Quel est le plan du cabinet de Donald Trump pour l’Amérique
Matt Gaetz a “été à Washington pour tout brûler”, déclare l’écrivain de la rédaction Dexter Filkins. “Et il a été remarquablement réussi.”
Matt Gaetz a “été à Washington pour tout brûler”, déclare l’écrivain de la rédaction Dexter Filkins. “Et il a été remarquablement réussi.”
J’avais une soif intarissable d’être seule. La solitude ne me pesait pas, mais elle avait un goût nouveau. J’ai lancé « Post break-up sex » dans mon casque, et me suis enfoncée dans l’obscurité de la nuit et de mon chagrin.
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J’avais une soif intarissable d’être seule. La solitude ne me pesait pas, mais elle avait un goût nouveau. J’ai lancé « Post break-up sex » dans mon casque, et me suis enfoncée dans l’obscurité de la nuit et de mon chagrin.
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On se souvient qu’en 2017, peu de temps après avoir été élu président de la République, Emmanuel Macron classait les humains en deux catégories, « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien ». La maxime fit un peu scandale au pays de l’égalité (proclamée).
La désinformation politique ciblée générée par l'IA existe déjà, et les humains y succombent.
via Associated PressUn centre de vaccination à Lille, le 27 janvier 2022 CORONAVIRUS – “Dans le contexte d’une septième vague épidémique”, la Haute autorité de santé (HAS) s’est prononcée, ce vendredi 22 juillet, contre la réintégration des soignants non vaccinés contre le Covid-19, en réponse à une saisine du ministère de la Santé. Son avis est crucial en plein débat sur l’opportunité de permettre aux non-vaccinés de reprendre leur activité. La HAS, dont les avis servent de base aux décisions de santé publique du gouvernement, se dit “favorable au maintien de l’obligation de vaccination contre [le] Covid-19 des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux”. #Covid19 | Dans le contexte d’une 7e vague épidémique, au vu de l’efficacité des vaccins et des incertitudes concernant la suite de l’épidémie, la HAS considère que cette obligation vaccinale participe à une meilleure protection des + vulnérables. 👉https://t.co/rc0GiDiZMv — Haute Autorité de santé (@HAS_sante) July 22, 2022 Un certain nombre, certes très minoritaire, se voient donc interdits d’exercer leur activité, car ils ne sont pas vaccinés. Mais les dernières semaines ont été marquées par une recrudescence de débats, en particulier dans la sphère politique, sur l’opportunité de les réintégrer. Les partisans d’une réintégration font valoir que les vaccins anti-Covid ont perdu beaucoup de leur efficacité contre la transmission de la maladie, bien qu’ils restent protecteurs sur le plan individuel contre les formes graves. Un avis en faveur de la protection des “plus vulnérables” Dans ce contexte, l’avis de la HAS revêt une grande importance car les parlementaires viennent de décider jeudi qu’une éventuelle réintégration des soignants interviendrait dès que l’autorité donnerait son accord. Mais ce feu vert n’est pas à l’ordre du jour. “Les données ne sont pas de nature à remettre en cause aujourd’hui cette obligation vaccinale”, juge la HAS. Celle-ci…
COVID – Un risque inutile. En France, la 7e vague de coronavirus se confirme un peu plus chaque jour, sans signe de ralentissement. Comme toujours depuis le début de la pandémie, les personnes les plus à risque de développer une forme grave de la maladie sont les seniors et les individus en situation d’immunodéficience. Des publics qui, depuis le mois d’avril, traînent des pieds pour aller se faire à nouveau vacciner. Depuis le printemps, en effet, les plus de 60 ans sont éligibles à un nouveau rappel vaccinal si leur dernière injection date de plus de six mois. Une protection dont pouvaient déjà bénéficier les plus de 79 ans depuis le début du mois de mars. Mais voilà, la campagne de vaccination n’avance que très lentement, alors que les départs en vacances d’été devraient encore ralentir -voire stopper- ce mouvement vers la vaccination facultative. “La couverture vaccinale pour les doses de rappel reste notablement insuffisante”, alerte ainsi Santé Publique France dans son dernier rapport hebdomadaire. “Au 20 juin”, précise le rapport, “environ un tiers des 60 ans et plus éligibles à la seconde dose de rappel l’avaient effectivement reçue”. Des chiffres faibles, avec un rythme de vaccination bien timide, n’atteignant pour le moment jamais les 50.000 vaccinations quotidiennes, malgré une augmentation depuis plusieurs jours. Les Français, en tous cas ceux concernés par ce second rappel, boudent donc le retour de l’aiguille. Mélange de lassitude devant une pandémie qui n’en finit pas et de confiance devant le faible nombre de décès depuis l’hiver 2022? Face à la maladie, la prudence en tous cas devrait être de mise. “Aucune raison de procrastiner” “Je ne vois aucune raison de procrastiner pour recevoir son vaccin si l’on est éligible à un rappel”, alerte ainsi l’épidémiologiste Antoine Flahault au HuffPost. D’abord pour une raison simple: le…
