Devant un laboratoire de Neuilly-sur-Seine (92), aux portes de la capitale, la file s’étirait sur une centaine de mètres, lundi 31 août, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Étudiants, voyageurs et travailleurs faisaient le pied de grue depuis les petites heures du matin pour se faire dépister.
À notre micro Erwan, étudiant, préfère voir les choses du bon côté malgré l’attente. “Il vaut mieux qu’il y ait du monde qui se fasse tester, histoire qu’on arrive à se sécuriser un peu”. “Les labos ont le personnel qu’ils ont. Ils font comme ils peuvent”, renchérit Léa, qui désire se faire dépister avant un voyage d’affaires en Europe.
“Nous allons avoir des barnums de tests devant les mairies d’arrondissements de Paris qui vont permettre d’aller se faire tester, sans prescription, sans ordonnance” a-t-il promis au micro de RTL.
Dans les prochaines semaines, le gouvernement table sur une montée en puissance des tests avec l’objectif d’un million par semaine contre 900.000 actuellement.
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