L’élection américaine déchire BookTok
Une des sous-cultures emblématiques de TikTok est de discuter pour savoir si les livres sont politiques, de « mettre sur liste rouge » des auteurs et de chercher des conseils dans la fiction spéculative.
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Après avoir résolu discrètement un différend avec son agence de management, l’influenceuse chinoise extrêmement populaire Li Ziqi a commencé à publier à nouveau, gagnant des millions de nouveaux abonnés du jour au lendemain.
Aucune décision ne révèle plus clairement le mépris de Donald Trump pour les forces armées de son pays que sa sélection de l’animateur de télévision comme son secrétaire à la Défense.
L’alliance du milliardaire technologique avec le Président élu a des implications de grande portée pour l’Administration entrante.
Guillaume Kasbarian n’aura pas tardé après sa prise de fonction au ministère de la Fonction publique, fin septembre, pour s’attirer les foudres des fonctionnaires. « J’accepte de ne pas dissimuler la dérive de l’absentéisme que nous pouvons constater dans les chiffres, a-t-il affirmé. Aujourd’hui, nous observons une hausse significative de la moyenne de jours d’absence par agent [de la fonction publique]. »
Le ministre a proposé au Parlement de prolonger le délai de carence en cas d’arrêt maladie des fonctionnaires, le faisant passer d’un jour actuellement à trois, comme c’est le cas dans le secteur privé. En théorie tout au moins, car les jours de carence sont, pour deux tiers des employés du privé, pris en charge par leur employeur.
Pour soutenir ses dires, Guillaume Kasbarian s’appuie sur diverses statistiques : le nombre de jours d’absence pour des raisons de santé par agent est monté à 14,5 en 2022. Cela représente, en termes d’indemnités journalières versées par l’Etat pour les arrêts maladie, 15 milliards d’euros uniquement pour la fonction publique. Toutefois, « il y a quelques années, la moyenne se situait à 8 jours », fait remarquer le ministre. Pour un salarié du privé, la moyenne s’établit à 11,7 jours, selon la revue des dépenses effectuée cet été par l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l’Inspection générale des finances (IGF).
Peut-on en conclure, comme le suggère Guillaume Kasbarian, que les fonctionnaires abusent des arrêts maladie ?
Avant de répondre à cette question, il est nécessaire de rappeler un point qui peut sembler évident : un arrêt maladie est prescrit par un médecin. « Si celui-ci ne souhaite pas en prescrire, s’il ne juge pas cela nécessaire, il ne le fait pas, souligne l’économiste Nicolas Da Silva. Or, dans le débat public, il est souvent question du “patient fraudeur”. » Que ce soit un salarié du privé ou, en l’occurrence, un agent de la fonction publique. « La manière d’aborder la question n’est donc pas vraiment conforme à la réalité », ajoute-t-il.
Revenons aux chiffres sur lesquels s’appuie Guillaume Kasbarian; il est primordial de les relativiser. « Pour comparer le public et le privé, il faudrait que les caractéristiques des travailleurs soient identiques », explique Nicolas Da Silva. Cependant, cela est loin d’être le cas, comme le montre le rapport de l’Igas et de l’IGF.
Dans le secteur public, les agents sont effectivement plus âgés que les employés du privé. Ils sont souvent davantage des femmes ou des personnes souffrant de maladies chroniques. Le statut, la catégorie socioprofessionnelle, le niveau d’études ou la composition familiale influencent aussi la propension à l’absence. « Tous autres facteurs égaux, les agents titulaires ont par exemple un taux d’absence supérieur de 2 points de pourcentage à celui des agents sous contrat. », peut-on lire dans le rapport.
« [Toutes] ces caractéristiques rendent la fonction publique plus vulnérable à l’absentéisme que le secteur privé. »
Dit autrement : « S’il existe des différences entre le nombre d’arrêts maladie des agents et des salariés, c’est en premier lieu parce que les personnes travaillant dans le secteur public sont plus exposées à la maladie », explique Nicolas Da Silva.
Après avoir pris en compte ces caractéristiques, l’écart entre les absences pour raisons de santé dans le privé et le public se réduit presque entièrement, à l’exception de la fonction publique territoriale (FPT).
