Cette décision a été prise à la demande des autorités sanitaires et “par précaution”, a précisé Jen Psaki lors d’un point-presse.
Les personnes concernées ont été mises en quarantaine et une procédure est en cours pour déterminer avec qui elles ont été en contact.
“Il est demandé à tous les Afghans qui arrivent actuellement d’être vaccinés contre la rougeole”, a déclaré Jen Psaki.
Elle a précisé qu’un certain nombre de vaccins importants, y compris le vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et le rubéole, étaient administrés dans les bases qui accueillent les Afghans aux États-Unis, tandis que l’administration américaine étudiait la possibilité de vacciner aussi ceux qui se trouvent encore sur des bases à l’étranger.
Avant de mettre fin à leur présence en Afghanistan le 31 août, les États-Unis ont organisé l’évacuation de plus de 120.000 personnes par pont aérien.
Parmi elles une majorité de ressortissants afghans jugés vulnérables, en particulier ceux risquant des représailles des talibans pour avoir travaillé avec les forces américaines.
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