwang-yun, un des responsables du projet Smart Shelter. Un réseau wifi gratuit est également proposé. Depuis leur installation la semaine dernière, chaque abribus a été utilisé quotidiennement par environ 300 à 400 personnes, a indiqué M. Kim. Les passagers peuvent s’assurer qu’ils ne rateront pas leur bus grâce à un écran qui affiche les heures d’arrivées estimées.  “Je me sens vraiment en sécurité ici parce que je sais que les personnes qui m’entourent ont subi tout comme moi un contrôle de température”, a expliqué à l’AFP Kim Ju-li, une femme au foyer de 49 ans,…

ACTUALITÉS

Un train déraille en Écosse et fait au moins trois victimes

TRANSPORTS – Le déraillement d’un train mercredi 12 août dans le nord-est de l’Écosse a fait trois morts, dont le conducteur, et six blessés, a indiqué dans un communiqué la police britannique des transports.  “Malgré les efforts des ambulanciers, trois personnes ont été déclarées mortes sur les lieux” dont le conducteur du train, a indiqué l’institution dans un communiqué, ajoutant que “six personnes” avaient par ailleurs été “emmenées à l’hôpital pour soigner des blessures qui, heureusement, ne sont pas considérées comme graves”.  Un peu plus tôt dans la journée, la Première ministre avait parlé d’un “incident extrêmement grave”. Devant le Parlement, Nicola Sturgeon avait précisé que le lieu était très difficile d’accès pour les services de secours”. C’est ce qui explique sans doute qu’il a fallu autant de temps pour avoir un premier bilan, le déraillement étant survenu peu avant 10 heures sur la ligne reliant Aberdeen à Glasgow. Toute la matinée, des volutes de fumée se sont dégagées des lieux de l’accident, survenu dans un vallon boisé, selon des images diffusées par la BBC, sur lesquelles le train n’était cependant pas visible. En début d’après-midi, un photographe de l’AFP a vu de nombreux véhicules de secours et un hélicoptère stationnant dans un champ voisin. Le Premier ministre britannique Boris Johnson s’est dit “attristé d’apprendre l’incident très grave dans l’Aberdeenshire”, transmettant ses “pensées” aux victimes. I am saddened to learn of the very serious incident in Aberdeenshire and my thoughts are with all of those affected. My thanks to the emergency services at the scene. — Boris Johnson (@BorisJohnson) August 12, 2020 Aucune piste n’a été officiellement évoquée concernant la cause de l’accident, mais des sources citées dans les médias britanniques mentionnent un possible lien avec les conditions météorologiques dans la région. De fortes chutes de pluie et des orages sont…

ACTUALITÉS

Coronavirus: 556 passagers testés dans les aéroports parisiens le 1er août

AFPComme ici à Roissy-Charles de Gaulle, 556 passagers en provenance de pays à risque ont été testés dans les aéroports parisiens le 1er août. CORONAVIRUS – Au premier jour de l’entrée en vigueur du contrôle sanitaire des voyageurs en provenance des seize pays à forte circulation du coronavirus, un total de 556 passagers ont été testés samedi 1er août dans les aéroports parisiens, selon le ministère de l’Intérieur. Depuis samedi matin, les passagers arrivant par avion et âgés de plus de 11 ans en provenance de seize pays ”à risque”, doivent présenter à leur arrivée “la preuve du résultat d’un examen biologique de dépistage virologique réalisé moins de 72 heures avant le vol, ne concluant pas à une contamination par le Covid-19”. Si le passager ne possède pas ce document, il est invité à se faire tester dans un espace aménagé dans l’aéroport. Une fois le test réalisé, il doit laisser ses coordonnées personnelles et peut continuer son voyage, en France ou en transit, explique le ministère de l’Intérieur dans un communiqué. Les passagers sont recontactés par les autorités sanitaires en cas de résultat positif et entrent ensuite dans le suivi de “contact tracing”. Les frontières avec ces pays à risque toujours fermées Lors de la première journée du dispositif, 2671 passagers sont arrivés à Roissy et Orly en provenance de pays sur la liste. Parmi eux, 556 ont dû être testés. Le dispositif dans les aéroports parisiens a notamment mobilisé 80 policiers aux frontières, cinq techniciens de recherche criminelle de la gendarmerie, 50 personnels de l’AP-HP et de l’Agence régionale de santé (ARS) Île-de-France et neuf pompiers. Par ailleurs, sur les contrôles effectués sur l’ensemble des aéroports français, seulement trois personnes ont refusé d’être testées à Lyon Saint-Exupéry, selon le ministère de l’Intérieur. Lire aussi: Face au coronavirus, la…

