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Le « F-word » a fait irruption de façon spectaculaire dans la campagne électorale aux États-Unis. Le 23 octobre, c’est la rivale de Donald Trump, Kamala Harris, qui a qualifié le candidat de « fasciste ». Le terme a été prononcé peu après les révélations de Jeffrey Goldberg dans The Atlantic, concernant les commentaires positifs sur Hitler de la part de l’ancien hôte de la Maison-Blanche, et ses regrets de ne pas pouvoir compter sur « des généraux comme [les siens] » – sous-entendu, à son service plutôt que loyaux envers la Constitution.