À la COP29, le soleil se couche sur le leadership climatique des États-Unis
Juste combien une seconde administration Trump sera mauvaise pour la politique climatique reste à voir, mais les scénarios les plus probables sont tous assez sombres.
Juste combien une seconde administration Trump sera mauvaise pour la politique climatique reste à voir, mais les scénarios les plus probables sont tous assez sombres.
Image : Laura Normand / The Verge Le second mandat de Donald Trump indique des évolutions majeures pour l’IA, la crypto et la politique des véhicules électriques. Quand Donald Trump sera réélu président en janvier 2025, il contrôlera la régulation d’une industrie technologique qui a considérablement évolué depuis le début de son premier mandat en 2017. L’élan initial de l’industrie technologique avec le gouvernement américain s’est estompé, et Trump, avec son successeur Joe Biden, a pris une posture critique vis-à-vis des dirigeants technologiques, bien que pour des raisons divergentes. Les agents antimonopole des deux camps ont initié certaines des premières actions significatives contre les monopoles technologiques depuis plusieurs décennies. À présent, l’industrie technologique a assimilé ces changements. Beaucoup de PDG ont jeté un regard rétrospectif sur les huit dernières années de tensions technologiques et semblent en conclure qu’ils doivent se montrer aussi apolitiques que possible – bien qu’ils soient prêts à faire du lobbying dans l’ombre. Parallèlement, certains parient que se rapprocher de Trump pourrait être avantageux – un risque qui semble porter ses fruits. Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, qui avait été menacé par Trump d’un emprisonnement, a salué l’attitude du président élu suite à une tentative d’assassinat et a maintenu de bonnes relations avec les républicains sur les décisions de modération de contenu de Meta. Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et propriétaire du Washington Post, a cessé son soutien à Kamala Harris dans son journal. Et bien sûr, le PDG de Tesla et propriétaire de X, Elon Musk, est devenu l’un des principaux partisans de Trump, ayant obtenu la promesse de diriger un “Département de l’Efficacité du Gouvernement” (DOGE). Trump, pour sa part, bénéficiera d’une plus grande autorité que jamais – il a écarté d’anciens soutiens qui prônaient la retenue durant son premier mandat, et des alliés…
Une fois une républicaine de premier plan au Congrès, et maintenant une partisane de Kamala Harris, Cheney a annulé son abonnement au Washington Post après que Bezos a bloqué son soutien : “C’est une honte.”
Si vous pensez que les États-Unis sont politiquement divisés maintenant, attendez juste les guerres culturelles de l’IA.
Jeff Bezos a soutenu un slogan de l’ère Trump—“La démocratie meurt dans l’obscurité”—pour son journal, le Washington Post. Pourquoi ne voudrait-il pas le laisser soutenir un candidat ?
L’ancien rédacteur en chef discute de sa relation avec le propriétaire du journal, Jeff Bezos, qui aurait été à l’origine de l’appel de dernière minute pour annuler un éditorial soutenant Kamala Harris.
À une dizaine de jours du scrutin présidentiel, le quotidien états-unien a annoncé ne pas vouloir se prononcer. La décision imputée par les journalistes au propriétaire du titre, le milliardaire Jeff Bezos, provoque une crise au sein de la rédaction et parmi le lectorat.
Elle était la 20e embauchée chez Google, puis la directrice de Yahoo, et maintenant la PDG de Sunshine. Pour Mayer, le côté geek prime sur le genre.
Capture écran Twitter Dave JorgensonSur TikTok, Jean-Baptiste Djebbari passe rarement inaperçu, même aux États-Unis. RÉSEAUX SOCIAUX – Nouveau coup d’éclat pour le ministre spécialiste des réseaux sociaux. Maintes fois remarqué pour son utilisation et sa maîtrise des codes de l’application Tik Tok, le ministre chargé des Transports Jean-Baptiste Djebbari a encore frappé. Cette fois, c’est sur le compte Tik Tok d’une véritable star que le ministre s’est fait remarqué ce mardi 25 janvier. Il était en effet l’invité du vidéaste du Washington Post Dave Jorgenson, alias “Washington Post TikTok Guy” sur l’application d’origine chinoise. Sur le compte TikTok du journal américain, suivi par 1,2 million d’abonnés, le ministre français s’est prêté au jeu de cette interview décalée où le film Ratatouille, très populaire sur l’application, était visiblement au cœur des échanges. Today’s second @washingtonpost TikTok features @Djebbari_JB ?? https://t.co/goRc222j1Gpic.twitter.com/S6zBm3V6L5 — Washington Post TikTok Guy ??♂️ (@davejorgenson) January 25, 2022 “Monsieur le ministre, connaissez-vous le chef Gusteau?”, commence par demander le vidéaste en référence au chef cuisinier français dans le film Disney sorti en 2007. S’en suit alors une série de questions autour de ce film d’animation, se terminant par Jean-Baptiste Djebbari affirmant tout sourire, et avec une pointe de second degré dans la voix, qu’il préfère évidemment le fromage à sa propre famille, permettant à Dave Jorgenson d’affirmer: ”Ratatouille est réel”, clin d’œil aux nombreux clichés sur la France visibles dans le film d’animation. Mais le ministre chargé des Transports en a d’ailleurs remis une couche après l’interview publiée ce mardi 25 janvier en commentant lui-même la publication “oui oui baguette”, reprenant ainsi une autre tendance populaire sur TikTok consistant à se moquer (avec tendresse) des Français, de leur accent et de leur amour inconditionnel de la baguette de pain. Merci, minister pic.twitter.com/XAEVzg1Wa6 — Washington Post TikTok Guy ??♂️ (@davejorgenson) January…
Leah Millis / REUTERSD’après le Washington Post, l’administration de Donald Trump a obtenu les relevés téléphoniques de journalistes qui enquêtaient sur les liens entre l’entourage de l’ancien président des États-Unis et la Russie de Vladimir Poutine (photo d’illustration prise en juin 2020). ÉTATS-UNIS – Le gouvernement Trump a obtenu secrètement les relevés téléphoniques de journalistes du Washington Post qui écrivaient sur les accusations d’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016, a rapporté le quotidien américain ce 7 mai. Le ministère américain de la Justice a envoyé une lettre aux journalistes Ellen Nakashima et Greg Miller, ainsi qu’à l’ancien journaliste Adam Entous, leur disant qu’il avait reçu leurs relevés téléphoniques de lignes fixes personnelle et professionnelle, et de leur téléphone cellulaire “pour la période de 15 avril 2017 au 31 juillet 2017”, rapporte le Washington Post. Le journal a été “profondément troublé par cette utilisation du pouvoir gouvernemental dans le but d’obtenir un accès aux communications des journalistes”, a déclaré le rédacteur en chef Cameron Barr. “Le ministère de la Justice doit immédiatement faire la lumière sur les raisons de son intrusion dans les activités des reporters, lesquelles sont protégées par le premier amendement” de la Constitution des États-Unis, a-t-il poursuivi. Des liens entre un proche de Trump et la Russie L’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) a pour sa part déclaré que le ministère de la Justice avait “espionné” ces journalistes “sur les caprices d’un gouvernement”. “Cela n’aurait jamais dû se produire”, a tweeté l’ACLU. “Lorsque le gouvernement espionne les journalistes et leurs sources, cela compromet la liberté de la presse”. The Justice Department shouldn’t go spying on journalists at the whims of an administration. This should never have happened. When the government spies on journalists and their sources, it jeopardizes freedom of the press. https://t.co/V6BLYidxF2 — ACLU (@ACLU) May 8,…
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