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Des hommes de petite taille nous parlent de leurs défis amoureux

David Ko a été célibataire pendant la majeure partie de sa vie universitaire. Étudiant en biologie moléculaire et cellulaire à l’université de l’Illinois à Urbana-Champaign, propriétaire d’une voiture de sport décapotable et amateur de levée de poids, ce jeune homme de 23 ans avait beaucoup de choses à son actif. Mais il n’avait pas de succès avec les filles. « Il y avait bien des filles qui m’intéressaient, mais comme j’avais à peu près la même taille qu’elles, elles me disqualifiaient automatiquement », se souvient-il. Du haut de son 1 mètre 62, les commentaires sur sa taille ont fini par le faire renoncer aux rencontres amoureuses, car l’idée d’être « éternellement seul » le hantait. « Il est arrivé que des filles me disent oui pour un date, avant de se rétracter. D’autres étaient réticentes dès le départ. En général, elles ne me le disaient pas en face, mais je l’apprenais par des amis communs. Non seulement j’ai essuyé des refus, mais on m’a déjà fait des remarques du genre : “Tu serais tellement plus séduisant si tu mesurais quelques centimètres de plus” ou “Je parie que tu attirerais tellement de filles si tu étais plus grand.” »  La colocation avec un beau jeune homme blanc d’1 mètre 80 qui « attirait beaucoup les filles » n’a pas aidé non plus, le conseil de ce dernier étant simplement « sois confiant ». Le dicton veut que tout ce qui est petit soit mignon, mais est-ce que cela vaut pour les hommes ? Dans une société qui tend à privilégier la taille, il semble que les hommes de petite taille soient les plus mal lotis.  Louiegin Nillas a déjà eu un rendez-vous avec un homme qui faisait quelques centimètres de moins qu’elle – c’était sa première et dernière expérience avec quelqu’un de plus petit. « Cela ne me dérangeait pas, mais la conversation tournait toujours…

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J’ai décroché un rencard avec le rappeur Peet

Mon dernier rencard en date s’est déroulé il y a un an. Ça s’était plutôt bien passé vu que je suis toujours en couple avec cette personne. Du coup, je ne suis pas vraiment certaine que mon mec soit fan de ce concept, mais bon il fera sans doute une exception quand il saura que c’est Peet que je rencontre à l’occasion de la sortie de son album Mignon, qui porte en fait son nom de famille.  Quelques jours avant notre rencard, Peet m’avait informée qu’on allait faire une pizza ensemble au restaurant NONA à Bruxelles. Arrivée en face de la pizzeria à 17 heures, j’aperçois Peet et ses potes qui attendent patiemment mon arrivée – ou fumaient juste une clope. J’arrive à leur niveau et lance un « salut ! ». Un peu confus, Peet me regarde et me répond : « Salut, t'es une des serveuses du restaurant ? ». Ça commence bien. Après un pouffement de rire de ses potes quand je lui ai dit que j’étais son rencard, il était temps de mettre la main à la pâte. VICE : Salut Peet, pourquoi t’as choisi la pizzeria NONA pour notre date ?Peet : J’ai choisi cet endroit car je travaille ici depuis deux ans et c’est un resto que j’affectionne. En plus de ça, à l’occasion de la sortie de mon dernier album, NONA et moi avons décidé de créer une pizza « Mignon » ensemble et une « Peet-za box » avec un vinyle, un t-shirt, une planche de stickers et un jeu de cartes. Je la livre moi-même. Tu veux des olives sur la pizza ? « Tu veux des olives sur la pizza ? » Oui, s’il te plaît. Bravo pour ton premier album. Comment est-ce-que tu le décrirais en quelques mots ?Merci. C’est difficile de le résumer,…

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Le bilan d’une année sans sexe, sans amour et sans rencontres

