Le prix de Sling TV pour le streaming TV augmente de 5,99 $ le mois prochain

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Le prix de Sling TV pour le streaming TV augmente de 5,99 $ le mois prochain

Photo par Chris Welch / The Verge Sling TV augmente ses prix d'abonnement mensuels de 5,99 $ pour tous ses forfaits à partir de décembre. Le fournisseur de TV en streaming a déclaré que "l'augmentation des coûts" est à blâmer pour ces hausses de prix, sans préciser les raisons — on peut présumer que ces six dollars ne sont pas tous destinés à financer sa bibliothèque de jeux interactifs "arcade" qui vient d'ajouter Pac-Man et Trivia Crack.Il existe deux forfaits : Sling Orange, qui inclut les réseaux de Disney et ESPN, et Sling Blue, qui inclut la programmation de Fox et NBC, auparavant au prix de 40 $ par mois, chacun. Désormais, ils coûteront 45,99 $ par mois. Il y a aussi le combo Sling Orange plus Blue, qui offre un mélange des deux forfaits pour 55 $ par mois, mais qui passera à 61 $. Les abonnés actuels verront le changement de prix à leur date de facturation à partir du 20 décembre.La société avait déjà augmenté ses prix de 5 $ par forfait en 2022, pour la quatrième fois en cinq ans.Sling TV affirme qu'il propose toujours le meilleur prix par rapport à ses concurrents :Ces augmentations sont généralisées dans l'industrie — d'autres fournisseurs de streaming de premier plan ont également augmenté leurs tarifs tout au long de 2024. Malgré cela, Sling reste l'option la plus abordable avec des offres à plus de vingt dollars de moins par mois par rapport aux autres fournisseurs. Sling continue d'offrir du choix en proposant certains des prix les plus bas pour la télévision en direct payante. Des packs d'options flexibles sont disponibles pour une personnalisation encore plus poussée.YouTube TV, probablement le principal concurrent de Sling TV, propose son service de streaming TV pour 72,99 $ par mois. Le forfait complet de Sling...
Un précurseur de l'IA tire la sonnette d'alarme : l'humanité menacée ?

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Un précurseur de l’IA tire la sonnette d’alarme : l’humanité menacée ?

La puissance actuelle de l’IA, bien qu’impressionnante, présente des risques considérables. Les machines deviennent de plus en plus intelligentes, toutefois, l’AGI, ou Intelligence Artificielle Générale, n’est pas encore à notre portée. Pour Yoshua Bengio, professeur à l’Université de Montréal, si les choses continuent ainsi, les capacités cognitives des machines pourraient bientôt rivaliser avec les nôtres. Cela soulève la possibilité que l’IA se retourne contre nous.

Mais quelles en sont les implications pour la société ? Aujourd’hui, l’IA détient presque toutes les connaissances. Comme le renseignement confère le pouvoir, le contrôle par l’IA de ce pouvoir pourrait être encore plus préoccupant.

Quoi qu’il en soit, Bengio estime que le développement des machines alimentées par l’IA implique des investissements considérables. Très peu d’entreprises et de pays seront donc en mesure de le faire.

Ce qui entraîne une concentration de pouvoir à divers niveaux : économique, politique et militaire, entre autres.

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« Il ne reste que 10 ans, il est impératif d’établir des garde-fous »

Selon Bengio, ces innovations technologiques pourraient devenir réalité dans quelques décennies.

Néanmoins, il souligne un risque majeur lié à une évolution accélérée de l’IA : le manque de protocoles garantissant la sécurité et la bienveillance de ces systèmes envers l’humanité.

« Actuellement, il est encore impossible d’assurer un tel contrôle », a-t-il précisé dans sa déclaration.

Ce pionnier de l’intelligence artificielle met également en garde sur les méthodes d’entraînement adoptées par les entreprises d’IA comme OpenAI, Google, Meta et Microsoft.

