5 conseils ChatGPT d’un responsable de OpenAI
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L’histoire unique de El Museo lui a permis d’être à l’avant-garde de ce qui est désormais plus largement accepté comme la raison d’être des musées.
AuAu >pour le sixième anniversaire de l’initiative du mouvement des « gilets jaunes » – le 17 novembre 2018 marqua les débuts des premiers blocages de ronds-points –, le gouvernement dirigé par Michel Barnier, en difficulté à l’Assemblée nationale, tente de résoudre la situation. Ce faisant, il prétend s’inspirer des cahiers de doléances élaborés durant cette période de contestation, d’espoir et de revendications ; dans une France qui n’avait pas connu une telle effervescence ni une telle expression depuis Mai-68.
Sur cette image, on peut voir une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France qui se tiennent derrière leurs étendards. Cette photo, prise le 11 novembre 2024, montre une partie de l’extrême droite néofasciste tricolore : on y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Groupe union défense (GUD) et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. « French racist crew », écrit le néonazi Gwendal D. dans sa publication sur Instagram. Tous étaient réunis à Varsovie, la capitale polonaise, pour la marche annuelle de l’indépendance, un événement majeur célébré à travers le pays. Cela fait plusieurs années que plusieurs dizaines de néofascistes français se rassemblent dans un « black bloc nationaliste ». Ils portent des cagoules décorées de croix celtiques, exhibent des drapeaux ornés de soleils noirs – un symbole ésotérique nazi – et allument des fumigènes. Mais pourquoi cela se produit-il ?
Sur cette image, une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France se tiennent derrière leurs étendards. On y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Gud et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. /
Crédits : DR
Ce rassemblement nationaliste est organisé depuis 2010 et attire, en plus des Français, des militants néofascistes de l’ensemble de l’Europe. Cette année, environ 100.000 personnes ont défilé dans les rues de Varsovie. Selon Przemysław Witkowski, chercheur et journaliste polonais reconnu pour son expertise sur l’extrême droite locale, les Français participent en grand nombre, notamment grâce à leurs connexions avec le magazine néofasciste en ligne Szturm.
Avez-vous aperçu le salut nazi au centre de l’image ? /
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Szturm, lancé en 2014, promeut régulièrement dans ses colonnes les groupes nationalistes-révolutionnaires français, ainsi que ceux d’Italie, des pays scandinaves ou d’Ukraine, qui se déplacent également pour rejoindre ce « black bloc nationaliste ». Le magazine était étroitement lié au Bastion social, mouvement néofasciste éphémère dissous en 2019 par le gouvernement français, où s’étaient infiltrés Edelweiss, le GUD et les prédécesseurs de Clermont non-conforme. Szturm a également des liens importants avec son homologue italien CasaPound et le régiment ukrainien Azov, connu pour l’inclusion de néonazis parmi ses membres. Ce média vante les mérites d’un spiritualisme fasciste, voire d’un fascisme ultra-religieux, promeut la révolution islamique iranienne ou le Ku Klux Klan, et fait l’éloge du IIIème Reich… La publication « défend également les saluts nazis, l’utilisation de la croix celtique, du fasci ou de la swastika ».
Initialement orchestrée par des néofascistes, qui n’étaient que quelques centaines, la Marche de l’indépendance a gagné en ampleur durant les années 2010, avec le soutien d’une droite ultra-conservatrice qui y voit « un point de défense des “valeurs traditionnelles” », selon Przemysław Witkowski. « En Pologne, nous n’avons pas de cordon sanitaire contre l’extrême droite, et même plutôt le contraire », précise le chercheur. « Il existe une sorte de lien de transmission, où l’influence passe de blogs ultra-radicaux à des éditorialistes de droite extrême. Ces derniers ont commencé, vers 2015, à soutenir cette marche principalement par anti-communisme. »
« La marche a continué à croître, atteignant plus de 20.000 participants, engendrant un effet boule de neige. »
Cette normalisation a culminé en 2018, lors du centenaire de l’indépendance du pays. La droite populiste au pouvoir, le parti Droit et justice (le PiS), souhaitait commémorer cet anniversaire, mais appréhendait d’être éclipsée par la marche nationaliste. « Ils ont exercé des pressions sur les nationalistes les plus “modérés” pour assainir la marche, car ils ne désiraient pas de clichés de ministres aux côtés de drapeaux suprémacistes dans la presse internationale », se rappelle Przemysław Witkowski. « En 2018, le PiS a interpellé des leaders néofascistes sur la base de règles antiterroristes, afin d’empêcher la formation de leur bloc. Depuis lors, ils revendiquent l’appellation de “black bloc nationaliste”, car ils estiment que la marche n’est plus nationaliste, ou en tout cas pas assez à leur goût. » Pourtant, la majorité des slogans demeurent racistes, parfois suprémacistes. Avant l’arrivée au pouvoir du PiS en 2015, quelques confrontations avec la police avaient eu lieu en marge de la manifestation, comme le souligne Przemysław Witkowski :
« Bien qu’il ne s’agisse pas d’émeutes, les nationalistes avaient incendié des installations colorées aux couleurs de l’arc-en-ciel, agressé des véhicules de journalistes ou tenté de mettre le feu aux portes de l’ambassade russe… »
Depuis son institutionnalisation, la marche attire des centaines de milliers de manifestants à travers la Pologne. L’année dernière, StreetPress était présent à celle de Wroclaw, la troisième ville du pays, pour notre série Kop, consacrée aux supporters de football les plus radicaux.
