“Je saurai un jour qui a instrumentalisé cette affaire contre moi, pour me faire tomber mais je ne suis pas tombé, je suis vivant”, a-t-il déclaré sur BFMTV.
Il a fustigé une “société de la dénonciation” et les “oukases et petits montages politiciens”.
Le parquet de Paris avait ouvert le 18 août une enquête pour “viol par personne ayant autorité”, avant de classer sans suite la procédure “du fait de l’acquisition de la prescription de l’action publique”.
L’ex-adjoint avait dénoncé des allégations “graves” et “sans fondement”, contestant tout rapport sexuel avec cet homme. “J’ai toujours condamné la pédophilie”, a-t-il affirmé sur BFMTV.
Puissante figure de la politique culturelle de la ville de Paris, Christophe Girard avait déjà été poussé fin juillet à la démission de son poste de maire-adjoint en raison de ses liens avec l’écrivain accusé de pédophilie Gabriel Matzneff.
Selon lui, la campagne dont il a alors fait l’objet a relevé d’un “coup politique bien organisé”.
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