« Les caractéristiques des agents et des emplois expliquent 95 % des écarts de taux d’absence par rapport au secteur privé pour la fonction publique d’Etat et la fonction publique hospitalière, et 53 % pour la fonction publique territoriale », précise l’Igas et l’IGF.
Concernant la fonction publique territoriale, ce chiffre doit encore une fois être pris avec précaution : elle ne compte que 34 % des agents, pas la totalité de la fonction publique. L’écart du nombre d’absences, à l’aune du secteur privé, est également moins significatif lorsque l’on prend en compte les caractéristiques des fonctionnaires (âge, genre, état de santé, diplôme, etc.).
Enfin, le fait qu’une différence ne soit pas expliquée par le modèle statistique ne signifie pas qu’elle soit illégitime, autrement dit, qu’elle représente un abus ou une fraude. Même l’Igas et l’IGF le soulignent :
« L’écart inexpliqué signifie que la différence […] entre les absences [FPT et privé] n’est pas expliquée par les variables pouvant être contrôlées par le biais de l’enquête Emploi [dont se basent les données de l’étude, NDRL.]. Une partie de cet écart pourrait être justifiée par d’autres caractéristiques non incluses dans l’enquête. »
A commencer, par exemple, par la pandémie de coronavirus. « Le rapport indique qu’il n’existe pas de données sur l’impact du Covid sur les arrêts maladie des agents des trois versants de la fonction publique, alors qu’il y en a pour le régime général », souligne Nicolas Da Silva.
Quoiqu’il en soit, le gouvernement est déterminé à étendre les délais de carence. Peu importe que le rapport de l’Igas et de l’IGF révèle l’absence d’abus chez les fonctionnaires en arrêt maladie. Ou que cette mesure nuise à tous les agents, et particulièrement aux femmes, aux seniors et aux personnes ayant des problèmes de santé.
Peu importe également si cette mesure s’avère finalement contre-productive, comme l’ont démontré plusieurs chercheurs en se fondant sur des expériences antérieures.
Cazenave-Lacroutz et Godzinski se sont, par exemple, penchés sur l’instauration en 2012 d’un jour de carence dans la fonction publique. Ils ont observé une réduction des absences de moins d’une semaine et une hausse des absences de plus d’une semaine.
Dans une autre recherche, l’économiste Catherine Pollak compare des employés bénéficiant d’une couverture du délai de carence par leur employeur à ceux n’en ayant pas. Elle conclut que les employés couverts s’arrêtent moins souvent et pour une durée plus courte.
<pAinsi, comme le résument Thomas Breda et Léa Toulemon dans leur revue de littérature sur la question pour l'institut des politiques publiques (IPP) :
« La mise en place d’un délai de carence n’augmente pas le total des jours d’arrêts maladie pris dans l’année, mais elle influence la répartition des arrêts. Grâce à un délai de carence, les employés prennent moins d’arrêts courts et davantage d’arrêts longs. »
Or, les arrêts longs engendrent des dépenses plus élevées pour la Sécurité sociale. Cela a également des conséquences sanitaires, soulignent les chercheurs de l’IPP :
« Il est possible que l’évitement des arrêts courts influence la santé des employés, dont les pathologies empirent et se transmettent à d’autres qui pourraient à leur tour décider de continuer à travailler pour éviter une perte de revenus. »
Les recherches sur le sujet montrent effectivement que l’allongement des délais de carence favorise le présentéisme, un phénomène déjà en hausse en France.
Et ce mal, en plus d’être nuisible pour la santé des individus, affecte également la productivité. « La performance au travail des employés qui se présentent malades diminue inévitablement, ainsi que celle de leur organisation », explique le sociologue Jean-François Amadieu, spécialiste du présentéisme.
Cet argument ne pèse cependant pas lourd face à un gouvernement qui ne cherche qu’à gratter les fonds de tiroir pour réaliser des économies : en augmentant à trois jours le délai de carence des fonctionnaires en arrêt maladie, et en abaissant à 90 % les remboursements de ceux-ci (contre 100 % aujourd’hui), l’exécutif espère économiser 1,2 milliard d’euros. Mais il ne prend pas en compte le coût des effets pervers de sa réforme, dont l’intention politique est par contre très claire : stigmatiser les fonctionnaires, une fois de plus.
