“Silence, on coule“. Cela fait 50 ans, le journal Combat tirait sa révérence et adoptait ce titre emblématique pour son dernier numéro. Sa fin, le 30 août 1974, a été largement couverte, signifiant l’arrêt de la presse d’opinion née de la résistance. Combat était l’un des emblèmes de cette époque, aux côtés d’un autre périodique aujourd’hui disparu, France-Soir.

Bien qu’il n’ait pas connu le même chemin ni le même succès, son récit illustre l’échec du renouveau de la presse après la libération. Il laisse un héritage considérable dans l’histoire de la presse française. Cela, malgré son existence mouvementée –  loin d’être un long fleuve tranquille, avec de nombreuses divisions au sein de la rédaction – et grâce aux plumes renommées qui y ont contribué. Parmi eux :&nbsp…

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“Silence, on coule“. Cela fait 50 ans, le journal Combat tirait sa révérence et adoptait ce titre emblématique pour son dernier numéro. Sa fin, le 30 août 1974, a été largement couverte, signifiant l’arrêt de la presse d’opinion née de la résistance. Combat était l’un des emblèmes de cette époque, aux côtés d’un autre périodique aujourd’hui disparu, France-Soir.

Bien qu’il n’ait pas connu le même chemin ni le même succès, son récit illustre l’échec du renouveau de la presse après la libération. Il laisse un héritage considérable dans l’histoire de la presse française. Cela, malgré son existence mouvementée –  loin d’être un long fleuve tranquille, avec de nombreuses divisions au sein de la rédaction – et grâce aux plumes renommées qui y ont contribué. Parmi eux :&nbsp…