Les politiques complexes de l’inscription tribale
Comment le gouvernement américain est-il devenu impliqué dans l’« adjudication de l’Indianness » ?
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Le salaire minimum de quinze dollars, un enjeu progressiste majeur, a remporté des mesures de vote dans les États républicains. Pourquoi les démocrates ont-ils cessé de le défendre ?
Justin Sullivan / Getty ImagesSamedi 9 juillet, à l’occasion d’un meeting organisé à Anchorage, en Alaska, pour soutenir Sarah Palin, Donald Trump a fait du Trump, multipliant les exagérations, les moqueries et les sorties tendancieuses. ÉTATS-UNIS – “J’adore ce type! Comment pourrait-on ne pas aimer un gars avec un tel t-shirt?” Samedi 9 juillet, à Anchorage en Alaska, Donald Trump était en terre conquise. Pour son grand meeting de soutien à Sarah Palin, qui vise une élection à la Chambre des Représentants lors des midterms de novembre, l’ancien président des États-Unis faisait face à un public de fans, tous ravis de voir leur héros aussi véhément. Et alors que Donald Trump évoquait justement son ambition de reconquérir la Maison Blanche en 2024, l’œil du milliardaire s’est posé sur un détail: deux personnes dans le public qui arboraient une tenue un rien particulière. “Faites-les monter sur scène, je veux que tout le monde voit ça”, a-t-il alors lancé, demandant à la foule d’aider ses deux partisans à le rejoindre au pupitre. Et quel n’a pas été le plaisir de l’assistance lorsqu’elle a découvert un homme et une femme vêtus de t-shirts ornés de multiples portraits de Donald Trump. Le tout sous les cris de l’intéressé: “J’en veux un moi aussi, et je ferai mon prochain meeting avec.” “Retirez ces t-shirts et donnez-les moi” “Je veux ce t-shirt, je les veux tous les deux”, continuait-il d’ailleurs à lancer alors que le couple redescendait dans la fosse sous les applaudissements du public. Et cela après une poignée de main où les deux sympathisants de l’ancien président ont semblé très impressionné de le rencontrer. Le moment choisi pour Donald Trump pour continuer à faire le spectacle, lui l’ancien animateur de télévision et habitué des mimes et autres sketches durant ses meetings. “Allez, retirez ces t-shirts…
Justin Sullivan / Getty ImagesSamedi 9 juillet, à l’occasion d’un meeting organisé à Anchorage, en Alaska, pour soutenir Sarah Palin, Donald Trump a fait du Trump, multipliant les exagérations, les moqueries et les sorties tendancieuses. ÉTATS-UNIS – Une grande réunion de famille. Samedi 9 juillet, l’ancien président américain Donald Trump donnait un meeting à Anchorage, en Alaska, pour soutenir Sarah Palin, peut-être celle qui a impulsé le grand virage réactionnaire et populiste du parti républicain aux États-Unis. Une réunion publique qui a vu Trump… faire du Trump. Face à un public conquis et au côté de celle qui avait été choisie pour être vice-présidente par John McCain lors de l’élection de 2008 finalement perdue contre Barack Obama (et un certain Joe Biden), le 45e président des États-Unis a effectivement passé tous ses sujets phares en revue: la pandémie de Covid et les vaccins, le réchauffement climatique, ses adversaires démocrates (ou républicains), le paysage médiatique ou encore le système électoral… “Je suis pour les armes, Dieu et le pétrole” Et confirmant à demi-mot qu’il sera bien candidat à la prochaine présidentielle, en 2024, sans pour autant faire de déclaration officielle, il a ainsi résumé son projet pour les États-Unis: “Je suis pour les armes, Dieu et le pétrole.” Le tout sous un tonnerre d’applaudissements. “We may have to do it again.” Donald Trump hints at a 2024 run for President during a #SaveAmerica rally in Anchorage, Alaska. #TrumpRallypic.twitter.com/LH7mBbS5i6 — Newsmax (@newsmax) July 10, 2022 “Virus chinois” et montée des eaux Car le public a bien eu ce qu’il était venu chercher: un ancien chef de l’État convaincu de la victoire à venir de ses idées, prêt à toutes les outrances (y compris en prononçant le mot “fuck”, grand tabou de la vie publique américaine) et martelant le discours qu’il aura tenu…