Il fait valoir que les techniques actuelles pourraient produire des systèmes potentiellement hostiles aux intérêts humains.

« J’ai identifié deux risques majeurs liés à la technologie d’intelligence artificielle. D’une part, le risque de détournement par des acteurs malveillants, déjà observé avec les attaques de phishing. D’autre part, la présence de groupes, bien que minoritaires, mais influents, désireux de remplacer l’humain par la machine ».

Face à ces défis, Bengio appelle à l’établissement immédiat de garde-fous appropriés pour encadrer le développement de ces technologies. Mais cela existe-t-il déjà ?

« Face à ce risque, je plaide pour un cadre réglementaire de l’IA avancée »

Un document signalant les dangers posés par les systèmes d’IA avancés a reçu le soutien de Bengio en juin dernier.

Intitulée « Le droit d’alerter sur l’intelligence artificielle avancée », cette initiative, soutenue par d’anciens et actuels collaborateurs d’OpenAI, la société derrière ChatGPT, avait pour but de sensibiliser les parties concernées par l’IA, y compris la communauté scientifique, les autorités et le grand public.

Les préoccupations concernant OpenAI se sont intensifiées après la dissolution de son équipe « AGI Readiness » le mois d’octobre dernier.

Pour aborder ces enjeux, Bengio préconise un cadre réglementaire obligatoire et urgent.

Il propose en particulier l’ instauration d’un enregistrement obligatoire pour les entreprises développant des modèles d’IA de grande envergure, notamment ceux nécessitant des investissements considérables.

Cette mesure permettrait aux autorités d’ avoir une meilleure visibilité sur les développements technologiques et leurs caractéristiques.

Face au rythme rapide d’évolution de l’IA, il souligne combien il est crucial pour les gouvernements d’adopter une approche novatrice dans la création de réglementations.

Le but est donc de développer un cadre législatif suffisamment adaptable pour suivre les transformations technologiques continues.

À l’exemple de l’AI Act qui est entré en vigueur le 1er août de cette année dans toute l’Europe.

L’IA représente-t-elle un réel danger pour l’humanité ? La perspective de Bengio

De toute cette discussion, la question de Bengio m’a particulièrement interpellé. « La création d’entités artificielles dépassant l’intelligence humaine pourrait-elle constituer une menace existentielle pour notre espèce ? ».

Ces interrogations, selon lui, représentent à la fois un défi philosophique et éthique sans réponse définitive.

Il appelle donc à une approche pragmatique et nuancée et insiste sur l’importance de continuer les recherches, tout comme de rester vigilant pour anticiper et réduire les risques liés à l’évolution des intelligences artificielles.

Sa vision appelle à l’action citoyenne et collective, rappelant que les sociétés humaines ont la possibilité de guider leur trajectoire technologique.

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Pour relever ce défi, il estime primordial de mobiliser un nombre suffisant de personnes conscientes des opportunités et des dangers liés à l’IA.

La stratégie devrait être multidimensionnelle, c’est-à-dire que les solutions devront être technologiques, politiques et sans doute hybrides.

L’essentiel, selon lui, est de débuter dès à présent un effort collectif réfléchi pour guider l’évolution de ces technologies de façon responsable et bénéfique pour l’humanité.

Mais quels défis se posent réellement ?

Le défi majeur réside dans la capacité des technologies d’IA à modifier la perception de la réalité.

La diffusion de fausses informations et la manipulation des opinions sont également des défis cruciaux qui s’accentueront avec le progrès des systèmes d’intelligence artificielle.

Cela semble logique, puisque les systèmes actuels sont déjà capables de créer des images très réalistes, ainsi que d’imiter notre voix tout en superposant les vidéos d’autres personnes.

Cette capacité à générer des images, des enregistrements sonores et des vidéos d’une précision troublante pourrait devenir un vecteur puissant de désinformation.

Par conséquent, cela pourrait miner l’intégrité des processus démocratiques et influencer la formation des opinions individuelles.

