20 des meilleurs films d’horreur britanniques
Un récapitulatif des meilleurs films d’horreur britanniques, des comédies classiques comme “Shaun of the Dead” aux cauchemars plus récents comme “Starve Acre”.
Un récapitulatif des meilleurs films d’horreur britanniques, des comédies classiques comme “Shaun of the Dead” aux cauchemars plus récents comme “Starve Acre”.
Émilie du Châtelet a vu ses contributions scientifiques appréciées par certains, puis oubliées par tous. Mais la racheter en tant qu’esprit ne devrait pas nuire à sa valeur en tant que femme.
“The Barn,” “When the Ice Is Gone,” “Bright I Burn,” et “Gifted.”
No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
Du gore importé aux images effrayantes, ces films vous mettront certainement dans l'ambiance des fêtes.
Tout l’attrait d’une dark room réside dans son éclairage. Il doit faire sombre, mais pas trop sombre. Idéalement, vous ne devriez pas être capable de reconnaître le caissier de votre Carrefour, mais distinguer un amas de corps transpirants dans des positions qui rappellent OnlyFans, ça oui. Ça fait des années que les dark rooms sont indispensables aux espaces queers et restent très en vogue dans certaines régions moins frileuses d’Europe. Pour le dire autrement : c’est une erreur de débutant que de porter vos plus belles pompes au Berghain, car vous devrez probablement les jeter après y avoir passé sept heures. Mais les dark rooms rencontrent aussi un regain d’intérêt au Royaume-Uni, une résurgence attendue depuis longtemps, en particulier parmi les HSH (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes). « Fondamentalement, la raison pour laquelle elles deviennent à nouveau populaires est liée à l’offre et à la demande », explique Ian Howley, directeur général de LGBT HERO, une association de santé et de bien-être LGBTQ+. « Les hommes gays veulent un endroit où ils peuvent s’amuser, et dans un club, une dark room peut être le lieu idéal pour se débarrasser de ses inhibitions et se libérer sexuellement. » Cette nouvelle vague de positivité à l’égard du sexe gay est en partie alimentée par l’état d’esprit carpe diem post-pandémique – on sait maintenant qu’il est inutile de reporter l’ère du « un trou est un trou » à demain – et en partie par un meilleur accès au traitement préventif du VIH, la PrEP. Cette pilule révolutionnaire est disponible depuis 2017 via le NHS (le National Health Service, soit le système de santé publique du Royaume-Uni) en Écosse et au pays de Galles, mais n’est devenue « couramment disponible » en Angleterre qu’en avril 2021. « Beaucoup d’hommes qui fréquentent régulièrement les lieux de rencontres sexuelles…
« Si t’aimes la sauce, fais-moi signe ! » Cette phrase est sortie tout droit de la bouche d’un candidat répondant au doux nom de Pyrexeler (oui, comme le plat qui va au four). Question déguisement, le mec a tout donné : son costume est un pot rouge, la fameuse sauce Gravy en granulés de la marque Bisto, célèbre outre-Manche. Son couvre-chef s’ouvre sur de véritables granulés qu’il jette ensuite avec ferveur sur la foule, comme une jeune mariée au sortir de l’église. Vous vous demandez peut-être où je suis. Eh bien, sachez que je me trouve actuellement au nord du Royaume-Uni, dans un village du Lancashire, pour assister au World Gravy Wrestling Championships, soit les Championnats du monde de lutte dans du « Gravy », une sauce riche à base de jus de viande et adorée des britanniques. Ma présence ici tient du miracle : j’habite Londres, je n’ai pas le permis, c’est un jour férié et le réseau ferroviaire est en grève. Cela dit, j’ai quand même réussi à trouver le moyen de faire les cinq heures de trajet. Personne ne pourra donc douter de mon dévouement à couvrir un événement absurde, et personne ne pourra – encore moins après lecture de mon compte-rendu – contester le fait que cet événement était, en effet, absolument absurde. Si cette sauce brune et juteuse sert d’habitude à enduire des rôtis, on n’a clairement pas le temps pour ça ici. Dans l’arrière-cour du pub The Rose N’Bowl à Stacksteads, 1 500 litres de sauce chaude sont déversés sur un ring où seize hommes et huit femmes vont s’affronter pendant deux minutes de lutte acharnée – on ne peut que supposer que cette répartition inégale s’explique par le fait que la bêtise n’est pas toujours un concept facile à vendre. Les participant·es doivent porter des déguisements et tous…