Casque audio placé sur les oreilles, Louise est plongée dans le récit d’une personne ayant subi des violences sexuelles, qui s’exprime pour la première fois. « Vous n’êtes pas en faute. Le fait de ne pas être capable de dire non ne signifie pas que vous ayez donné votre consentement », lui affirme calmement l’écoutante du Collectif féministe contre le viol (CFCV). De manière automatique, Louise écrase un cafard qui grimpe sur son bureau avec un cahier, tout en continuant de rassurer la personne en détresse au bout du fil. À la fin de l’appel, la travailleuse sociale fait un débriefing :
« Les cafards sont devenus si quotidien qu’on n’y prête plus attention. On les retrouve même dans le café. »
Basé dans des bureaux au sud de Paris, le Collectif féministe contre le viol écoute les témoignages de victimes et leur offre un soutien à travers sa ligne d’écoute anonyme et gratuite (1) – le 0 800 05 95 95, la seule spécifiquement consacrée aux violences sexuelles. Une mission de service public que l’État transfère aux associations, sans toutefois leur fournir un soutien proportionné à l’ampleur de la tâche, alertent les organisations par divers moyens. Ces derniers mois, les infiltrations d’eau et la dégradation progressive des locaux du CFCV ont altéré leurs conditions de travail, déplore Sophie Lacombes, responsable de mission :
« Notre travail sauve des milliers de femmes, mais il se fait au milieu des cafards, des fuites d’eaux usées et des odeurs insupportables… »
Le Collectif féministe contre le viol écoute la parole des victimes. /
Crédits : Pauline Gauer
Des morceaux de scotch ont été utilisés pour limiter la propagation accrue des cafards. /
Crédits : Pauline Gauer
Depuis sa fondation en 1985, le collectif loue ses bureaux à la mairie de Paris : quelques pièces dans un immeuble datant des années 1960, dont l’état s’est détérioré au fil des ans. « Il y avait quelques cafards avant, mais c’était supportable », juge Sophie Lacombes. « Aujourd’hui, ce n’est plus supportable. » Fréquemment, les toilettes de l’immeuble débordent à l’étage du CFCV à cause d’une des cuvettes du palier, entraînant des inondations désagréables.
Le Collectif féministe contre le viol souffre de problèmes d’inondation depuis plusieurs mois. /
Crédits : Pauline Gauer
Les sols sont abîmés, les plinthes sont déformées. « Nous avons dû ajuster les portes gonflées puisqu’elles devenaient difficiles à ouvrir », indique la responsable de mission. Des morceaux de scotch ont été utilisés pour calfeutrer l’ancien vide-ordures et réduire la prolifération des cafards, à cause des déjections. « Avec le temps, on sait où placer nos affaires pour ne pas ramener de cafards à la maison ! » Elle ajoute, sérieuse :
« Il arrive qu’on se retrouve les pieds dans l’inondation et qu’on soit même obligées de réorganiser rapidement nos activités. »
Quatre fois depuis cet été, les toilettes ont tellement débordé que le personnel a dû quitter les locaux. Si les écoutantes continuent leurs appels, le reste de l’équipe tente de gérer les dégâts des eaux pour protéger les archives précieuses. Elles compilent tous les témoignages reçus depuis la création du collectif. « Les victimes peuvent nous les demander afin de les utiliser comme preuve lors de procès », précise Sophie Lacombe. « Nous avons rapidement écrit sur un post-it aux collègues en ligne de ne pas accepter d’appels supplémentaires », s’émeut Louise, l’écoutante :
« C’est déchirant : pendant plusieurs heures, le temps de passer au télétravail ou d’appeler une entreprise en urgence, la ligne d’écoute reste muette et des victimes demeurent sans réponse. »
Sophie Lacombes, responsable de mission au Collectif féministe contre le viol. /
Crédits : Pauline Gauer
Depuis 2017 et le mouvement MeToo, le CFCV a enregistré une augmentation de 10 % à 20 % des appels chaque année. « Nous parvenons encore à répondre à toutes les demandes des victimes, mais la ligne est débordée », s’inquiète Sophie Lacombes. Malgré des subventions de l’État jugées insuffisantes par le collectif, il a réussi à établir trois nouveaux postes ainsi qu’une nouvelle ligne d’écoute en 2021 : celle consacrée aux violences sexuelles dans l’enfance (2), en plus des deux équipes de six écoutantes pour le service historique dédié aux victimes de violences sexuelles. « Nous les avons placées dans la salle où nous mangions auparavant », s’indigne Sophie Lacombes. « La seule pièce inutilisée reste dans l’obscurité, ses volets électriques ne fonctionnant plus… »
En 2021, le collectif a lancé une ligne d’écoute pour les violences sexuelles dans l’enfance. /
Crédits : Pauline Gauer
Pour le plus grand soulagement de l’équipe, aucune inondation ne s’est produite en présence de femmes venues participer à un groupe de parole ou à un entretien individuel avant un procès. Cependant, la dégradation des bureaux et des conditions de travail requiert une énergie additionnelle de la part des salariées, en plus de leur mission d’assistance aux victimes.