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Critiques des fonctionnalités sur Invideo.io

Toutes les options disponibles sur Invideo.io peuvent être explorées grâce à un essai gratuit. Néanmoins, pour cela, l’utilisateur doit d’abord créer un compte en fournissant un identifiant et un mot de passe, ce qui simplifie l’accès aux services du site. Les algorithmes avancés identifient les préférences des utilisateurs habituels et ajustent leur expérience en conséquence. Ils assistent également les utilisateurs nouvellement enregistrés tout au long du processus d’inscription automatisé.

Éditeur de vidéos YouTube

Cette fonction rend le processus de montage plus aisé grâce à une interface conviviale et des outils automatisés. Les utilisateurs ont la possibilité de couper, combiner et ajouter des effets spéciaux à leurs vidéos sans effort. De nombreux modèles personnalisables sont proposés, adaptés aux dimensions et aux exigences spécifiques de la plateforme YouTube. Le produit final est comparable, voire supérieur, au travail d’un monteur professionnel. Selon notre avis, Invideo.io permet de créer des vidéos soignées et prêtes à être mises en ligne rapidement sur le site de partage.

Générateur de vidéos à partir de texte AI

À partir d’articles, de publications de blog ou de scripts écrits, ce logiciel génère automatiquement des vidéos complètes. Il inclut des séquences, des animations, et même une narration. Cette particularité est particulièrement bénéfique pour ceux qui souhaitent réaliser rapidement des vidéos informatives ou éducatives. Cela diversifie ainsi les formats de leur contenu existant.

Vidéo YouTube
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Créateur de diaporamas

Cette plateforme propose une méthode rapide pour concevoir des diaporamas attrayants. Idéal pour les présentations professionnelles, les albums souvenirs ou le contenu social, cet outil transforme vos images en séquences visuellement captivantes. Les superbes visuels sont accompagnés de la musique de votre choix et de divers effets visuels. L’interface permet aussi d’inclure du texte, des transitions harmonieuses, et même des narrations pour faire de chaque diaporama une œuvre unique et impactante.

Avatar parlant AI

Cette innovation de l’Avatar Parlant AI est particulièrement intrigante. Elle permet de sélectionner parmi une gamme d’avatars animés capables de s’exprimer et d’expliquer votre script. Quoi qu’il en soit, nous pensons que cette option est parfaite pour des tutoriels et des démonstrations de produits. Elle convient aussi aux présentations de cours en ligne. L’intelligence artificielle confère à ces avatars un réalisme impressionnant pour captiver davantage votre audience cible.

Générateur de scripts AI

Rédiger un contenu scripté peut être chronophage. Avec le Générateur de Scripts AI d’Invideo.io, cette tâche devient bien plus simple. Il suffit de saisir le sujet et quelques mots-clés pertinents, et l’intelligence artificielle génère un script structuré et pertinent en quelques secondes. Cela représente non seulement un gain de temps significatif, mais ouvre également de nouvelles avenues créatives pour inspirer et élaborer des narrations captivantes.

Générateur de vidéos sans visage AI

Pour ceux qui préfèrent rester hors caméra, le Générateur de Vidéos Sans Visage AI est une option parfaite. Cette fonction produit des vidéos anonymes en utilisant des animations, des clips, et des graphismes tout en préservant l’essence de votre message. C’est un outil idéal pour les podcasts, l’audiovisuel éducatif, ou les chaînes YouTube sans besoin de caméra frontale. Cette fonctionnalité assure la confidentialité tout en maintenant l’attention du spectateur sur le contenu verbal et visuel présenté.

Générateur de voix AI

Pour rendre vos vidéos plus engageantes, le Générateur de Voix AI convertit vos textes en discours fluide. Différents styles et tons de voix sont à votre disposition, permettant aux utilisateurs de personnaliser la narration selon le contexte vidéo. C’est comme avoir un double virtuel qui s’exprime, rendant le processus narratif fluide et captivant sans nécessiter une intervention humaine fréquente.