Ce rassemblement a permis aux néofascistes français de côtoyer leurs homologues de toute l’Europe, avec des militants d’Active club estoniens, lituaniens ou néerlandais, des groupuscules suédois ou flamands… /
Crédits : DR
Les néofascistes français ont profité du long week-end pour rendre visite à leurs camarades polonais, participant à des entraînements en sports de combat, des conférences et prenant des selfies avec le poing levé au cœur du bloc nationaliste. Parmi eux se trouvaient des néonazis de Clermont non-conforme, des nationalistes-révolutionnaires d’Aquila popularis (Nice), de Valyor Chambéry (anciennement Edelweiss), ainsi qu’un groupe d’Île-de-France rassemblé sous un drapeau parisien. Parmi ces militants figuraient des membres du GUD récemment dissous, des hooligans néonazis de la Jeunesse Boulogne et des Pitbulls, ainsi que des randonneurs des Baroudeurs. Quatre groupes où les militants sont fortement interconnectés et où les frontières sont floues. À la coordination, on retrouve Gwendal D., plus connu sous son pseudonyme « Kenneth », ancien membre du groupuscule néofasciste Lyon populaire, qui est allé combattre en Ukraine aux côtés du régiment Azov contre les troupes russes. Ce fut l’occasion pour ce petit milieu de se montrer entouré de symboles néonazis, mais aussi de rencontrer des néofascistes venus de toute l’Europe, ralliés avec des militants d’Active club, lituaniens ou néerlandais, et des groupuscules suédois ou flamands…
Outre les groupuscules français habitués aux violences, les Nationalistes – le parti pétainiste et néofasciste dirigé par Yvan Benedetti – avait également annoncé sa participation, comme chaque année, à ce qu’ils considèrent comme « la plus grande marche nationale d’Europe ». Le parti ne manque pas de faire l’éloge de son voyage polonais, entre conférences « sur l’avenir de l’Europe » et défilés aux côtés de militants polonais, tchèques, slovaques, italiens, hongrois, serbes, croates, grecs, lituaniens… Des éloges relayées sur le canal Telegram de Forteresse Europe, représentant sa liste pour les élections européennes portée par l’avocat prisé des néofascistes, Pierre-Marie Bonneau.
