7 conseils pour maîtriser « Metaphor : ReFantazio »
Le nouveau RPG de Studio Zero est une aventure gigantesque avec beaucoup à faire. Voici par où commencer.
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En 2021, Morgan Neville pensait qu'utiliser l'IA pour recréer la voix du regretté Anthony Bourdain serait un œuf de Pâques intéressant dans son documentaire. Il a fini par être un canari dans la mine de charbon de l'IA d'Hollywood.
Pour sa deuxième apparition dans l’émission rap d’Arte Concert, le chanteur a décidé de partager sa scène avec pas moins de 17 invités. Une grande fête réunissant des rappeurs installés comme Niska, mais aussi des artistes plus confidentiels comme KLN. Chaque personne présente dans la foule comme sur scène est venu pour la même chose : célébrer Tiakola et sa mixtape “BDLM Vol.1”. Tiakola a obtenu une carte blanche de la part d’Arte pour organiser son deuxième passage sur “Dans le Club”. Pour l’occasion, il a décidé de jouer son nouveau projet presque en intégralité et en ramenant le maximum d’invités. Résultat : un show complet, dynamique et ambitieux, dans la lignée de ce que l’artiste propose à son public depuis plusieurs années. Un show très attendu 2h30 avant le début de “Dans le Club”, les fans de Tiakola se pressent dans la queue sous une pluie battante. À l’intérieur de la Gaîté Lyrique, la grande salle se prépare à accueillir le chanteur et ses nombreux invités. Le public ne sait pas encore que des grands noms de la musique seront eux aussi présents. Pour le principal intéressé, partager sa scène avec autant de personnes est une expérience inédite : “Il y a plusieurs guests, c’est une autre énergie, c’est une autre démarche. C’est même nouveau pour moi et ça suit le délire du projet ‘BDLM’.” Les backstages de la Gaîté Lyrique n’ont jamais été aussi bondés : techniciens, journalistes et artistes bouillonnent en attendant le lancement du live. “Vu que j’ai fait une mixtape avec plusieurs artistes, c’est logique de faire un show à plusieurs.” Tiakola Dans les loges, parmi les invités, on retrouve le rappeur Prototype, proche de Tiakola avant même qu’ils se lancent dans la musique. Il raconte ses premiers souvenirs avec la star de la soirée : “Son cousin habite dans mon quartier et Tiako venait souvent en vacances chez lui quand on était petits. C’est comme ça que la rencontre s’est faite.” Tout comme le public, Prototype trépigne d’impatience avant le début du live : “Je fais de la musique pour des moments comme ça !” Le direct de “Dans le Club” commence dans moins d’une heure et l’ambiance est à la fête. Les artistes se détendent avec leur entourage et profitent de l’espace gigantesque du dernier étage de la Gaîté Lyrique. Crédit : Lucas Bonin Un “Dans le Club” comme aucun autre Avant d’entrer en scène, Tiakola est introduit comme il se doit. Le livestream de “Dans le Club” se lance avec Skuluch, la présentatrice, qui prend le micro pour annoncer le début du concert. Malgré le fait qu’elle demande aux personnes présentes de couper leur téléphone, une fois que Tiako apparaît, les flashs reviennent à peine le premier morceau entamé. Dès le début du titre “T.I.A.”, la foule le suit en chantant son refrain à gorge déployée. Le direct d’Arte concert navigue de plans larges de la scène aux plans serrés sur le chanteur en passant par la foule en transe filmée à la caméra à l’épaule. “Ce qu’il a fait avec ‘BDLM’, c’est rassembler la jeunesse de la musique d’aujourd’hui et célébrer tous ensemble : pour moi la musique c’est ça.” – Prototype Petit à petit, ses invités rejoignent Tiakola pour interpréter les featurings présents sur sa mixtape “BDLM Vol.1”. Ce n’est pas la première fois que “Dans le Club” donne carte blanche, mais jamais l’émission n’avait accueillie autant de chanteurs. Saaro, Merveille, Jolagreen23, Cheu-B… Les featurings s’enchaînent naturellement, de quoi régaler le public qui ne connaissait ni les noms, ni le nombre des invités présents ce soir-là. Rien de plus naturel pour Tiakola que de convier ses collaborateurs et amis pour sa carte blanche : “Vu que j’ai fait une mixtape avec plusieurs