Tarification sur Invideo.io

Essai sans frais

Le plan gratuit offert par Invideo.io inclut des fonctionnalités de base et un accès restreint aux modèles et aux ressources média. Ce choix est excellent pour les novices qui cherchent à essayer le logiciel sans débourser d’argent. Ce plan permet déjà de profiter de 10 minutes de génération, mais exclut la capacité de clonage vocal.

Forfait Plus

À partir de 20 euros par mois, cette option est destinée aux petites entreprises et aux travailleurs indépendants. Elle comprend des fonctionnalités supplémentaires, comme l’exportation de vidéos en haute résolution, un vaste espace de stockage en ligne et l’accès aux images sous licence sur iStock. S’ajoutent également des modèles premium. Les utilisateurs bénéficient d’un service d’assistance prioritaire.

Offre Max

À environ 47 euros par mois, ce forfait est conçu pour les professionnels nécessitant des fonctionnalités sans limites, y compris l’exportation de 400 minutes de vidéos en haute définition sans restrictions. L’abonnement assure un stockage large en ligne et des intégrations avancées. En plus, ce plan comprend un support technique continu.

Forfait à vie

Proposé en paiement unique, le forfait à vie garantit un accès permanent à toutes les fonctionnalités d’Invideo.io, sans frais récurrents. C’est une option financièrement avantageuse pour ceux qui envisagent d’utiliser le logiciel sur une longue période.

Oui, des codes promotionnels pour Invideo sont souvent disponibles en ligne. Certains coupons fournis par des partenaires réduisent le prix de jusqu’à 30 %. D’autres remises sont aussi offertes directement sur la plateforme. Par exemple, en vous abonnant à l’offre Business pour une année, vous pouvez obtenir une réduction de 50 %.

Retours positifs sur Invideo.io

Simplicité d’utilisation

L’un des principaux avantages d’Invideo.io est sa simplicité d’utilisation. L’interface de l’éditeur est intuitive et permet même aux utilisateurs novices de concevoir des vidéos impressionnantes sans nécessiter de courbe d’apprentissage difficile. Les outils et fonctionnalités sont agencés de manière claire, ce qui rend le processus de montage rapide et efficace.

Large choix de modèles

Invideo.io met à disposition une riche bibliothèque de modèles préconçus pour différentes catégories, y compris réseaux sociaux, publicités, tutoriels, et bien d’autres. Cette diversité offre aux utilisateurs la possibilité de sélectionner et de personnaliser des modèles selon leurs besoins spécifiques, leur permettant ainsi de gagner du temps.

Intégration multimédia

Le logiciel supporte l’intégration de plusieurs éléments multimédias, tels que des images, vidéos, et fichiers audio provenant de diverses sources. Vous pouvez télécharger vos propres fichiers ou profiter d’une vaste bibliothèque de contenus libres de droits accessible directement depuis la plateforme, enrichissant significativement vos projets.

Collaboration en équipe

Pour les entreprises et les équipes créatives, Invideo.io offre des solutions de collaboration qui permettent à plusieurs membres de travailler ensemble sur un même projet. Cela améliore considérablement le flux de travail et booste la productivité, particulièrement dans un cadre professionnel.

Certaines améliorations à envisager

Performances réduites sur appareils bas de gamme

Nos tests montrent qu’Invideo.io peut éprouver des difficultés de performance sur des dispositifs plus anciens. Le rendu et l’importation peuvent être lents, ce qui peut nuire à l’expérience utilisateur lorsque l’on utilise un matériel daté ou peu performant.

Fonctionnalités avancées payantes

Bien que la version gratuite offre un bon nombre de fonctionnalités, certaines d’entre elles nécessitent un abonnement payant. Cela peut restreindre les choix pour ceux qui souhaitent se limiter à des services gratuits, limitant ainsi leur capacité à exploiter l’intégralité du potentiel logiciel.

