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François Civil : “Je me suis branché très tard à la vie” – Clique.tv
François Civil est à l’affiche du film “L’amour ouf”. Invité sur le plateau de Clique, l’acteur revient sur ses débuts dans le cinéma, sa sensibilité et sa relation étroite avec Gilles Lellouche. “L’amour ouf” : le projet fou de Gilles Lellouche Dans “L’amour ouf”, en salles le 16 octobre, François Civil incarne Clotaire, un jeune homme issu d’un quartier défavorisé dans les années 80. Sa rencontre avec Jackie, campée par Adèle Exarchopoulos, lui apprend l’amour et la puissance des sentiments. Un long-métrage ambitieux et intense tiré du roman éponyme de Neville Thompson. Pour François Civil, ce film est très particulier. “Il y avait quelque chose d’extraordinaire à explorer avec ce personnage, autant dans sa lumière que dans son obscurité, dans sa violence que dans son amour, dans sa poésie que dans sa crasse.” C’est la dualité du personnage et la complexité de ses émotions qui ont inspiré François Civil dans l’appréhension du rôle. Il s’agit de sa deuxième collaboration avec Gilles Lellouche sur un plateau, rencontré lors du tournage de “Bac Nord”. François Civil exprime son admiration pour l’acteur et réalisateur qu’il considère comme “un mec généreux, humain et fort qui coche toutes les cases du grand acteur.” Sa sensibilité artistique François Civil n’a pas voulu suivre le chemin de ses parents, deux universitaires, et, à l’adolescence, il s’est tourné vers l’art. “J’avais besoin de faire quelque chose de mes mains : du skate, de la basse…” C’est ce côté touche à tout qui l’a mené à se diriger vers la comédie, énergisé par l’euphorie de faire rire sa classe lors d’une petite représentation en cours de français. L’anecdote raconte qu’il a commencé le théâtre pour suivre une fille qui lui plaisait : “mais si elle avait fait de la gym, je n’y serais pas allé.” ironise-t-il. Souvent rattaché à son physique avantageux, François Civil revient sur cette image qui lui est attribuée : “J’essaye de me protéger un peu de ce qu’on projette sur moi.” L’acteur ne veut pas se laisser définir par son apparence et souhaite se concentrer sur ses rôles et la profondeur de ses personnages. Sa sensibilité l’accompagne au quotidien et dans l’élaboration de ses rôles. Grand anxieux, il a conservé ses craintes et ses inquiétudes des débuts. “Si on se met pas en danger dans n’importe quelle création artistique, on passe à côté de la substance.” Il considère cette peur comme un moteur à son travail d’acteur. “L’amour ouf” sort en salles le 16 octobre. L’interview de François Civil est disponible en replay sur myCANAL.
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À Medellin, avec les ultras qui ont pris la voie du supportérisme social
Il est midi quand je franchis le portail de la maison de Juan Esteban Mosquera. Il fait 35 degrés et je viens de débarquer à Envigado, en pleine banlieue sud de Medellin. Dans l’arrière-cour, je retrouve les membres de Pueblo Verdolaga, une faction de supporters de l’Atletico Nacional, la principale équipe de foot de la ville. J’étais tombé sur Juan Esteban par hasard, en fouillant sur Facebook. Au culot, je lui avais envoyé un message, dans le but de comprendre un peu mieux la ferveur qui anime les Colombien·nes et essayer de profiter de mon passage en Amérique latine pour vivre de près leur folie footballistique. Pour montrer patte blanche, je lui avais expliqué que j’étais moi-même supporter de l’Olympique de Marseille et que le monde des ultras, ça me connaît. Sans trop de doutes, il m’avait donc invité à le rejoindre chez lui, pour confectionner le tifo du prochain match et parler ballon. Le rêve de tout aficionado. C’est quand il a quitté son ancien boulot dans la comm’ pour reprendre des études en ingénierie sociale que Juan Esteban a fondé Pueblo Verdolaga. « L’Atletico Nacional c’est un projet de vie pour moi, me dit-il. Je me réveille pour mon club et pour mon groupe. Ce que je vais faire pendant la semaine a toujours un lien avec mon club, avec mon maillot. » Ces dernières décennies, le football a connu son lot de bullshit, qui a participé à ternir son image. Entre les Coupes du Monde scandaleuses, la FIFA et son penchant pour la corruption, le racisme dans les stades et j’en passe, le ballon rond est loin de ressembler au sport populaire et social d’antan. Pourtant, ça reste un monde hors-normes. Grand fan depuis mon plus jeune âge, j’essaye tant bien que mal, grâce à mes écrits…
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