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Sans surprise, la grande sortie de Half-Life d’hier n’était pas la suite de Half-Life 2 ni même le troisième épisode de Half-Life 2: Episode, mais une mise à jour pour le 20e anniversaire du légendaire jeu de 2004 de Valve. Et étant donné ce que le co-fondateur du studio, Gabe Newell, a à dire à ce sujet dans un documentaire de 2 heures que la société a diffusé en tandem avec la mise à jour, il semble moins probable que jamais que nous voyions l’un ou l’autre suivi de sitôt. Newell explique ce qu’il appelle son « échec personnel » près de la fin de la vidéo (à ce moment-là) : On ne peut pas se relâcher et dire : « Oh, nous avançons l’histoire. » C’est faire preuve de désengagement envers les joueurs, n’est-ce pas ? Oui, bien sûr, ils aiment l’histoire. Ils aiment de nombreux aspects de celle-ci. Mais dire que votre raison de le faire est que les gens veulent savoir ce qui se passe ensuite… vous savez, nous aurions pu le sortir, ça n’aurait pas été si difficile. Vous savez, l’échec était — mon échec personnel était d’être bloqué. Comme je ne pouvais pas comprendre pourquoi faire l’épisode 3 faisait avancer quoi que ce soit. Cela ne veut pas dire que la société n’a pas essayé. Une idée pour Episode 3 incluait un « pistolet à glace » que l’ingénieur David Speyrer dit dans le documentaire aurait permis aux joueurs de pulvériser des « formes amorphes » pouvant servir de barrières, de plateformes ou même de chemins en mode « Silver Surfer » qu’ils auraient tirés devant eux pour traverser des fossés. Speyrer parle aussi des ennemis « blob » qui pourraient se déplacer à travers des grilles ou se diviser en plus petits « trucs…
Dans le désert culturel de l’ère Reagan, ils ont montré qu’un groupe pouvait percer auprès du grand public sans être ringard, ni nostalgique, ni jouer du hair metal.
Dominique Farrugia est l’invité de Clique pour célébrer les 40 ans de CANAL+. L’humoriste devenu producteur évoque les débuts de la chaîne cryptée, la création des Nuls aux côtés d’Alain Chabat et Chantal Lauby, sa totale liberté, son passage sur Comédie+ et le moment où il est devenu président de CANAL+.
L’anniversaire de CANAL+
La célèbre chaîne numéro 4 a vu le jour il y a 40 ans, en 1984. À cette époque, Dominique Farrugia est retourné vivre chez son père, il est sans emploi et cherche un poste chez CANAL+ auprès de Dominique Cantien à seulement 22 ans. Pour être recruté, le futur responsable de la chaîne a menti en prétendant être exempté de service militaire. “Les policiers sont venus chez moi et mon père a dit : ‘Dominique Farrugia ? Je ne l’ai pas vu depuis 6 mois.’ Alors que j’étais justement caché derrière lui.”
Il se remémore ses premiers sketchs en plateau, remplis d’humour absurde et de tenues originales. Rapidement, il s’associe à Alain Chabat, Chantal Lauby et Bruno Carette, formant ainsi Les Nuls. “C’étaient des années véritablement formatrices pour moi.” Il exprime son admiration envers ses camarades avec qui il a commencé à acquérir de la notoriété : “On est passés d’inconnus à célèbres en l’espace d’une année.” Ses publicités comiques, “Ça Cartoon”, les fausses bulletins météo… Dominique Farrugia a laissé sa marque aux débuts de CANAL+ grâce à son humour et sa gaieté permanents.
Pour célébrer les 40 ans de CANAL+, Dominique Farrugia est l’invité de Clique, ce soir à 23h sur CANAL+. pic.twitter.com/52UzLKRiFC
— CLIQUE (@cliquetv) November 7, 2024
De comédien à président de CANAL+ : un parcours exceptionnel
En dehors de la télévision, Dominique Farrugia s’est également lancé dans le cinéma. En 1994, il apparaît dans le film “La Cité de la Peur”, toujours auprès d’Alain Chabat. “J’étais ravi d’interpréter un mauvais acteur !” Sur le plateau de Clique, l’acteur et producteur évoque son amour pour le cinéma d’horreur, en particulier pour le réalisateur américain Sam Raimi. Ce dernier a réalisé les premiers épisodes de la saga « Evil Dead » dans les années 1980, avant de diriger les trois premiers “Spider-Man” avec Tobey Maguire : “C’est un réalisateur d’une immense envergure.”
Chez CANAL+, Dominique Farrugia a obtenu une liberté totale, qui l’accompagnera tout au long de sa carrière : “C’était un lieu pour les artistes et surtout un endroit propice à la création.” Après ses interventions très marquées sur la chaîne cryptée, l’humoriste se dirige vers Comédie+ à la fin des années 1980, une nouvelle initiative originale dont il deviendra le responsable. Puis vient la reconnaissance : en 2002, il prend la présidence de CANAL+ France. Il y demeurera un peu plus d’un an, une expérience qui semble ne pas avoir été celle qu’il préférait : “Je pense que le costume était trop grand pour moi.”
L’interview de Dominique Farrugia est disponible en replay sur myCANAL.
Il n’est même pas le plus grand. Un changement monumental viendra plutôt de la technologie — de l’IA.
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