Se connecter
Même celles et ceux qui le soutiennent ont perdu le fil. Est-ce la dixième ou la onzième demande de libération conditionnelle de Georges Ibrahim Abdallah ? Si son avocat, Jean-Louis Chalanset, compte bien, c’est la onzième. Un chiffre qui l’abasourdit encore : « Quand j’ai commencé à le défendre, après la mort de Jacques Vergès, en 2013, je pensais qu’il serait libre au bout d’un ou deux ans », se désole-t-il. Son client est libérable depuis 1999.