ACTUALITÉS

Les bouchons sur les routes atteignent leur pic à 760km sous un soleil de plomb

TRANSPORTS – Sous un soleil écrasant, le chassé-croisé entre “juillettistes” et “aoûtiens” n’a pas failli à la règle, avec un pic de bouchons cumulés de 760 kilomètres ce samedi 1er août, première journée de l’été classée noire dans le sens des départs. “Le pic des bouchons a été atteint à 12h10 avec un cumul des bouchons au niveau national de 760 kilomètres”, a annoncé Bison futé dans un communiqué. La situation est “conforme aux prévisions”, précise le site d’informations routières. Le pic est comparable au samedi équivalent du 3 août 2019 (762 km), et supérieur au samedi 25 juillet 2020 (609 km). Les principales difficultés de circulation enregistrées se situent sur les autoroutes A7, de Lyon à Marseille, et A10, entre Paris et Bordeaux. Un record inattendu de 955 km d’embouteillages avait été enregistré il y a 3 semaines. Du jamais vu en juillet. Ce samedi est aussi classé rouge au niveau national dans le sens des retours. “Les temps de parcours ont plus que doublé samedi sur l’autoroute A7 par rapport à la normale, en particulier vers Orange, Valence et Montélimar”, a précisé le site d’informations routières à l’AFP. Avec cette circulation surchargée dans la descente de la vallée du Rhône depuis le sud de Lyon jusqu’à Orange, les temps de parcours étaient par exemple vers midi de 05h10 au lieu de 1h30 d’habitude. Des itinéraires de délestage ont été mis en place. Un accident a par ailleurs entraîné samedi matin la coupure de l’A89 sur l’axe Bordeaux-Lyon. Et le mercure qui s’affole, avec des températures de 36 à 41 degrés, de la vallée du Rhône aux deux départements savoyards, rendait encore plus pénible la route des vacances. Treize départements étaient toujours placés samedi à la mi-journée en vigilance orange canicule par Météo France: l’Ain, l’Ardèche, la Côte-d’Or, le Doubs,…

ACTUALITÉS

Départs en vacances: samedi classé noir sur les routes

PHILIPPE DESMAZES via Getty ImagesLe trafic s’annonce plus que dense sur les routes ce week-end. TRANSPORTS – Juilletistes et aoûtiens s’apprêtent à se croiser sur les routes, pour le meilleur et surtout pour le pire. En ce week-end de chassé-croisé, Bison Futé voit noir sur les routes de France dans le sens des départs ce samedi 1er août.  Les difficultés vont d’ailleurs commencer dès la soirée de ce vendredi avec des difficultés prévues sur l’axe Dijon-Narbonne en passant par Lyon. Les sorties de l’Île-de-France tout comme celles de l’agglomération de Bordeaux s’annoncent particulièrement chargées. Dans le sens des départs samedi, Bison Futé conseille d’éviter l’A6 entre Beaune et Lyon, l’A7 entre Lyon et Salon-de-Provence, l’A9 entre Nîmes et Narbonne, ou encore l’ A10 à hauteur de Bordeaux. Pour ceux qui rentrent de vacances, l’organisme appelle à éviter l’A10 entre Bordeaux et Niort, l’A7 entre Lançon-de-Provence et Lyon, l’A9 entre Narbonne et Orange,  l’A71 à hauteur de Clermont-Ferrand, et l’A62 entre Toulouse et Bordeaux.  Bison FutéBison Futé voir noir sur les routes ce samedi Ce week-end de chassé-croisé se double par ailleurs d’une alerte orange canicule sur de nombreux départements. Alors que les températures atteignent des sommets ce vendredi, l’épisode devrait se prolonger samedi de la vallée du Rhône aux Savoie, a précisé Météo-France. Localement, la nuit n’offrira pas de répit: on attend notamment pas moins de 23 à 25°C en métropole lyonnaise ou grenobloise dans la nuit de vendredi à samedi.  Du Cher au Nord en passant par le Bassin Parisien, la vigilance orange concerne aussi des orages, attendus dans l’après-midi et en soirée, avec un risque de grêle et des rafales de vent localement violentes.  Bison Futé recommande d’éviter “de circuler aux heures les plus chaudes de la journée”, vendredi comme samedi, de protéger le véhicule du soleil, de boire régulièrement de…

ACTUALITÉS

Port du masque: À Dijon, un conducteur de tram agressé, deux mineurs en garde à vue

AFPPlusieurs conducteurs de bus ou de tram en France ont été agressés pour avoir voulu faire respecter l’obligation du port du masque dans les transports (Image d’illustration: le 3 juillet à Bordeaux). MASQUE – Deux mineurs étaient en garde à vue ce vendredi 31 juillet après avoir frappé la veille au soir à Dijon un conducteur de tram qui leur demandait de porter leurs masques de protection contre le coronavirus, selon des sources concordantes. “Deux mineurs sont actuellement en garde à vue pour agression de chauffeur”, a indiqué à l’AFP le parquet de Dijon, sans donner plus de précisions sur ces agresseurs présumés. “Une enquête est en cours”, a ajouté de son côté la direction départementale de la sécurité publique de Côte d’Or. Des échanges verbaux, puis des échanges de coups L’incident a eu lieu jeudi vers 18h30, en centre-ville de Dijon. “Le conducteur est sorti de sa cabine. Il a rappelé les consignes du port de masque obligatoire aux voyageurs. Il y a eu des échanges verbaux, puis des échanges de coups. Il a été frappé au visage, le nez ensanglanté”, a raconté à l’AFP Frédéric Pissot, délégué CGT du réseau de transports Divia, confirmant une information de France Bleu Bourgogne. Le respect des gestes barrières a déjà suscité des “invectives, des menaces” à l’encontre d’agents du réseau qui couvre la métropole de Dijon, “mais c’est la première fois qu’il y a des coups”, a affirmé Frédéric Pissot. Les pompiers ont confirmé à l’AFP avoir pris en charge jeudi soir un agent de Divia de 52 ans et transféré le “blessé léger” à l’hôpital. “On est relativement inquiet”, a noté Frédéric Pissot, soulignant que “la CGT (avait) demandé le retour de tous les véhicules au dépôt le soir-même” de l’agression, ce que la direction n’a pas voulu accepter. Contactée par…