Quand on pense aux hauts lieux du cannabis dans le monde, on ne peut que s’imaginer les canaux bucoliques d’Amsterdam, les montagnes du Colorado ou les plages de la Jamaïque. La liste ne cesse de s’allonger, mais un endroit qui n’y figurerait certainement pas, c’est bien le Warwickshire, un comté britannique situé au centre de l’Angleterre, berceau de Shakespeare et célèbre pour son 2-tone ainsi que pour son périphérique, le plus vieux du pays. Pourtant, une fois par an, ce beau comté accueille Product Earth, le plus grand événement britannique — légal — consacré au cannabis, aux nootropiques et à la médecine naturelle. Cet événement qui se tient sur un week-end propose un camping avec de la musique live et d’immenses jeux d’arcade, des conseils pour obtenir une ordonnance de cannabis médical et des ateliers cuisine à base d’herbe sacrée. Vous vous exclamez peut-être, en proie à l’angoisse : cela semble démentiel certes, mais carrément dans une zone grise juridique, nan ? On a pensé la même chose, c’est pourquoi cette année, VICE a décidé de passer la journée dans cet espace événementiel anodin, à mi-chemin entre la fête foraine et le centre de spa, pour voir de quoi il en retournait. Entrer dans ce lieu, c’est comme pénétrer dans le Xanadu de la weed. La salle principale ressemble à un salon de Las Vegas, où des stands plus petits entourent des stands plus grands, installés au milieu — un peu comme des miettes de weed en orbite autour d’une grosse tête de beuh. L’odeur du pli fraîchement allumé se répand comme de l’encens, picotant légèrement le nez et plongeant peu à peu l’ensemble du bâtiment dans une douce léthargie. Chaque stand propose un truc différent : certains vendent des produits dérivés de diverses marques de cannabis britanniques et étrangères, tandis…
Le photographe VICE Chris Bethell a passé le week-end à Londres pour capturer le caractère surréaliste d’une ville qui joue actuellement le premier rôle dans le psychodrame d’un Royaume-Uni post-Reine (ou sa dernière saison, selon la personne à qui vous posez la question), ainsi que la proclamation officielle du roi Charles III au palais de St James samedi. La foule s’est rassemblée dans les rues de Pall Mall dans l’espoir d’apercevoir le nouveau monarque, mais la fatigue et l’ennui se sont rapidement installés quand le roi a opté pour un autre itinéraire. D’autres se sont dirigés vers le palais de Buckingham, où le chaos a éclaté lorsque certaines personnes ont commencé à escalader les murs menant au Victoria Memorial. « Les gens encourageaient les retraités à escalader les murs, à faire passer leurs enfants et leurs chiens – et même des poussettes – pour déposer des fleurs », raconte Bethell à VICE. « Cela rappelait étrangement les personnes escaladant le mur de Berlin. » La police a tenté d’intervenir dans certains cas, mais la plupart des personnes sur place ont réussi à passer, laissant des fleurs partout dans le jardin du mémorial et dans les trous des murs et des clôtures. Ce qu’il faut noter ici, évidemment, c’est que Charles et sa reine consort Camilla étaient probablement bien loin du palais de Buckingham à ce moment-là. « J’ai photographié de nombreux événements royaux et je remarque un grand changement dans l’assistance – habituellement, je dirais qu’il y a environ 60 % de royalistes, 10 % de public intéressé et 30 % de touristes », ajoute Bethell. « Là, il y avait peut-être 30 % de royalistes, 20 % de touristes et 50 % de gens qui avaient juste perdu la tête. » Alors qu’une semaine de deuil officiel est prévue, menant…
House of Commons – PA Images via Getty ImagesTom Tugendhat, ici devant la commission des affaires étrangères de la Chambre des communes à Londres, le 1er septembre 2021. ✍️”We must show leadership and conviction on our Conservative values and their ability to enrich lives across every part of the country,” writes Tom Tugendhat. “That is my vision for the party. And only with such breadth and unity can we deliver for the British people” — The Telegraph (@Telegraph) July 7, 2022 Avant que Boris Johnson n’annonce sa démission -tout en décidant de rester à Downing Street en attendant que soit désigné son successeur à la tête du parti conservateur- d’autres membres du parti avaient déjà fait part de leurs intentions. Suella Braverman, attorney general, chargée de conseiller juridiquement le gouvernement, avait affirmé mercredi soir à la télévision qu’elle se présenterait. Le Brexiter Steve Baker, de l’aile droite du parti conservateur, a quant à lui indiqué qu’il envisageait “sérieusement” de se présenter. Selon leurs entourages respectifs, l’ex-ministre de la Santé Sajid Javid, qui a annoncé mardi avec fracas sa démission du gouvernement, et le ministre des Transports Grant Shapps envisagent également tous deux sérieusement de se lancer dans la course. À voir également sur Le HuffPost: Boris Johnson annonce sa démission Source
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