artistes, c’est logique de faire un show à plusieurs.” Il a découvert “Dans le Club” lors de son premier passage dans l’émission, il était déjà venu en janvier 2023 pour son album “Mélo”. Depuis cette performance, sa notoriété a grimpé et ça se ressent durant cette deuxième performance. L’excitation et la passion de ses fans dans la salle témoignent de ce changement de statut qui le place désormais parmi les grands de la musique française. Une carte blanche comme carte de visite Tiakola a profité de sa carte blanche sur “Dans le Club” pour mettre en avant d’autres noms. À l’image de sa mixtape collaborative, il a mélangé les apparitions d’artistes connus de tous à l’image de Niska, et d’autres qui débutent, comme Saaro ou KLN. Ce dernier est venu jouer en exclusivité son prochain single en featuring avec Tiakola. Crédit : Lucas Bonin Ce “Dans le Club” s’est terminé par le plus gros hit de la mixtape “BDLM” : Pona Nini avec Prototype et Genezio. Le public a pu profiter du morceau à trois reprises tant l’ambiance empêchait Tiako et ses compères de s’arrêter. Pour Prototype, ce succès n’était pas prévu : “Je suis hyper content et surpris, parce que je ne m’attendais pas à ce que les gens se prennent autant Pona Nini.” Après une heure et demie de direct, deux rappels, un morceau performé sans t-shirt et 17 invités, cet épisode de “Dans le Club” se termine dans une atmosphère aussi électrique qu’au début. Tiakola a unanimement réussi son pari fou : unir son public et ses nombreux invités autour d’un seul et même projet, le tout sans pause et en direct sur internet. À propos d’une prochaine tournée avec différents artistes, il confie : “Ce serait une bonne idée de faire des dates à plusieurs. Même si ce n’est pas avec des artistes, je vais venir en nombre, je reste dans l’état d’esprit du projet.” Quoi qu’il arrive, Tiakola ne compte pas s’arrêter là et il se lance désormais dans une tournée internationale. Le live complet du “Dans le Club” de Tiakola est à retrouver sur arte.tv ou directement sur la chaîne YouTube de ARTE Concert.
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Panayotis Pascot et Charlie Haid ont participé à l’émission “Loups Garous”. Pour l’occasion, ils sont les invités de Clique afin d’évoquer ce nouveau jeu grandeur nature, les anecdotes du casting, mais aussi leurs carrières respectives en tant qu’humoriste et mentaliste. Loups Garous, l’émission adaptée du jeu de société Diffusée à partir du 11 octobre sur Canal+, la nouvelle série de Panayotis Pascot et de Fary reprend le célèbre jeu du “Loup-Garou”. Les créateurs Hervé Merly et Philippe des Pallières leur ont offert les droits du jeu pour l’émission. Parmi les collaborateurs de Panayotis Pascot, on retrouve Mister V, Freddy Gladieux et Jason Brokerss : “C’est l’élite de l’humour, donc on est vraiment très contents.” La série a déjà été renouvelée avant sa diffusion, pour deux saisons supplémentaires. “C’est la chance de travailler avec Canal, ils font confiance aux idées.” De Loups Garou à leurs projets respectifs Cinq ans après Presque, Panayotis Pascot revient avec son nouveau spectacle Entre les deux. Il a été écrit pendant une période de dépression pour l’humoriste qui “n’est plus un enfant et n’a pas encore d’enfant” et se retrouve donc dans cet “entre-deux” dont il ne comprend pas le but ni le sens. “Je crois que ce spectacle a un peu éloigné la part d’enfant qui restait en moi.” Avec ce one-man-show vient la panique du deuxième projet, l’inquiétude de ne pas être à la hauteur du premier. “J’ai la chance d’être entouré de gens talentueux et d’apprendre énormément à leur côté.” Charlie Haid, le mentalisme de la série, rejoint Panayotis Pascot en deuxième partie d’émission. Âgé de 22 ans, il s’est fait notamment connaître sur Youtube grâce à ses vidéos de mentalisme et de psychologie. “C’est pas un don, c’est un travail, c’est comme le piano. Tout le monde peut devenir pianiste, il y en aura juste qui seront très bons très vite et d’autres pour qui ce sera plus difficile.” L’interview de Panayotis Pascot et Charlie Haid est disponible en replay sur myCANAL.