Lukas Barth via ReutersFace à la 7e vague de Covid, Alain Fischer bat le rappel de la vaccination pour les plus de 60 ans. CORONAVIRUS – Face à la septième vague de Covid-19, le professeur Alain Fischer, président du conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, appelle à nouveau les plus de 60 ans et les personnes fragiles à se faire administrer leur deuxième rappel de vaccination, dans une interview publiée ce 26 juin dans le Journal du Dimanche. “Malgré l’effet cumulatif des injections et des infections, le niveau de protection (de ces populations, ndlr) n’est plus optimal”, ajoute le “Monsieur vaccins” du gouvernement. “Par ailleurs, les vaccins restent sûrs: il n’y a pas plus d’effets secondaires lors d’une quatrième dose.” Pour Alain Fischer, “c’est simple, il faut que les 8,5 millions de Français éligibles qui ne l’ont pas encore reçue se rendent chez leur pharmacie ou chez leur généraliste”. “Une piqûre deux fois par an, ce n’est pas si terrible!”Alain Fischer Il met en avant “les données [qui] montrent qu’avec une quatrième dose le taux d’anticorps neutralisants remonte au même niveau qu’après la troisième”, ainsi “la protection contre les formes graves est donc rétablie à plus de 90% pour un certain nombre de mois”. “Franchement, une piqûre deux fois par an, ce n’est pas si terrible!”, a-t-il dédramatisé. #Vaccination | Pour se protéger du #COVID19, il est recommandé de faire une nouvelle dose de rappel :👉 6 mois après le premier rappel de 60 à 79 ans👉 3 mois après le premier rappel à partir de 80 ans📲 Pour en savoir plus ⤵ — Ministère des Solidarités et de la Santé 🇫🇷 🇪🇺 (@Sante_Gouv) April 19, 2022 En avril, Olivier Véran, alors ministre de la Santé, avait annoncé l’ouverture de la quatrième dose aux personnes âgées de 60 ans et plus, sans…
SANTÉ – Le 11 mai 2020, le gouvernement français entamait la levée du confinement, après la fin de la 1ère vague de Covid-19. Deux ans plus tard, la cinquième vague de coronavirus est en pleine décrue, mais la pandémie de coronavirus est malheureusement loin d’être finie. Exemple le plus récent: l’Afrique du Sud, premier pays touché par Omicron en novembre, voit son nombre de cas exploser à nouveau avec l’hiver austral. C’est dans ce contexte que les États-Unis organisent ce jeudi 12 mai un second sommet mondial sur le Covid-19. Objectif: permettre “de redoubler nos efforts collectifs pour mettre fin à la phase aiguë de la pandémie et se préparer aux futures menaces sanitaires”, selon la Maison-Blanche. Si les vaccins ont (très) grandement diminué le risque de forme grave de Covid-19, ceux-ci n’ont pas pas permis de stopper la transmission du virus et, corolaire, ses mutations. Pour véritablement “mettre fin” à la pandémie, il faudrait surtout que les nations du monde investissent plus clairement dans un autre traitement préventif: le vaccin nasal ou muqueux. “Plusieurs études montrent que les vaccins classiques, intramusculaires, produisent très peu d’anticorps au niveau des muqueuses”, explique au HuffPost l’immunologiste Morgane Bomsel. Or, les muqueuses (l’intérieur du nez, de la bouche, etc.), c’est justement par là que le virus s’introduit dans l’organisme… et en sort pour infecter d’autres personnes. “Cela renforce l’idée qu’un vaccin par voie muqueuse pourrait être bien plus efficace que ceux par injection pour diminuer la transmission”, estime la chercheuse. Bloquer la porte d’entrée du virus Les vaccins nasaux sont rares, mais pas inédits. Il en existe d’ailleurs un pour la grippe, approuvé en Europe, aux États-Unis et dans plusieurs pays d’Asie. Quel intérêt? Un virus nous touche en deux temps: d’abord la contamination via les muqueuses et, ensuite, l’invasion, c’est-à-dire le passage du…
Lukas Barth via ReutersLa 4e dose de vaccin contre le Covid ouverte aux plus de 60 ans CORONAVIRUS – La deuxième dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 va être ouverte aux personnes âgées de 60 ans et plus, dont la dernière injection remonte à plus de six mois, a annoncé ce jeudi 7 avril le ministre de la Santé Olivier Véran. “Nous allons pouvoir ouvrir cette 2e dose de rappel pour les Français âgés de 60 ans et plus s’ils sont à six mois de leur dernière injection de rappel”, sans qu’elle devienne obligatoire, a indiqué le ministre sur la radio RTL. Jusqu’ici, cette dose était réservée aux personnes de 80 ans et plus, une annonce faite par Jean Castex mi-mars face au rebond de la pandémie. Notre objectif, c’est de maintenir une protection optimale face au virus, pour les personnes les plus fragiles. Ainsi, les personnes âgées de 60 à 80 ans pourront si elles le souhaitent recevoir un nouveau rappel, 6 mois après le précédent. pic.twitter.com/R4S5i63hZR — Olivier Véran (@olivierveran) April 7, 2022 Au cours de l’entretien sur RTL, le ministre de la Santé a fait valoir “qu’une injection de rappel, quand on a 60 ans et plus, réduit de 80% le risque d’hospitalisation, de réanimation et de décès”. “Même si ce risque est moins élevé aujourd’hui qu’il l’était avec les variants précédents et lorsqu’il n’y avait pas de couverture vaccinale, il y a un risque résiduel. On peut le réduire par quatre, donc on le propose”, a-t-il ajouté, s’appuyant sur une recommandation de la Haute autorité de santé. Cette mesure, qui n’est donc pas obligatoire, concerne 500.000 Français de 60 ans et plus qui sont à six mois ou plus de leur dernière injection, a précisé Olivier Véran. “En période de circulation du virus, c’est autant…
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