Pendant le premier confinement, mon célibat aurait été plus facile à vivre si je n'avais pas commencé 2020 en couple. Je me souviens encore de la carte de Noël qu'il m'a envoyée et du message qu'il a écrit à l'intérieur : « J'ai adoré passer 2019 avec toi, j'ai hâte de voir ce que 2020 nous réserve. » Moi aussi, j’avais hâte. Mais un mois plus tard, nous étions tous les deux assis dans sa chambre, le visage rouge de larmes, ma valise prête pour le grand départ. « On peut continuer à se voir ? » m’a-t-il demandé, les yeux brillants de l'espoir d'un adolescent naïf. Son cerveau d’adulte rationnel aurait pu lui souffler la réponse. Il savait qu'on ne pouvait pas. Et la raison de notre séparation était aussi simple qu'elle était bouleversante. Il rêvait d’avoir des enfants, un jour. Des enfants dont je ne voulais pas et que je ne pouvais pas lui donner de toute façon.  Notre relation était en phase terminale et j'ai préféré la voir mourir dans la dignité plutôt que d’assister à sa lente agonie. J’ai eu beaucoup de chagrin. Un chagrin qui a duré des mois. Des mois qui, malheureusement, ont coïncidé avec une pandémie qui a bouleversé tous les autres aspects de ma vie. « C'est le moment idéal pour s’entraîner à la masturbation », m’a dit d'un ton détaché Gemma, une amie fraîchement célibataire, comme si la masturbation était une compétence comme le kayak ou la pâtisserie. Au cours des six semaines qui ont suivi la rupture, le coronavirus est devenu un merdier mondial en pleine expansion. Les consignes étaient claires : ne sortez pas de chez vous, ne voyez personne, ne touchez personne, ne baisez personne. Depuis un an, le sexe est techniquement illégal. Il y a eu une brève période où c'était possible de mai à octobre,…

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Saint-Valentin: Est-ce plus difficile d’être heureux en amour quand on est surdoué?

SAINT-VALENTIN – Qu’on ait un quotient intellectuel avoisinant les 140 ou un Q.I dans la norme, trouver l’amour fait partie de questionnements courants. Mais chez les surdoués, ces questionnements peuvent rapidement conduire à des conclusions fatalistes. À l’occasion de la fête des amoureux, Le HuffPost a interrogé Monique de Kermadec, psychologue et spécialiste des surdoués sur leur rapport à l’amour, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Trop différents ? S’il est vrai que le Q.I fait partie des éléments qui caractérisent les personnes haut potentiel, le surdoué peut éprouver des difficultés à cause du regard qu’il porte sur le monde qui l’entoure. “Les personnes haut potentiel ont le sentiment d’être différentes et cela est influencé par leur façon d’interpréter, de comprendre les autres et ce qui se passe autour de nous”, explique Monique de Kermadec. Hypersensible, extrêmement rapide dans ses réflexions, et/ou aussi exigeant avec lui-même qu’avec ses proches, le surdoué peut dérouter ceux qui le rencontrent mais aussi s’ennuyer très rapidement au contact de ceux qui ne partagent pas ses passions ou sa vitesse de réflexion. Et qu’ils soient extravertis ou introvertis, la psychologue les décrit comme des personnes “intenses”, notamment en amour et en amitié. Cette intensité qui les caractérisent en fait des amoureux attentifs et généreux mais aussi des vortex d’énergie qui peuvent épuiser leur partenaire et leur entourage, parfois jusqu’à provoquer le rejet. Et si la solution se trouvait dans l’entre-soi ? L’amour intense En effet, les couples de surdoués peuvent former des duos exceptionnels, capables de mieux gérer les crises que les personnes lambda mais cela n’est pas systématique. Leur besoin de comprendre peut les pousser à communiquer davantage: un outil très efficace dans tout type de relation. “Ce qui fait la différence chez le surdoué, c’est l’intensité de l’attente…

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Souvenirs et corps ridés : l’amour et le sexe chez des personnes âgées