Consciente de la situation, la direction du Logement de la Mairie de Paris a assuré par email qu’elle « était activement à la recherche d’une solution de relogement au sein de son patrimoine ». Mais, elle se dégage de sa responsabilité :
« Minoritaire dans cette copropriété, la mairie de Paris sollicite régulièrement le syndic pour résoudre les problèmes. »
Quelques propositions de relogement ont été faites au CFCV depuis l’été. « Soit elles dépassaient notre budget, soit elles ne répondaient pas aux exigences de notre mission, telles qu’un accès discret et sécurisé pour accueillir les victimes », précise Sophie Lacombes. En attendant, le CFCV fait appel aux dons pour assurer sa pérennité financière (3) et continue de répondre aux appels entrants. « Aider les victimes à sortir de la violence vaut bien tous les cafards du monde », tente de minimiser Louise.
(1) « Viol Femmes Informations », ligne gratuite et anonyme, disponible du lundi au vendredi de 10h à 19h : 0 800 05 95 95
(2) « Violences Sexuelles dans l’Enfance », ligne gratuite et anonyme, accessible du lundi au vendredi de 10h à 19h : 0 805 802 804
(3) Une cagnotte en ligne est présente ici
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À Nanterre, la progression rapide de l’IA générative redéfinit la façon dont les entreprises envisagent l’innovation et l’optimisation. À travers des formations ciblées, des projets avant-gardistes et une synergie avec les sciences numériques, les possibilités d’exploiter cette technologie continuent d’évoluer. Cet article se penche sur la fonction des agences d’IA générative à Nanterre, leur rôle crucial pour les entreprises, les options de formation disponibles, ainsi que les enjeux de sécurité auxquels elles doivent faire face.
Les agences d’IA générative basées à Nanterre se consacrent à la transformation des entreprises grâce à des technologies novatrices, visant à optimiser l’efficacité et la créativité. Elles proposent des solutions avancées pour intégrer l’intelligence artificielle dans divers domaines, allant de la production de contenu à la gestion des données.
En tirant parti de l’IA générative, ces agences permettent aux entreprises d’automatiser de nombreuses opérations quotidiennes tout en générant de nouveaux contenus captivants pour leurs audiences cibles. Cela est d’une grande importance dans des villes telles que Nanterre, où l’adoption de technologies de pointe est en plein essor.
Face à la demande croissante de compétences en IA à Nanterre, des programmes de formation spécialisés, comme ceux proposés par DATA FORMATION, permettent aux participants d’acquérir une expertise approfondie sur le fonctionnement de l’IA générative. Au final, les stagiaires émergent avec des compétences cruciales pour relever les défis modernes liés à cette technologie.
Les usages des outils d’IA générative sont étendus et diversifiés. Ils englobent la création automatique de contenus visuels ou sonores, le développement de modèles prédictifs pour la gestion des entreprises, ainsi que des outils interactifs pour le design web. Ces avancées contribuent non seulement à diminuer les coûts, mais aussi à rehausser la satisfaction des clients.
Malgré leurs bénéfices, l’utilisation des instruments d’IA générative comporte des risques éventuels. L’agence de cybersécurité de l’UE a attiré l’attention sur certains de ces enjeux, soulignant l’importance croissante de stratégies de protection solides, notamment dans les contextes d’entreprise. Pour en savoir plus sur ces problématiques, visitez le site de l’Usine Digitale.