Courbe d’apprentissage pour les fonctionnalités avancées

Alors que les outils de base sont faciles à comprendre, le fait d’apprendre à utiliser pleinement toutes les fonctionnalités avancées d’Invideo.io peut requérir un investissement en temps. Les utilisateurs doivent consacrer des efforts pour tirer le meilleur parti des capacités offertes par ces outils spécialisés.

Personnalisation restreinte des modèles

Bien qu’Invideo.io propose une large gamme de modèles, la personnalisation de certains éléments peut parfois s’avérer limitée. Ceux qui souhaitent réaliser des vidéos très personnalisées pourraient être frustrés par les options proposées.

Comparaison avec d’autres options

Synthesia.io est axé sur la création de vidéos utilisant des avatars animés générés par intelligence artificielle. Contrairement à Invideo.io, qui se concentre sur un montage vidéo plus général, Synthesia.io s’adresse principalement à ceux qui souhaitent réaliser des vidéos éducatives ou institutionnelles avec des présentateurs virtuels. Cependant, Synthesia.io peut manquer de la richesse et des diverses fonctionnalités multimédias proposées par Invideo.io.

Une autre option, HeyGen.com, est centrée sur l’édition et le montage vidéo, mais en mettant l’accent sur la simplification maximum des modalités. En visant une rapidité d’exécution avec une interface ultra-simplifiée, ce choix pourrait séduire certains utilisateurs, tandis que d’autres, recherchant des caractéristiques avancées et variées, préféreraient sans doute Invideo.io.

Il existe également Fliki.ai, qui fournit des outils de création vidéo basés sur du texte et de la voix grâce à l’intelligence artificielle. Cet outil est principalement conçu pour générer rapidement des animations textuelles et des narrations automatiques synchronisées. Toutefois, il n’offre pas la quantité de modèles ni la flexibilité de montage qui caractérisent Invideo.io, le rendant plus polyvalent pour divers projets.

Enfin, Picsart.com se démarque principalement comme un outil de retouche photo et d’édition graphique, qui a récemment intégré un module de création vidéo. Il excelle dans les modifications visuelles et la production d’images de qualité. Cela dit, Invideo.io demeure supérieur en termes de volume et de diversité des fonctionnalités spécifiquement axées sur la vidéo. Chaque service répond ainsi à des attentes distinctes en fonction des besoins professionnels.

Les offres du Black Friday réduisent le prix du Fitbit Charge 6 à un niveau record de 100 $.

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Les offres du Black Friday réduisent le prix du Fitbit Charge 6 à un niveau record de 100 $.

Les promotions du Black Friday battent leur plein en ce moment, ce qui a fait baisser de nombreux gadgets préférés à leurs prix les plus bas de l’année. Par exemple, le Fitbit Charge 6 est actuellement à un prix record de 100 $. C’est un choix de premier plan dans notre guide des meilleurs trackers de fitness, en partie grâce à ses capacités complètes de suivi des exercices et à son GPS intégré.
Le Charge 6 a quelques arguments en sa faveur. Avec le nouveau modèle, Fitbit a ajouté un capteur de fréquence cardiaque plus précis, la possibilité de se connecter à des machines d’exercice via Bluetooth, ainsi qu’un bouton physique latéral pour faciliter la navigation dans les menus. Si vous êtes abonné à YouTube Music Premium, vous pouvez également utiliser l’appareil pour contrôler la lecture de YouTube Music.

