Bobbi Althoff explique comment elle est devenue riche et à quel point elle l'est devenue
De Mommy TikTok à cette interview de Drake et au-delà, l'animatrice du podcast est la preuve que vous pouvez vous frayer un chemin vers la célébrité en ligne et gagner une tonne d'argent en cours de route.
« Il m’a dit que si nous étions victimes de viol en Équipe de France, il faudrait garder le silence »
Elle a gagné 10 000 $ par mois en escroquant des applications comme Uber et Instacart. Rencontrez la reine de la mafia...
Priscila Barbosa est arrivée aux États-Unis avec le rêve de réussir. En utilisant des plateformes de gig economy, elle a bâti un empire commercial à partir de rien. Il y avait juste un énorme problème.
Les grandes entreprises technologiques ne vous laisseront pas partir. Voici une solution
L'année 2023 a vu la « enshittification » des plateformes de Facebook à Google Search. Une nouvelle stratégie de sortie signifie que les plateformes devront jouer gentiment avec vos données, même si vous partez pour un concurrent.
La première fois que j’ai vu la mort de mes propres yeux
TW : Certains passages du texte contiennent des descriptions pouvant heurter votre sensibilité. La mort, c’est comme un cyclone imprévu lors d’une tiède journée de printemps. Comme un gros choc, qui vous transperce le cœur et vous souffle les jambes. La mort, c’est aussi songer à une vie bien remplie, en larmes sur son lit de mort, tout en marmonnant un « je t’aime » à la postérité. N’est-ce pas ? En tout cas, c’est comme ça qu’on nous la présente, dans notre culture populaire ; comme une scène épouvantable de film d’horreur, ou alors comme le grand final tragico-romantique d’une vie incroyable et épanouie. Mais n’est-il pas finalement naïf de glorifier un tel processus ? On a demandé à quatre personnes de nous parler de leur relation à la mort, de la première fois qu’elles ont dû y faire face. Pour une fois, il n’est pas question de « s’en aller en douceur dans son sommeil », d’une « balle dans le cœur » ou d’autres clichés du genre. Lisa Lapiere (21 ans) En 2018, mes deux arrière-grands-parents sont décédés. Mon arrière-grand-mère est partie la première. Elle s’est retrouvée à l’hôpital après une chute puis elle est morte en soins intensifs. Quand elle est décédée, elle avait des « lésions » ici et là, dues aux perfusions, entre autres. Mais je pouvais quand même la reconnaître relativement bien. Mon arrière-grand-père est mort deux mois plus tard. Et là, j’ai eu plus de mal. C’est arrivé très soudainement. Il était en maison de repos. Un matin, on nous a passé un coup de fil pour nous dire qu’il était parti pendant la nuit. Il était assez perturbé par la mort de mon arrière-grand-mère. Mon arrière-grand-père et moi avions une bonne relation. J’allais lui rendre visite tous les jours. Le voir mort…
Voici comment se faire des potes, au cas où vous auriez oublié
IL N’EST PAS NÉCESSAIRE DE SE PRÉCIPITER POUR NOUER DE NOUVELLES RELATIONS, MAIS IL Y A QUELQUES PRINCIPES À RETENIR. PHOTO : TYLER NIX, UNSPLASH « Gardez vos distances », « restez dans votre bulle », « respectez les gestes barrières »… Si avoir passé deux années enfermés chez nous a réussi à ralentir la propagation d’un certain virus, ces restrictions nous ont également empêchés de former de nouvelles amitiés. Selon JR Ilagan, la socialisation IRL est une compétence comme une autre. Et comme le dit ce psychologue clinique basé aux Philippines, toute compétence non utilisée aura tendance à rouiller. Publicité « Du point de vue de l’évolution, ce sont majoritairement les liens sociaux qui ont permis à l’espèce humaine d’en arriver là où elle en est aujourd’hui », déclare Ilagan. D’après lui, ces liens permettent d’accroître le sentiment d’appartenance et d’utilité, de stimuler le bonheur, de réduire le stress, d’améliorer la confiance et l’estime de soi. Ils nous aident également à faire face aux traumatismes et nous apprennent à fonctionner en tant que groupe. Bien que la technologie ait fait progresser la communication numérique, Ilagan rappelle que les appels Zoom et les messageries instantanées ne pourront jamais remplacer les interactions face à face. « Le toucher physique et la lecture de certains signes non verbaux peuvent contribuer au bon maintien et à l’entretien de nos relations. » Avec la pandémie, les lieux de naissance et d’évolution des amitiés — écoles, bureau, clubs et espaces communautaires — nous sont devenus inaccessibles. Au cours des deux dernières années, nous avons donc eu très peu d’occasions de nous exercer à parler à d’autres personnes, excepté à nos animaux, à nos amis très proches et à notre famille. Il n’est dès lors pas étonnant que beaucoup d’entre nous se sentent plus seuls que jamais et aient oublié à quel point se faire de…
Comment le débat autour du vaccin pourrit nos relations
Manifestation contre le pass sanitaire à Marseille le 7 août dernier. Roger Anis / Intermittent via Getty Images Comme s’il n’y avait pas suffisamment de sujets tabous, le vaccin s’est ajouté à la longue liste des thématiques à ne pas aborder lors d’un repas en famille. Deux clans se sont formés, tel un bord politique. « Quoi, tu t’es fait vacciner ? » s’oppose au « Quoi, tu ne t’es PAS encore fait vacciner ? ». Les mois passent et les tensions se creusent au point de parfois créer des ruptures amicales, amoureuses voire familiales. On est allé à la rencontre de ceux pour qui le débat est allé un peu trop loin. Publicité Benjamin, exclu de son groupe d’amis d’enfance depuis qu’il a décidé de ne pas se faire vacciner Particulièrement méfiant des vaccins en général, Benjamin a fait le choix de ne pas se faire vacciner. Un acte qu’il pensait au départ anodin. « J’avais déjà attrapé le Covid et je n’ai pas dans mon entourage de personnes fragiles alors j’ai préféré ne pas me faire vacciner. Je ne pensais vraiment pas que ça aurait autant de conséquences sur ma vie sociale. » Et pourtant, ce choix l’a encore plus isolé que les confinements de ces derniers mois. Du haut de ses 19 ans, Benjamin fait partie d’un groupe d’amis très soudé depuis l’enfance. « On fait des soirées régulièrement ensemble et on part presque toujours tous ensemble en vacances. » Pour la première fois, Benjamin n’a pas été convié aux vacances estivales habituelles. « Ils se sont tous fait vacciner dès que le vaccin était disponible et ça ne me pose pas de problème, je comprends, certains ont perdu des proches à cause de cette merde. Mais moi, j’ai fait le choix d’attendre. Quand on a commencé à débattre du fait…
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