Education Images via Getty ImagesPhoto d’illustration: un ours brun en Alaska. ALASKA – Attaqué, puis harcelé dans son campement par un ours, un homme a été secouru par un hélicoptère des garde-côtes en Alaska, ont annoncé ces derniers dans un communiqué. Pendant leur vol entre Kotzebue et Nome, deux bourgades du centre-ouest de l’Alaska, “l’équipage a observé un signe SOS au-dessus d’un cabanon” dans un camp de mineurs vendredi, ont affirmé les garde-côtes américains, avant qu’un homme leur fasse signe au sol. “L’équipage s’est alors posé et est entré en contact avec l’individu qui nécessitait des soins médicaux après avoir été attaqué par un ours quelques jours plus tôt”, ont-ils précisé. L’individu en question, blessé à la jambe et au torse, a été ramené en hélicoptère jusqu’à Nome pour recevoir des soins. L’Alaska, “pays des ours” Selon ce dernier, l’ours qui l’a attaqué est revenu au camp et l’a harcelé chaque nuit pendant une semaine entière. Ses amis avaient signalé son absence car il n’était pas revenu à Nome le jour prévu. L’Alaska, État américain traversé par le cercle arctique, abrite des ours noirs, polaires et brun, parmi lesquels l’ours Kodiak, considéré comme l’un des plus grands du monde. Il n’est “pas rare” pour les habitants ou visiteurs “de voir des ours, généralement à bonne distance”, selon le site du département de la pêche et de la chasse d’Alaska. Mais même si vous n’en apercevez pas, “vous ne serez jamais loin de l’un d’entre eux: l’Alaska est le pays des ours”, préviennent les autorités locales. À voir également sur Le HuffPost: Au Japon, un ours blesse 4 personnes dans la ville de Sapporo Source
AFPUne vue d’Anchorage, en Alaska aux États-Unis, en novembre 2019. ÉTATS-UNIS – L’issue de l’élection présidentielle américaine était toujours suspendue ce vendredi 6 novembre à quelques États-clés où le dépouillement n’est pas achevé, et la course trop serrée pour déclarer un vainqueur entre Joe Biden et Donald Trump. Parmi ces États-clés, ne figure pas l’Alaska, qui n’a pourtant toujours pas rendu son verdict et cela ne devrait pas être pour tout de suite. Pourquoi n’est-il pas considéré comme un État-clé? Tout simplement car aucun démocrate ne s’y est imposé depuis des décennies et l’issue du scrutin en faveur de Donald Trump ne fait aucun doute, mais cela ne lui rapportera que trois grands électeurs. Ce qui n’aura aucun impact comparé à la Pennsylvanie ou la Géorgie qui doivent encore accorder 20 et 16 grands électeurs. Pourquoi le décompte y est-il très long? C’est une combinaison de deux choses: une procédure de sécurité supplémentaire, ainsi que les délais de scrutin par correspondance les plus lents des États-Unis. Plus de 130.000 votes -plus de 40% du total de l’État- ne seront ainsi comptabilisés qu’au moins à partir de la semaine prochaine, et les derniers bulletins ne le seront que le 18 novembre, précise le Anchorage Daily News. Ce retard s’explique par le fait que tous les bulletins de vote par correspondance sont vérifiés par rapport aux registres de circonscription du jour du scrutin signés par chaque électeur, indique la Division des élections de l’Alaska au journal américain. “Les bulletins de vote ne sont pas considérés comme éligibles pour le dépouillement tant que la recherche des électeurs en double n’a pas été achevée”, selon la procureure générale adjointe Maria Bahr du département de la loi de l’Alaska. Des bulletins comptés jusqu’à 15 jours après le scrutin En d’autres termes: les responsables électoraux s’assurent qu’un électeur…
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