“De votre vote dépendront les décisions politiques du prochain quinquennat, mais qui en réalité, engageront la France pour les 50 prochaines années”, a encore lancé la candidate du Rassemblement national, laquelle a recueilli 24,4% des voix, selon les premières estimations.
Celle qui se veut la “présidente de tous les Français” a présenté la campagne de second tour comme un “choix fondamental entre deux visions opposées”, avec d’un côté la “division, l’injustice et le désordre” qu’incarne selon elle le président sortant, et de l’autre la “justice sociale”. “Je redresserai la France en cinq ans”, a promis la cheffe de file de l’extrême droite, qui entend “recoudre les multiples fractures dont souffre une France trop déchirée” (discours intégral à retrouver ci-dessous).
Elle a également insisté sur son “ambition démocratique”, avec le référendum d’initiative citoyenne qu’elle souhaite instaurer, et son “patriotisme économique” via le soutien aux petites et moyennes entreprises “créatrices d’emploi”. Marine Le Pen a reçu le soutien de son ancien rival Eric Zemmour dans la soirée.
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