Chaque année c’est la même rengaine. La Saint-Valentin débarque avec ses petits cœurs capitalistes partout, ses chocolats écoeurants et ses bouquets qui finiront fanés et à la poubelle – et vos exs avec.  Notre consommation de l’amour a bien changé et les relations longues se font plus rares. Pareil pour les mariages. Et s’ils ont lieu, peu tiennent la route : en Belgique, 41,8 % des mariages finissent par un divorce, pour 45% en France.  Et puis il y a ces vieux couples, ceux qu’on croise au parc, à l’épicerie ou au détour d’une rue. Bras dessus, bras dessous, ils vagabondent comme survivants d’un amour dont on n’ose même pas imaginer la durée.  Alors comment l’amour résiste-t-il à l’apparition des plis sur le corps, quels sentiments reste-t-il après 40, 50, 60 ou même plus de 70 ans à accumuler ensemble stigmates du temps et cheveux argentés ? VICE a parlé amour et sexe avec trois couples de personnes âgées. Clémence (96 ans) et Lambert (96 ans)  VICE : Clémence et Lambert, vous êtes marié·es depuis 76 ans. Ça fait un bail, comment on draguait à cette époque ?Lambert : J’ai eu un coup de foudre pour elle directement. C’est venu tout seul et ça ne se contrôle pas. J’étais très ami avec ses frères donc on se voyait souvent. Quand j’allais chez eux, j’étais assis dans un coin et elle dans l’autre. C’est comme ça qu’on se courtisait. Et un jour, j’ai fait le premier pas. Clémence : Quand on s’est marié·es, on n’a pas fait de fête ni rien. C’était la guerre, il y avait un couvre-feu à 18 heures. On ne pouvait pas faire grand-chose de toute façon. C’est pas si différent d’aujourd’hui au final. Comment votre amour a évolué au cours de ces années ?Lambert : Quand…

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Les baby-boomers n’ont pas (du tout) la même vie sentimentale que leurs parents

COUPLE – La génération du baby-boom a connu des histoires conjugales bien plus mouvementées que la précédente. Ruptures, divorces, remise en couple ont émaillé les vies de ceux qui ont atteint 50 ans au début du XXIe siècle. C’est le constat dressé par Anne Solaz, directrice de recherche à l’Ined (Institut national d’études démographiques) dans une étude à paraître ce mercredi 10 février. Elle a rassemblé les données de plusieurs enquêtes sociologiques générationnelles, et a noté des disparités entre générations et entre hommes et femmes. Des rebondissements En effet, plus les personnes ont un âge avancé, plus leur parcours conjugal est simple, avec une union, rarement plus et peu ou pas de séparation. À l’inverse, les séniors plus jeunes (entre 50 et 70 ans aujourd’hui) connaissent des rebondissements importants. Et selon que vous êtes un homme ou une femme, la capacité à retrouver un conjoint n’est pas du tout la même. Sans surprise, mieux vaut être un homme fraîchement divorcé, plutôt qu’une veuve, si l’on souhaite se recaser. INED/Anne SolazQuelle probabilité de former un couple après 50 ans? Examinons plus en détail ces observations. “Il y a 20 ans, les personnes qui atteignaient l’âge de 50 ans avaient connu pour la plupart une seule union: partenaires au sein d’un couple marié avec enfants, les époux franchissaient unis le cap du cinquantième anniversaire de l’un d’eux”, peut-on lire dans le compte-rendu de l’étude. Explosion du nombre de personnes jamais mariées Aujourd’hui, l’état matrimonial des individus est plus diversifié. Ils ne sont plus que 57% des hommes comme des femmes à être mariés à la même personne alors qu’ils ont tous franchi la cinquantaine. On dénombre un peu plus de personnes divorcées mais surtout beaucoup plus de personnes jamais mariées (célibataires à l’état civil). C’est le cas de 30% des hommes et…

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Les endroits les plus bizarres où vous avez baisé, avant le confinement

