À l’intérieur de l’industrie florissante du ‘pimping’ d’IA
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
Talonner un robotaxi pendant des heures et des heures est bizarre. Et révélateur. Et suscite la jalousie. Mais un monde sans conducteur arrive pour nous tous. Alors ferme la porte et boucle ta ceinture.
Les cartes des récents incendies dans la région ressemblent à celles de la Californie en août, avec des centaines de points rouges.
Une affaire de fraude civile révèle que les stations de ravitaillement en hydrogène promues par Toyota, Shell et Chevron n’ont jamais fonctionné au départ.
En Inde, l’un des pays les plus polyglottes du monde, le gouvernement souhaite que plus d’un milliard de personnes adoptent l’hindi. Un chercheur pense que ce serait une perte.
Si j’avais proposé plus tôt que nous invitions quelqu’un coincé à venir avec nous à New York, Hugh aurait dit non. Mais maintenant, il n’y avait vraiment aucun moyen pour lui de se désister.
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Grâce au Qi2, il existe beaucoup plus de super chargeurs pour votre téléphone MagSafe que jamais auparavant. La charge sans fil est moins efficace que de brancher un câble, mais elle est certainement pratique — surtout quand vous ajoutez des aimants. La plupart des personnes ayant un iPhone 12 ou ultérieur et voulant un chargeur magnétique devraient opter pour un chargeur Qi2. Tout chargeur certifié Qi2 chargera un iPhone MagSafe à une puissance allant jusqu’à 15W — aussi rapidement que MagSafe sur n’importe quel téléphone sauf l’iPhone 16. Les chargeurs Qi2 sont également moins chers que ceux certifiés MagSafe, et il existe beaucoup plus d’options. Et contrairement à MagSafe, le Qi2 est une norme ouverte. Actuellement, il n’y a qu’un seul téléphone Android compatible Qi2 — le HMD Skyline — mais nous nous attendons à ce que Google, et peut-être Samsung, ajoutent le Qi2 aux téléphones en 2025. Le Qi2 apporte une simplicité tant attendue à l’écosystème de la charge magnétique. Les options qui consistaient autrefois en chargeurs certifiés MagSafe (fabriqués ou sous licence par Apple, capables de charger à 15W sur les iPhones) et des chargeurs “compatibles MagSafe” (fabriqués par des tiers, capables de charger à 7.5W sur les iPhones) sont maintenant remplacées par le Qi2. À moins que vous ne puissiez obtenir une bonne affaire ou que vous ayez un iPhone 16, le seul chargeur certifié MagSafe qui vaut encore la peine d’être considéré est le nouveau puck d’Apple. Les iPhones de la série 16 peuvent charger à une puissance allant jusqu’à 25W avec le nouveau chargeur, et uniquement avec ce nouveau chargeur. Le nouveau chargeur est également certifié Qi2, donc cela vaut la peine d’être considéré cette fois-ci. Il y a peu de raisons d’obtenir un chargeur “compatible MagSafe” à moins que vous ne soyez un utilisateur…
Les images de guerre et de conflits domestiques de Peter van Agtmael sont saisissantes et presque cinématographiquement épurées, mais c’est l’arc narratif soigneusement construit de son nouveau livre, “Look at the U.S.A.”, qui approfondit l’expérience du spectateur.
Gibles, une petite commune de 580 habitants dans le département de Saône-et-Loire, a failli perdre sa dernière boutique, la boulangerie-épicerie située sur la place du marché que ses propriétaires désiraient céder depuis dix-sept ans. Les habitants de ce village de Bourgogne-Franche-Comté auraient alors été contraints de prendre la voiture et de parcourir au moins dix minutes pour se ravitailler.
Cependant, le commerce a trouvé des nouveaux propriétaires et a rouvert ses portes en juin dernier après plusieurs mois de travaux. Chez Cocotte propose désormais un pain principalement élaboré avec des farines anciennes, locales et biologiques, ainsi que des produits d’épicerie majoritairement issus de l’agriculture biologique. Le projet n’aurait pas pu se concrétiser sans l’intervention de Villages vivants, une coopérative immobilière rurale et solidaire.
