ENVIRONNEMENT – À l’heure où nos habitudes numériques changent, ou le télétravail devient la règle plutôt que l’exception, que les séries rythment nos discussions à la machine à café et où les Français passent plus de 2 heures par jour sur internet, le sujet est inévitable. Notre empreinte carbone numérique, ce que nous prenons à la planète avec nos habitudes d’internautes, de téléspectateurs ou de gamers, cela représente quelque chose comme 2% du CO2 émis par l’hexagone.
Mais si faire la chasse aux gaz à effet de serre, c’est bien, encore faut il savoir où les trouver. C’est vrai, ils peuvent parfois se cacher dans des endroits incongrus: par exemple, votre smartphone. C’est vrai aussi que la pollution de votre vie numérique n’a rien de virtuelle. Mais croire qu’en supprimant ses mails, on a participé, au moins un petit peu, à la grande bataille de notre temps, c’est une erreur.
Trier vos mails a un impact ridicule sur le climat. Pire, c’est même contre productif. Pour réduire son empreinte carbone numérique, il faut déjà comprendre ce qui pollue vraiment. Et une fois qu’on a compris cela, il faut se rendre compte qu’on ne peut pas agir sur tout. C’est ce qu’on va découvrir dans ce nouvel épisode de L’enver(t) du décor, le podcast environnement du HuffPost.
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