Alors, pour oublier cette morosité ambiante, quoi de mieux que de repenser à toutes les conneries qu’on pouvait faire avant tout ça ? Quand on avait encore le droit d’aller plus loin qu’à la Poste du coin pour espérer récupérer un énième colis égaré. Parmi ces doux souvenirs ; celui de forniquer dans des endroits pas forcément prévus à cet effet. On a compilé quelques-uns de vos meilleurs souvenirs. Natacha*, 31, Waterloo « À croire que j’ai un truc pour les parkings d’hypermarchés discount, mais j’ai niqué deux fois sur des parkings de Lidl différents. Une fois avec mon ex, alors qu’il avait une nouvelle nana depuis pas longtemps. C’était un soir où on s’était croisés par hasard en soirée et je voulais sûrement lui faire comprendre que j’étais mieux que l’autre. Depuis, j’ai pourtant bien enregistré l’info : « Se retaper un ex, c’est comme ravaler son vomi ».La seconde fois, c’était avec un collègue de boulot, casé lui aussi. On savait pertinemment qu’un jour il allait se passer un truc entre nous. Un soir, on se chope en teuf. On tente d’être discrets, on commence à niquer sur le parking de la soirée. Le problème, c’est que les gens pouvaient trop nous griller depuis le fumoir. Alors on migre vers le parking d’à côté, celui du Lidl. Le plus drôle dans tous ça ? Prise en levrette, mes règles se sont dit que c’était le bon timing pour arriver et tâcher son jean ainsi que le bas de sa chemise. Je sais pas comment il s’est démerdé pour cacher ça à sa nana en rentrant chez lui, mais cette histoire me fait toujours autant marrer. » Marie*, 28 ans, Marseille « C’était l’après-midi après avoir mangé des churros et on était cachés dans une mini forêt du parc Borely…

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Dans l’intimité des couples qui se sont formés pendant la pandémie

À première vue, les relations amoureuses et les pandémies ne font pas bon ménage. Mais depuis que les amoureux du monde entier ont été confinés, les sites de rencontres ont connu des pics énormes. La photographe hollandaise Jonnah Bron a remarqué le phénomène dans son propre cercle d’amis après que le virus a frappé. « Même si au début, les gens étaient un peu plus hésitants face aux applications de rencontre, j’ai soudain vu tous ces nouveaux couples apparaître autour de moi. » Fascinée, elle a décidé de documenter ces relations très réelles, commencées au cours d’une année qui a semblé parfois irréelle. « Je voulais montrer que malgré tous les revers, nous sommes toujours capables de trouver l’amour. » Jonnah rencontre la plupart de ses sujets chez eux et leur demande de faire semblant qu’elle n’est pas là. Ses amis, Roos et Rosa, ont été les premiers à être photographiés. À partir de là, elle a commencé à chercher des couples via Instagram et a reçu des réponses d’Anvers à New York. Toute personne se trouvant hors des Pays-Bas est photographiée sur Zoom. Jonnah a aussi fait un autoportrait avec sa copine, Geerten. « Geerten était ma colocataire. Comme je passais beaucoup de temps à la maison pendant le confinement, nous nous sommes vite rapprochées l’une de l’autre. Finalement, je l’ai embrassée, dit-elle. Je sortais avec une autre femme à l’époque, mais les choses sont allées très vite entre Geerten et moi. Je suis tombée amoureuse d’elle. » Les couples photographiés par Jonnah nous ont parlé de leur rencontre et de l’impact du coronavirus sur leur relation. Deen (25 ans) et Lotte (23 ans) Deen et Lotte se sont rencontrées sur Instagram. « Un ami m’a dit : “Tu devrais la suivre, vous êtes exactement pareilles’’ », se souvient Deen. Elles avaient prévu de se rencontrer à la…

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Il y a 170 ans des couples d’hommes posaient déjà amoureusement