En conservant certaines caractéristiques des versions précédentes, le Charge 6 offre un suivi complet pour 20 exercices distincts, avec un GPS intégré pour des activités comme la course et le cyclisme. Il conserve également le design du Charge 5, ce qui est, dans ce cas, un avantage. Le fait qu’il ne soit pas une smartwatch rend le Charge 6 confortable à porter et permet une autonomie de plusieurs jours, contrairement à une autonomie d’un jour au maximum. L’écran AMOLED en couleur est facile à lire et visuellement agréable, même en extérieur. Parmi les autres caractéristiques notables, on trouve le support pour les paiements sans contact via Fitbit Pay et Google Wallet.
Les seuls inconvénients du Charge 6 sont que Fitbit ne propose pas d’intégration avec Apple Health et que certaines données et fonctionnalités sont réservées à l’abonnement premium de l’entreprise. Cependant, si vous recherchez un tracker de fitness capable de tout faire, le Charge 6 est l’une des meilleures options en ce moment.
Pour ceux qui souhaitent dépenser moins sur un tracker de fitness, je mentionnerai qu’Amazon a également réduit le prix de l’Inspire 3. Il est actuellement à 70 $, au lieu de 100 $. Le tracker de fitness d’entrée de gamme de Fitbit est une bonne option pour ceux qui ne voient pas d’inconvénient à emmener leur téléphone lors de leurs sorties à vélo ou de leurs courses, car l’appareil ne dispose pas de GPS intégré.   
Découvrez toutes les dernières offres du Black Friday et du Cyber Monday ici.Cet article est initialement paru sur Engadget à l’adresse https://www.engadget.com/deals/black-friday-deals-bring-the-price-of-the-fitbit-charge-6-down-to-a-record-low-of-100-171919780.html?src=rss

L'Australie introduit un projet de loi qui interdirait aux enfants de moins de 16 ans d'utiliser les réseaux sociaux

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L’Australie introduit un projet de loi qui interdirait aux enfants de moins de 16 ans d’utiliser les...

Le parti majoritaire en Australie a introduit un projet de loi au Parlement visant à interdire aux enfants de moins de 16 ans d’utiliser les réseaux sociaux. La législation, qui ferait peser la responsabilité sur les plateformes sociales plutôt que sur les enfants ou les parents, pourrait imposer des amendes aux entreprises contrevenantes allant jusqu’à 49,5 millions de dollars australiens (32,2 millions de dollars).
Le projet de loi du Parti travailliste s’appliquerait, entre autres, à Snapchat, TikTok, Instagram et X. Il exigerait que les plateformes isolent et détruisent les données des utilisateurs mineurs collectées. Cependant, la législation inclurait des exceptions pour les services liés à la santé et à l’éducation, comme Headspace, Google Classroom et YouTube.
« Pour trop de jeunes Australiens, les réseaux sociaux peuvent être nocifs. Près de deux tiers des Australiens âgés de 14 à 17 ans ont été exposés à des contenus extrêmement préjudiciables en ligne, notamment la consommation de drogues, le suicide ou l’automutilation, ainsi que des contenus violents », a déclaré la ministre australienne des Communications Michelle Rowland au Parlement jeudi. « Un quart ont été exposés à des contenus promouvant des habitudes alimentaires dangereuses. »
Reuters note que cette loi serait l’une des plus strictes au niveau mondial pour lutter contre les problèmes liés à l’utilisation des réseaux sociaux par les enfants. Elle n’inclurait pas d’exemptions pour le consentement parental ou les comptes existants. Essentiellement, les plateformes sociales devraient surveiller leurs services pour s’assurer qu’aucun enfant de moins de 16 ans ne puisse les utiliser.
Le projet de loi est soutenu par la majorité travailliste (centre-gauche) et l’opposition libérale (droite). « C’est une réforme historique », a déclaré le Premier ministre australien Anthony Albanese. « Nous savons que certains enfants trouveront des moyens de contourner cette interdiction, mais nous adressons un message aux entreprises de réseaux sociaux pour qu’elles redressent leur comportement. »
Les Verts australiens (gauche) ont critiqué la législation, affirmant qu’elle ignore les preuves des experts en « forçant » la loi à passer au Parlement sans un examen approfondi. « L’enquête parlementaire récente sur les réseaux sociaux a montré à maintes reprises qu’une interdiction d’âge ne rendra pas les réseaux sociaux plus sûrs pour qui que ce soit, » a déclaré la sénatrice Sarah Hanson-Young dans un communiqué. « [Le projet de loi] est compliqué à mettre en œuvre et aura des conséquences imprévues pour les jeunes. »
L’année dernière, le Surgeon General des États-Unis, Vivek Murthy, a tiré la sonnette d’alarme sur les risques liés à l’utilisation des réseaux sociaux par les enfants. « Les enfants et les adolescents qui passent plus de 3 heures par jour sur les réseaux sociaux ont deux fois plus de risques de souffrir de problèmes de santé mentale, y compris des symptômes de dépression et d’anxiété », selon un avis publié en 2023 par le bureau du Surgeon General.
Les États-Unis exigent que les entreprises technologiques obtiennent le consentement parental pour accéder aux données des enfants de moins de 13 ans, mais ils n’imposent pas de restrictions d’âge. Reuters note que la France a mis en place une interdiction des réseaux sociaux pour les enfants de moins de 15 ans l’année dernière, mais permet toujours aux enfants d’y accéder avec le consentement parental.Cet article est initialement paru sur Engadget à l’adresse https://www.engadget.com/social-media/australia-introduces-a-bill-that-would-ban-children-under-16-from-social-media-174547712.html?src=rss

