Le comédien s’est ouvert à Patrick Sébastien sur les conséquences de l’accident qui a eu lieu à Trappes un 17 janvier. Jamel Debbouze n’avait à l’époque que 14 ans lorsqu’il se fait happer le bras par un train Paris-Nantes. Malgré le choc et sa blessure grave, il n’oublie pas l’essentiel. “Le premier réflexe que j’ai quand le médecin me l’annonce, c’est de lui demander de me prêter un des stylos de couleurs qu’il a dans sa poche, car tout de suite, je m’entraîne pour commencer à écrire de la main gauche”, a-t-il confié au magazine.
Une réaction qui l’a très certainement protégé d’un traumatisme psychologique: “Comme si cet accident était un non-sujet. Finalement il ne fallait pas que ce soit un sujet”, ajoute l’humoriste. Malgré tout, l’accident, qui lui a fait perdre l’usage de son bras droit, l’aura empêché de poursuivre son rêve de devenir un jour footballeur. “Vocation ratée, tout ça à cause de mon ménisque! Sinon j’aurais fait une carrière internationale! Depuis mon accident, tout ce que je vis, c’est du bonus, du sursis”, explique le fan de l’équipe de France.
Le mari de Mélissa Theuriau compte bien laisser ses enfants rêver à sa place. En effet, son fils Léon veut devenir footballeur professionnel et nul doute que son papa sera derrière lui pour l’encourager. “Il veut être footballeur! Léon Debbouze! Parc des Princes! En finale de la Coupe du monde! Sérieusement, humoriste ou footballeur, je suis fier du moment qu’il kiffe sa vie! Je dis toujours à mes enfants: ‘Faites ce que vous voulez, mais faites-le au mieux !’”, a-t-il déclaré à Patrick Sébastien.
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