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Amélie Nothomb, l’autrice belge aux 20 millions de livres vendus, est l’invitée de Mouloud Achour dans Clique. À l’occasion de la sortie de son nouveau roman “L’impossible retour”, elle revient sur l’affection de ses fans, son attachement au Japon et son amour pour Mylène Farmer. Sa proximité avec ses lecteurs Le 21 août dernier, Amélie Nothomb publiait “L’impossible retour” aux Éditions Albin Michel. L’autrice écrit un ouvrage par an depuis 1991, ce qui fait de ce roman son 33ème. Malgré cette cadence effrénée, elle ne se repose jamais sur ses lauriers : “À chaque fois que je publie un livre, j’ai l’impression de remettre mon titre en jeu.” Repartir de zéro à chaque fois permet à Amélie Nothomb de garder les pieds sur terre, tout en abordant des sujets différents de roman en roman : “Mes livres sont de plus en plus graves.” Si l’autrice a toujours du succès aujourd’hui, c’est grâce à ses fidèles lecteurs. Pour elle, ils ne sont pas forcément acquis à sa cause. “J’ai de la gratitude envers mes lecteurs qui veulent bien de moi.” Grâce à la qualité de ses écrits, Amélie Nothomb a réussi à créer un véritable lien avec ceux qui lisent ses livres : “Mes lecteurs me connaissent très intimement.” Amélie Nothomb, seule dans son monde Durant toute sa carrière, l’autrice belge est toujours apparue comme quelqu’un d’à part dans les médias. Cette image lui colle à la peau, sans pour autant la déranger. Elle en est consciente et n’a aucun problème à assumer sa solitude : “Je ne suis pas très dîner en ville, donc je trouve toujours des excuses pour ne pas y aller.” Si elle accepte aussi facilement d’être seule, c’est aussi pour faire face à ses sentiments négatifs : “Je pense que je ne pourrais pas me délivrer de mes démons.” Le fait d’être seule dans son monde, elle le partage avec une autre artiste qu’elle apprécie grandement : Mylène Farmer. Amélie Nothomb a eu la chance de la rencontrer il y a presque 30 ans : “En 1995, le magazine Vogue Allemand m’avait dit ‘vous avez le droit de faire venir la personne que vous voulez rencontrer et on vous arrange une interview croisée.’ J’ai choisi Mylène Farmer et elle a accepté.” Les deux femmes finissent par passer la soirée ensemble. “C’était génial.” Sa passion débordante pour la Japon Amélie Nothomb a vécu une partie de son enfance au Japon. Elle était alors élevée par une nounou japonaise qu’elle a pu revoir lors d’un voyage il y a 12 ans. Cette anecdote touchante s’arrête là, puisque lorsqu’on lui demande des nouvelles de cette dame, elle répond : “J’en suis à un stade où je ne sais même si elle est en vie.” Grâce à sa vie au Japon, Nothomb a pu analyser la culture nippone et ses différences avec l’Europe. “Les Japonais ne disent pas ‘non’, ils refusent en utilisant des subterfuges verbaux.” Une société qui lui correspond parfois plus qu’en France ou en Belgique, notamment sur la notion du temps : “Les Japonais ont compris le temps. Le temps n’est jamais révolu, ce n’est ni le passé, ni le futur, c’est tout à la fois. Ce sont des gens qui vivent le temps dans sa véritable dimension.” Quand on aborde son avenir, Amélie Nothomb se voit continuer de publier des romans régulièrement. Pour elle, il n’est pas question de se faire concurrencer par les intelligences artificielles : “Historiquement, on sait que ce qui consomme moins perdure et je consomme beaucoup moins que l’intelligence artificielle.” L’interview d’Amélie Nothomb est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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Naza, le rappeur aux multiples singles de diamant, est l’invité de Clique. Connu pour sa joie de vivre infinie, il revient sur sa relation fraternelle avec Gradur et Loris Giuliano, ses nombreux tubes et son concert à venir à l’Accor Arena. Un rappeur au succès massif Naza a commencé sa carrière musicale il y a huit ans. Durant cette période, il a réussi à enchaîner hit sur hit, de “Sac à dos” en 2017 à “1,2,3 Soleil” avec Keblack en 2023. Une discographie bien remplie, malgré une petite période creuse : “Pendant 1 an et demi, je n’ai pas eu de gros singles, mais j’avais toujours des dates de concert.” C’est pendant ses shows que le rappeur de Creil voit l’impact de ses plus gros tubes. “Quand je chante ‘Mouiller le Maillot’ qui est sorti en 2017, on dirait qu’il est sorti hier !” Pour la première fois, Naza va se produire à l’Accor Arena, le 30 octobre 2025. Sachant que ses deux