Cette dernière, dont la mission est de faciliter l’implantation de commerces et de lieux de convivialité dans les villages, a en effet acquis les murs et le fonds de commerce pour les louer à ses repreneurs qui n’avaient pas les moyens de cette acquisition. Le coût de cet achat : 80 000 euros, auxquels s’ajoutent 265 000 euros de travaux.
Un bâtiment à Meximieux dans l’Ain pour une association de citoyens autour d’un projet d’alimentation durable, une ressourcerie en Lozère pour réparer des objets… Depuis sa création en 2018, Villages vivants a acquis 24 lieux pour y implanter des activités à fort impact social.
Le loyer payé par les initiateurs de projet est « calculé pour être soutenable », précise Anne-Sophie Daudon, responsable de l’accompagnement des projets ESS de Villages vivants. De plus, durant la première année, ils n’ont souvent pas de loyer à régler.
Villages vivants est une société coopérative d’intérêt collectif (Scic) qui regroupe dans son sociétariat des citoyens, des collectivités et des locataires. Elle emploie maintenant quinze salariés, qui sont urbanistes, architectes ou issus du secteur du bâtiment. Depuis ses débuts, la Scic a levé plus de 2,5 millions d’euros auprès de fonds d’investissement éthiques, de l’État, de la Banque des territoires, de fondations, etc.
En Occitanie, la Scic Bien commun travaille également à la revitalisation des villages et des petites villes. À Cazes-Mondenard, commune de 1 195 habitants du Tarn-et-Garonne en manque cruel de petits logements pour personnes à revenus modestes, elle porte par exemple le projet de rénovation de la maison Mazet. Celui-ci proposera à partir de l’automne 2025 huit appartements à prix abordables destinés aux jeunes et aux seniors autonomes. Au rez-de-chaussée, le bâtiment abritera une épicerie multiservices.
Établie l’année dernière, la Scic fonctionne comme une foncière : elle acquiert et rénove de manière écologique des bâtiments en dégradés au cœur des bourgs pour les louer à des tarifs abordables sous forme de logements et de locaux d’activité. Mais elle agit également comme bureau d’études, mettant des ingénieurs à la disposition des collectivités locales, réalisant des diagnostics territoriaux, et travaillant sur la mixité des usages ainsi que sur la faisabilité architecturale, juridique et financière de leurs projets de réhabilitation de leur patrimoine.
Les huit salariés de la coopérative font partie de son sociétariat, aux côtés de financeurs comme France active et de collectivités comme la commune de Cazes-Mondenard.
Outre les subventions des collectivités, la Scic a levé des fonds via la plateforme citoyenne lita.co, où les épargnants investissent leur argent pendant plusieurs années en sachant qu’il sera dirigé vers des projets engagés.
A Poix-Terron, petite commune des Ardennes comptant près de 900 habitants, un tiers lieu devrait voir le jour en 2025 dans une ancienne halle de marchandises de la SNCF. La locomotive occupera un espace d’environ 400 m2 pour 9 000 m2 de zone extérieure. On y trouvera des espaces de biodiversité, une voie verte, une ressourcerie, des jardins partagés… ainsi que des activités axées sur la formation, l’emploi, l’alimentation et le développement durable.
En attendant, un espace de préfiguration de 100 m2 est accessible au public, proposant déjà un fab lab, des lieux de restauration, de formation, de conférences, des animations culturelles locales, un club photo… Environ 300 personnes par mois viennent le découvrir.
Pour le porteur du projet, la Fédération des familles rurales des Ardennes, qui gère de nombreuses crèches et centres de loisirs, il s’agit d’explorer de « nouvelles formes de lien social », explique Thibault Pay, directeur de l’association Pix’in-La locomotive, qui supervise le tiers lieu. Cette dernière, qui compte trois salariés, bénéficie du soutien de l’État, de la région et de fondations privées. Toutefois, c’est la commune de Poix-Terron qui finance les travaux et a déjà engagé 2 millions d’euros pour la réhabilitation du site.
POUR ALLER PLUS LOIN :
Le débat « Les campagnes sont-elles vraiment abandonnées par l’État ? », le vendredi 29 novembre à 14 h 30 aux Journées de l’économie autrement, à Dijon. Voir le programme complet de cet événement organisé par Alternatives Économiques.
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