La magnifique rhapsodie de Mumbai de « Tout ce que nous imaginons comme lumière »
Le drame de la solidarité féminine de Payal Kapadia, grand lauréat à Cannes, rend un hommage radieux à une ville et à ses habitants.
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L’actrice recommande certains de ses comptes préférés de détectives, de morts et de laissés-pour-compte.
MaXXXine, Furiosa et Beetlejuice ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Max ce mois-ci.
Mouloud Achour reçoit l’actrice Catherine Frot dans Clique. Actuellement à l’affiche de la pièce “Lorsque l’enfant paraît”, elle raconte comment sa carrière dans le cinéma a décollé après ses 40 ans, son discours après gagné le César de la meilleure actrice, mais aussi sa relation unique avec Jean-Pierre Bacri. Comment le théâtre a changé sa vie Après avoir remporté deux Césars pour ses rôles au cinéma dans “Marguerite” et “Un air de famille”, Catherine Frot revient à son premier amour : le théâtre. Elle joue actuellement la pièce “Lorsque l’enfant paraît” mis en scène par Michel Fau au théâtre Marigny. Cette comédie a réuni plus de 200 000 spectateurs pour plus de 300 représentations, le succès est immense. Selon l’actrice principale, “c’est un divertissement pur avec une grande profondeur.” Cette passion pour le théâtre, Catherine Frot l’a toujours eu. C’est dans cet environnement qu’elle a commencé sa carrière d’actrice, aux côtés de Peter Brook dans les années 1980. “On faisait tout nous-même : les décors, les costumes… On réfléchissait ensemble et c’était fantastique.” Finalement, c’est en 1996 qu’elle devient populaire aux yeux du grand public grâce au film “Un air de famille”. Elle décroche le César du meilleur second rôle féminin pour son personnage de Yolande Ménard : “Ce film, c’était la pochette surprise incroyable.” C’est seulement à 39 ans que Catherine Frot explose au cinéma, une situation très rare chez les actrices. Une grande carrière au cinéma Pour Catherine Frot, “Le métier d’acteur, c’est entraîner les gens avec soi, c’est jouer avec le public.” Cette mentalité ne l’a jamais quittée tout au long de sa carrière d’actrice. Elle y a croisé le chemin de noms importants du cinéma comme Cédric Klapisch, Francis Veber, Xavier Giannoli et le grand Jean-Pierre Bacri, décédé en 2021. Elle lui rend hommage sur le plateau en répondant à un extrait où il évoque les attentes du public : “On le reconnaît bien, il se demande ce qu’on peut faire ou pas aujourd’hui en tant qu’acteur et il a raison. On se la pose tous les jours cette question.” De son côté, pour garder les pieds sur Terre, la comédienne prend en compte les remarques que le public fait sur son travail. “La critique m’a toujours beaucoup apporté. Pour moi, l’auto-critique, c’est vital.” L’interview de Catherine Frot est disponible en replay sur myCANAL.
L’article Catherine Frot : “Je préfère mon travail à moi-même” est apparu en premier sur Clique.tv.
CANNES – Et si durant le festival de Cannes, le sujet de la place des femmes n’était plus évoqué car il n’y aurait plus plus besoin d’en parler? C’est le rêve de plusieurs actrices. Lors de la conférence de presse du jury du 6 juillet, Mélanie Laurent, appuyée par Mati Diop, Maggie Gyllenhaal et Jessica Hausner, ont abordé ce sujet, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous. L’actrice française a précisé qu’elle “rêve pour nous tous, que l’on soit le premier festival et le dernier où il y aura un débat sur les femmes. Je suis un peu naïve. Mais si on pouvait laisser respirer cette planète et laisser respirer les femmes en même temps, qu’il n’y ait plus de débats, plus d’absurdité, d’hérésies, de folies, alors ce serait merveilleux.” La réalisatrice Jessica Hausner a également pris la parole à ce sujet. Elle explique notamment que ces questionnements “reflètent le fait que notre société est maintenant prête pour un certain changement qui aurait dû se produire plus tôt. Mais certaines choses prennent beaucoup de temps, notamment pour changer les images dans nos têtes.” Mais le sujet ne risque malheureusement pas d’être clos de si tôt… Cette année, sur 24 films en compétition pour la Palme d’or, seulement quatre ont été réalisés par des femmes. Dans l’histoire du festival, il n’y a jamais eu plus de quatre réalisatrices en compétition pour le prix. Le chiffre remonte du côté de la Semaine de la critique. Sur 13 longs-métrages, sept sont portés par des femmes. Enfin, ce chiffre atteint la moitié pour les films présentés à la Quinzaine des réalisateurs. À voir également sur Le HuffPost: Au Festival de Cannes, les vacanciers de juillet investissent le “gang des escabeaux” Source
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