Documentaires de désaccord
“No Other Land” et “Union” sont des films que Hollywood et l’Amérique corporative ne veulent pas que vous voyiez.
“No Other Land” et “Union” sont des films que Hollywood et l’Amérique corporative ne veulent pas que vous voyiez.
Dans le « Préambule » de cette nouvelle édition de « L’œil de MouMou », le journaliste indépendant Mourad Guichard a salué Perrine Storme, une collègue qui se distingue fréquemment par son professionnalisme. Son premier « Top » a été attribué à Frédéric Sergent, un enseignant du Loiret qui a interpellé l’Arcom suite à des déclarations racistes prononcées par Frédéric Hazizia et Yvan Attal sur les ondes de Radio J. La réponse de l’autorité est tout simplement stupéfiante. D’autre part, il a également rendu hommage à l’association de critique des médias Acrimed pour son analyse des connexions étroites entre les Éditions de l’Observatoire et les experts en plateau TV. Les « Flop » ont été distribués à deux chroniqueurs d’extrême droite qui, tel un passage du film « La chute », ont nié l’Apartheid subi par la population palestinienne et ont imaginé un lien entre un député LFI et les actes terroristes du 7 octobre. Le journaliste indépendant a en outre exprimé sa surprise face à l’attitude de Thomas Guénolé, un intellectuel de gauche souvent présent sur les plateaux de l’émission populiste TPMP, qui subit fréquemment les moqueries de Cyril Hanouna, l’animateur égocentrique et légèrement paranoïaque. Il s’est également demandé sur l’efficacité des journalistes de BFMTV capables d’interroger un maire de droite sur les violences urbaines sans évoquer son propre passif judiciaire. La présence d’un « médium » sur le plateau de CNews a aussi suscité l’intérêt de notre chroniqueur. La rubrique « Au microscope » a examiné la manière dont les chaînes de Bolloré ont couvert la campagne de la présidentielle américaine. Événement remarquable : Mourad Guichard a loué un éditorial de Pascal Praud. Les « Coups de cœur » ont été attribués à Clara Magazine, au talent des internautes et à la collection des Éditions du Croquant avec le dernier livre de Claude Calame et Ludivine Bantigny.
L’auteur kényan, décédé en 2019, a sans pitié démoli les clichés de l’écriture sur le continent. Son œuvre est aussi pertinente que jamais.
Le journaliste originaire de Gaza a arrêté de se nourrir le 31 décembre, pour entamer ce qui est devenu son ultime recours pour alerter les autorités quant à la situation en Palestine.
The post Grève de la faim : le récit d’Omar, jour par jour appeared first on VICE.
Le journaliste originaire de Gaza a arrêté de se nourrir le 31 décembre, pour entamer ce qui est devenu son ultime recours pour alerter les autorités quant à la situation en Palestine.
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John Graham-Cumming, qui se trouve être le directeur technique de Cloudflare, a déchiffré un fichier crypté vieux de 30 ans qui a joué un rôle dans la réécriture de l'histoire de l'Afrique du Sud.
HOMMAGE – L’Afrique du Sud a salué samedi 1er janvier au Cap son dernier grand héros de la lutte contre l’apartheid: Desmond Tutu, lors de funérailles sans faste comme il l’avait souhaité, mais chargées d’émotion et de paroles rappelant comment le petit homme à la robe violette a marqué l’histoire. Sous un ciel lourd et une fine bruine, la famille et les amis, prêtres et dignitaires, ont afflué dans la cathédrale anglicane Saint-Georges pour une messe de requiem dont Mgr Tutu, mort paisiblement le 26 décembre à 90 ans, avait réglé le moindre détail, choisissant lectures et orateurs. “Parce que nous l’avons partagé avec le monde, vous avez partagé avec nous une partie de l’amour que vous lui portez. Et donc nous sommes reconnaissants, a déclaré sa fille, Naomi Nontombi Tutu, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Nous vous remercions de l’avoir tant aimé!” Après l’hymne national, le président Cyril Ramaphosa a prononcé l’éloge funèbre. “Si l’archevêque Desmond Tutu était là, il dirait: Pourquoi avez-vous l’air si triste, si malheureux?”, a-t-il plaisanté. “Père spirituel” de Madiba “Madiba (nom de clan de Nelson Mandela) était le père de notre démocratie, l’archevêque Tutu son père spirituel”, a déclaré le chef de l’État avant de remettre solennellement le drapeau national à la veuve du disparu, tendrement appelée “Mama Leah” dans le pays. Tutu avait demandé que le cercueil en pin clair dans lequel il a reposé les deux derniers jours dans la cathédrale, pour que des milliers de gens viennent honorer la mémoire de ses combats et de ses enthousiasmes, soit choisi “le moins cher possible”. Pas de poignées en or, de simples bouts de corde pour le transport. Dessus, un simple bouquet de fleurs blanches. Il avait désigné l’ami de longue date Michael Nuttall, son “numéro deux” quand il était archevêque,…
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