Il y a une vingtaine d’années, Hugh Nini et Neal Treadwell se baladent chez un antiquaire de Dallas, et tombent par hasard sur une photo prise dans les années 1920. Sur le cliché, on voit un couple d’hommes visiblement amoureux. Pourtant, à l’époque où a été prise cette photo, l’homosexualité était encore sévèrement réprimée, passible de la peine de mort dans de nombreux pays et considérée par l’Organisation mondiale de la santé comme une maladie mentale. (L’OMS a d’ailleurs attendu jusqu’à 1990 pour rayer l’homosexualité de cette liste.) Persuadés de tomber sur un objet aussi rare que touchant, Hugh et Neal achètent la photo pour une bouchée de pain. Quelques mois plus tard, pendant une vente en ligne, ils tombent sur une photo du même type. Pour Hugh et Neal, ces photos de couples d’hommes anonymes n’arrivent pas jusqu’à eux par hasard. Ils décident donc de commencer à les collectionner. Au départ, les deux néo-collectionneurs amassaient ces photos sans grande ambition. C’était leur petite passion commune, dont ils ne parlaient à personne. Ils les accumulaient juste pour le plaisir. D’abord rangées dans une boite, ils ont ensuite commencé à les disposer dans un premier album photo. Mais au fur et à mesure de leurs achats, le premier album s’est rapidement rempli. Il a fallu en acheter un deuxième, puis un troisième. Au bout d’une centaine clichés accumulés, les deux hommes ont commencé à prendre conscience de l’importance historique de leur collection naissante. Aujourd’hui, ils comptent presque 3 000 photos d’hommes amoureux, chinées aux quatre coins du monde. Imaginer qu’autant de couples homosexuels ont osé se faire tirer le portrait durant cette période semblait pourtant inimaginable pour Hugh et Neal aux débuts de leurs recherches. Les photos de leur collection couvrent près d’un siècle d’histoire – des années 1850 aux années…

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Comment la pandémie a joué les entremetteuses pour ces deux Parisiens

RELATIONS – Pendant le confinement, les applications de rencontres ont connu un véritable succès. Once a noté 30% de téléchargements supplémentaires à la mi-mars et Tinder a enregistré trois milliards de “swipe” le 29 mars, un record pour la plateforme. Malgré ces chiffres, les nouvelles rencontres ne se sont évidemment pas multipliées durant l’épidémie de coronavirus. “J’ai l’impression, d’après mon expérience de thérapeute, qu’il y a beaucoup de gens qui attendent que la situation s’améliore avant de chercher à rencontrer de nouvelles personnes”, précise au HuffPost LIFE Marie Bareaud, sexologue. “Certains vont d’ailleurs davantage se tourner vers les amis de leurs amis plutôt que vers des étrangers rencontrés sur internet. Ils vont y trouver plus de sécurité”. Mais cette situation si particulière a pu donner lieu à de très belles histoires. Sans le vouloir, Marine et Rémy (les deux prénoms ont été modifiés) se sont connus au tout début du confinement et sont aujourd’hui en couple. Tout comme la période durant laquelle ils se sont rencontrés, leur histoire est unique. Marine, célibataire, la trentaine habite à Paris. Pour éviter de rester seule sans voir personne durant les trois mois de confinement, elle a décidé de se lancer sur une application de rencontre géolocalisée. L’objectif n’était pas de trouver l’amour, mais de proposer à de nouvelles personnes qui habitent le même quartier de venir courir avec elle la semaine. “J’avais un besoin de contact humain sans prise de risques. Il est possible de courir en respectant la distanciation sociale c’est pour cette raison que j’ai choisi cette option”, se confie-t-elle au HuffPost LIFE. Plusieurs matchs, des dizaines de messages échangés et quelques jours après, c’est avec Rémy, trentenaire également, que la jeune femme décide de tenter l’expérience. “Ce n’était pas du tout la personne qui répondait aux critères que je recherchais…