Baisse de régime pour la natalité en France, et 3 autres infographies incontournables à découvrir

ECONOMIE

Baisse de régime pour la natalité en France, et 3 autres infographies incontournables à découvrir

Chaque semaine, Alternatives Economiques vous propose quatre graphiques pour décrypter autrement l’actualité.

Au programme de ce graphorama : la natalité française en déclin ; l’armée russe subit des pertes humaines record en Ukraine ; les salaires des métiers de la « deuxième ligne » ne suivent pas l’inflation ; la domination persistante de Google et Facebook sur le web en France.

1/ La natalité française en chute

Dis papa, c’est encore loin le « réarmement démographique » ? Malgré le discours appuyé du président de la République concernant les défis démographiques, la fécondité hexagonale vacille sérieusement. En 2023, les Français ont mis au monde « seulement » 677 800 bébés, soit une baisse de 6,6 % par rapport à 2022. Une diminution inédite depuis la fin du baby-boom, selon l’Insee, qui a dévoilé ces données à la mi-novembre.

Depuis 2010, le nombre de naissances est en recul de près de 20 %, et les premières indications pour 2024 montrent que ce déclin continue, bien que plus lentement. Cette baisse touche chaque tranche d’âge, mais davantage les femmes entre 25 et 34 ans, traditionnellement les plus productives sur le plan démographique.

Comme toujours, ces données ponctuelles ne suffisent pas à conclure : les Français choisissent-ils d’avoir moins d’enfants ou différeront-ils leurs projets parentaux à un avenir plus favorable ? Seul l’avenir nous le dira.

Sur un plan européen, la France n’est pas isolée : le nombre de naissances a chuté de 5,5 % en moyenne en 2023 (par rapport à 2022). La tendance est toutefois plus accentuée dans l’Est et l’Ouest de l’Europe que dans le Sud et le Nord. Avec un indice conjoncturel à 1,79 enfant par femme en 2022, la France demeure toutefois leader en Europe pour la fécondité, un motif d’espoir face à la panique démographique ambiante.

Xavier Molénat

2/ 1 000 jours de guerre en Ukraine : des pertes russes sans précédent

Le mois d’octobre a été marqué par un record funeste pour la Russie, qui a vu le plus grand nombre de ses soldats périr sur le champ de bataille depuis le début de l’offensive en Ukraine en février 2022. Selon les Forces armées ukrainiennes, environ 42 000 soldats russes ont perdu la vie le mois dernier — un chiffre confirmé par l’état-major britannique. Tony Radakin, son chef, a même déclaré à la BBC, le 10 novembre, qu’octobre avait été le mois le plus meurtrier pour Moscou, avec en moyenne 1 500 morts et blessés chaque jour.

