La responsable démocrate a ainsi expliqué que l’homme importait peu, et son lieu de résidence physique encore moins, au regard du processus électoral américain. S’il perd l’élection présidentielle du 3 novembre, le magnat de l’immobilier devra faire ses valises, quel que soit le peu d’empressement qu’il aura à reconnaître la victoire de son adversaire.
Une mise en garde qui ne devrait pas changer la ligne suivie par le président Trump, la même que celle qui a précédé son élection en 2016: ne faire aucune promesse de respect des règles habituelles de la démocratie américaine, en mettant en avant le risque de fraude électorale de la part des démocrates.