précédents concerts au Zénith de Paris et à l’Olympia se sont déroulés aussi un 30 octobre, on pourrait croire à une date symbolique. La réalité est tout autre : “Je ne suis pas un menteur : il n’y a rien de spécial ce jour-là.” Pourtant, le rappeur s’est attaché à cette date, si bien que même si elle n’était pas disponible en 2024, il la gardait pour son concert événement à l’Accor Arena l’année prochaine. Naza, le “Roi de la joie” Naza est connu pour sa musique, mais aussi pour ses blagues capables de faire rire n’importe qui. “Je suis l’artiste qui a le droit de tout faire.” Surnommé le “Roi de la joie”, il ne peut pas s’empêcher de rigoler, que ce soit sur son Snapchat avec ses amis ou même dans ses chansons, comme sa reprise humoristique de “Une souris verte”. Cet amusement constant, il le partage avec un collègue : Gradur. En plus de leur titre en commun “Ma petite”, les deux rappeurs sont inséparables dans la vie. En suivant leurs stories respectives, il est très facile d’imaginer les multiples fous rires qu’ils s’infligent à longueur de journée : “Quand je suis avec lui, on redevient des gosses. Nous sommes un duo incroyable.” En parallèle de ses albums et de ses concerts, Naza aimerait lancer son one-man-show, “mais c’est dur de faire rire les gens.” Cela fait plusieurs années que son grand frère l’incite à créer sa propre émission humoristique. Pour le choix de son invité, le rappeur voit les choses en triple : “Gradur, Keblack et Loris.” Ce projet, il y pense depuis un long moment, même si “la musique, ça prend du temps. Mais je garde ça dans un coin de ma tête.” Peut-être un lancement après son Accor Arena prévu pour l’année prochaine ? Affaire à suivre. L’’interview de Naza est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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Dans un cycle de trois épisodes réalisé par Kim Chapiron, Vincent Cassel découvre le berceau de la création d’Audemars Piguet, niché dans la Vallée de Joux, là où le temps semble s’être arrêté. Entre passé, présent et futur, cette aventure passionnante nous transporte au cœur d’un savoir-faire intemporel. Pour Audemars Piguet, Vincent Cassel se fait explorateur du temps. À la recherche de réponses à ses questions existentielles sur l’univers, il s’entretient avec l’astrophysicien Michel Cassé et le Directeur du Musée et du Patrimoine d’Audemars Piguet, Sébastian Vivas. Le Passé En pleine déambulation, Vincent Cassel se plonge dans le passé de la Manufacture, abritant depuis bientôt 150 ans nombre des plus grands artisans de l’horlogerie. C’est à la Maison des Fondateurs que débute le pèlerinage temporel de l’acteur, retournant aux origines de la création du temps. “Imaginez si les jours n’avaient pas de noms ?” – Sébastian Vivas L’astrophysicien Michel Cassé et le Directeur du Musée et du Patrimoine d’Audemars Piguet, Sébastian Vivas, nous invitent dans leur machine à remonter le temps. Il y a 4000 ans, en Mésopotamie, naissait la mesure du temps. Cette exactitude et justesse du temps sont réveillées par les pièces de collection et outils historiques de La Manufacture, multiples preuves d’un savoir-faire ancien, authentique et rigoureux. Un voyage dans l’histoire de l’horlogerie où murmure entre les couloirs un art précis et précieux, qui se transmet de génération en génération. Le Présent “La montre, machine magique que l’on a au poignet, nous fournit aussi des émotions.” Sébastian Vivas Pour se plonger au cœur de la magie d’Audemars Piguet, Vincent Cassel découvre les merveilles du Musée Atelier, où l’on peut admirer l’héritage des horlogers, sertisseurs, joailliers, graveurs et autres artisans. L’acteur trouve les réponses à ses questions dans le lieu où le temps se fabrique et se partage. Il découvre les prouesses technologiques de la Manufacture Audemars Piguet, là où la montre devient vecteur d’émotion. Avec Audemars Piguet, la maîtrise de la précision se transforme en art, puisant son inspiration dans l’histoire de la création du temps. Parfois trop lent, parfois trop rapide, le temps ressenti n’est jamais maîtrisé. L’heure devient alors le liant nécessaire entre les Hommes, pour vivre ensemble malgré la distance, la culture, la langue. Un élément unificateur régi par le soleil. C’est dans le puits de lumière du Musée que se dévoile la relation entre le corps humain, base de toutes les mesures, la création du temps et la maîtrise de ce dernier.
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