C’est à ce prix que la Russie poursuit son grignotage du territoire ukrainien dans l’Est, multipliant des assauts quotidiens par centaines et envoyant des soldats d’infanterie à l’abattoir pour épuiser les défenses adverses. Dans le même temps, ses avions et drones ciblent les infrastructures énergétiques ukrainiennes. Le Kremlin reste résolu à fragiliser au maximum le moral, les conditions de vie et le territoire ukrainiens, notamment avant un potentiel retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.

Selon Tony Radakin, la Russie approche les 700 000 morts et blessés depuis le début de l’invasion. Ces chiffres corroborent ceux rapportés par le Wall Street Journal en septembre, citant des sources confidentielles, qui évoquaient environ 200 000 morts et 400 000 blessés. Les pertes ukrainiennes — 80 000 morts et 400 000 blessés — portent le total des victimes (morts et blessés) à plus d’un million depuis le début du conflit.

Eva Moysan

3/ Les travailleurs de la « deuxième ligne » toujours sous-rémunérés

Rappelez-vous : durant la pandémie de Covid-19, les Français étaient priés d’applaudir les héros en « première ligne » — des soignants confrontés au virus. Juste derrière eux se trouvaient les travailleurs de la « deuxième ligne », qui bénéficiaient eux aussi d’une certaine reconnaissance, surtout symbolique.

Les caissières, agents de nettoyage et ouvriers agroalimentaires formaient cette « deuxième ligne », regroupant selon l’Insee des métiers essentiels à la continuité économique et sociale, mais difficiles à exercer en télétravail. Ils représentaient en 2022 près de 29 % des travailleurs du privé, soit 6,8 millions de personnes.

Pourtant, quatre ans après la crise, cette reconnaissance se fait attendre sur le plan financier. Leur salaire mensuel moyen atteignait 1 830 euros nets (équivalent temps plein) en 2022, soit un peu moins que celui des autres employés et ouvriers du privé (1 858 euros nets).

Pire : malgré une inflation de 8,6 % entre 2019 et 2022, les rémunérations de ces professions n’ont pas suivi. En euros constants, elles ont reculé en moyenne de 0,7 %, avec de fortes disparités entre ceux ayant bénéficié de hausses (comme les aides à domicile) et ceux restés à la traîne, notamment les ouvriers peu qualifiés du BTP. Pas de quoi mériter des applaudissements cette fois-ci.

Audrey Fisné-Koch

4/ La domination américaine sur le web français continue

Pas de surprise ici : le web en France reste dominé par quelques firmes américaines. Une récente étude de l’Arcom a analysé l’audience nationale des sites qui comptent au moins 45 millions d’utilisateurs dans l’Union européenne, en excluant les plateformes telles qu’Amazon ou Leboncoin.

Facebook, bien qu’on le dise en perte de vitesse, demeure en tête avec 49 millions de visiteurs uniques mensuels. Sur une population française de 59,3 millions (données concernant les plus de 12 ans), cela équivaut encore à plus de 80 % des habitants. Meta possède aussi Instagram, classé cinquième site en termes d’audience. Les services de Google complètent le top 5, avec YouTube, le moteur de recherche Google Search, et Google Maps.

Dans cette lutte pour capter l’attention, Snapchat et TikTok s’illustrent également, avec un temps moyen passé par utilisateur supérieur à celui des autres plateformes. Ils figurent parmi les trois sites ayant les audiences les plus jeunes (16 % et 14 % d’utilisateurs de moins de 18 ans, respectivement). À leurs côtés, Pornhub se distingue aussi avec une proportion similaire (16 %) de mineurs dans son audience.

Justin Delépine