Des entreprises internationales telles que Getty Images collaborent avec des experts en IA tels que Nvidia pour élargir encore davantage ces horizons, conduisant l’innovation dans la création automatique d’images. Ces partenariats ne signifient pas seulement une avancée technologique, mais représentent également une opportunité pour les agences de Nanterre de renforcer leur savoir-faire et d’étendre leur empreinte à l’échelle globale.
En conclusion, les agences d’IA générative à Nanterre ne se contentent pas de suivre la tendance : elles sont à l’avant-garde, ouvrant de nouvelles voies et assurant que les entreprises locales tirent pleinement parti de cette technologie innovante.
Le groupe Passe la seconde ouvre une boutique temporaire au centre commercial du Polygone à Montpellier. Des créatrices y présentent des objets de décoration, des meubles, des bijoux et des vêtements de seconde main. Disponible jusqu’au 23 décembre. Une chronique en collaboration avec ToulÉco Montpellier.
Pour clôturer l’année, des créatrices du département de l’Hérault, membres du collectif Passe la seconde, se rassemblent dans une boutique temporaire au dernier étage du Polygone de Montpellier. Du 5 novembre au 23 décembre, sept enseignes partagent leurs créations écologiques. Dans ce magasin qui sera ouvert tous les jours, vous découvrirez des meubles vintage et remis à neuf, des vêtements de seconde main ainsi que des bijoux fabriqués à partir de plastique recyclé ou de cuir. Il y a quelque chose pour chacun et pour tous les budgets.
Audrey Delon, l’une des co-fondatrices du collectif, a lancé Typiquement vous il y a trois ans. Elle y vend des vêtements et des accessoires de seconde main pour hommes et femmes via son site en ligne. “Avoir un espace physique permet d’interagir avec les clients et de faire des rencontres”. C’est une véritable vitrine pour toutes ses entreprises. “L’an passé, nous avons observé une nette progression de notre chiffre d’affaires durant cette période. Pour ma part, j’ai atteint mes objectifs annuels grâce à cette boutique”
Vous pourrez découvrir les univers des créatrices Miladoré, Typiquement Vous, Rétro Labo, Précieux Plastique, Plus que Cuir, Recyclé Main et Boréal.
Nous sommes le mardi 12 novembre 2024, voici le programme de “Toujours Debout”, animé par Nadiya Lazzouni : Au programme de cette édition, le retour sur l’actualité concocté ce soir par notre collègue Lydia Menez. Et comme chaque mardi, un débat est au rendez-vous. Pour cet épisode de “Ne Nous Engueulons pas”, notre expert politique, Paul Elek, se mesurera à Max-Erwann Gastineau, auteur de “L’Ère de l’affirmation – répondre au défi de la désoccidentalisation” et chroniqueur pour Le FigaroVox. Nous aborderons deux thèmes d’actualité : D’abord, les conséquences des violences survenues jeudi dernier à Amsterdam lors du match entre l’Ajax et le Maccabi Tel-Aviv, en lien avec une couverture médiatique partiale qui a largement diffusé la thèse d’une montée antisémite, tout en négligeant l’islamophobie des supporters israéliens. Nous discuterons également du récent incident diplomatique entre la France et Israël suite à l’arrestation de deux gendarmes français par les forces de sécurité israéliennes. Les préoccupations entourant le match France-Israël et le gala “Israel Forever” qui souhaite mettre en avant l’extrême droite israélienne seront aussi dans notre viseur. Dans la seconde partie de l’émission, nous aurons le plaisir d’accueillir la députée Léa Balage El Mariky, porte-parole du groupe Ecologiste à l’Assemblée Nationale. Elle a lancé, avec le député macroniste Stéphane Mazars, une mission flash destinée à examiner les actions du gouvernement démissionnaire, en particulier l’outrepasser des affaires courantes. C’est à l’occasion de cette mission qu’a eu lieu, cet après-midi, l’audition de Gabriel Attal, ancien premier ministre, et d’Emmanuel Moulin, inspecteur général des Finances, ancien directeur de cabinet d’Attal. Nous en reparlerons. En guise de dernière partie de soirée, nous recevons Jennifer Cambla, avocate pénaliste au barreau de Paris qui, pour sa première chronique, a décidé de se pencher sur les préjugés racistes des magistrats qui affichent une sévérité accrue envers les prévenus d’origine étrangère.
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