À l’intérieur de l’industrie florissante du ‘pimping’ d’IA
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
Haliey Welch, connue pour « Hawk Tuah », entre dans le domaine technologique avec une application de rencontres IA étonnante.
À seulement 22 ans, Haliey Welch ne se satisfait pas de son succès temporaire. Elle a acquis 5 millions de suiveurs sur les réseaux sociaux, lancé son propre podcast Talk Tuah et se dirige maintenant vers la technologie avec Pookie Tools, une application de conseils de rencontres alimentée par l’intelligence artificielle.
Pookie Tools a été lancée cette semaine sur l’App Store. Cette application propose aux célibataires de la génération Z une gamme de fonctionnalités à la fois pratiques et ludiques. Elle inclut un chatbot IA pour engager des discussions, des conseils vestimentaires pour les rendez-vous et même un outil de compatibilité basé sur les signes du zodiaque.
Welch espère que son application offrira des solutions aux problématiques des rencontres contemporaines, souvent marquées par le ghosting et des interactions peu authentiques.
Le lancement de l’application coïncide avec un moment clé. De nombreux jeunes dénoncent la culture actuelle des rencontres en ligne, accusée de manquer d’authenticité et de sécurité. Certains usagers s’orientent déjà vers des intelligences artificielles comme ChatGPT pour rédiger des messages séduisants. Par ailleurs, des entreprises comme Bumble et Tinder ont intégrés des outils d’IA pour rester dans la course. Bien que d’autres influenceurs aient développé des applis dans le passé, Welch se distingue en le faisant tôt dans sa carrière.
Pour créer Pookie Tools, Haliey Welch a collaboré avec Ben Ganz, le fondateur d’Ultimate AI Studio. Ensemble, ils ont élaboré une application qui fournit des conseils efficaces et adaptés aux problèmes des relations modernes. Par exemple, l’appli propose des suggestions de sorties en fonction de la localisation de l’utilisateur et de l’évolution de sa relation. En plus, elle propose des recommandations de vêtements spécifiques pour chaque type de rendez-vous, allant d’un simple café à un dîner romantique.
Pourtant, certaines fonctions de cette application ont suscité des réactions négatives. Bald Predictor évalue des photos pour détecter des indicateurs de calvitie. D’autre part, Height Detector estime la taille des personnes. Ces deux outils divisent les opinions. Ces fonctionnalités visent à répondre aux préoccupations des utilisateurs concernant les mensonges fréquents sur les profils de rencontres. Cependant, elles renforcent également des préjugés que certains trouvent offensants.
Welch affirme que ces outils ont été pensés pour apporter un aspect humoristique. Elle admet même que le détecteur de taille est sa fonction préférée, en tant que femme mesurant 1,73 m. Cependant, les résultats ne sont pas toujours fiables. Lors des tests, l’évaluation de taille pouvait varier de 5 cm par rapport à la taille réelle. Concernant le prédicteur de calvitie, il a montré des limites lors de l’analyse de certaines images.
Haliey Welch et Ganz n’ont pas l’intention de s’arrêter là. Ils prévoient d’introduire de nouvelles fonctionnalités en collaboration avec des invités de podcasts et d’autres créateurs. Des personnalités telles que Holly Madison et Whitney Cummings, déjà présentes dans Talk Tuah, pourraient ainsi renforcer l’attrait de l’application. Celle-ci fonctionne sur un modèle d’abonnement : 7 dollars par semaine ou 50 dollars par an, avec trois jours d’essai gratuit.
Dans l’univers des chatbots IA, la présence est essentielle. Les entreprises se sont rapidement mises à développer des applications pour ordinateurs et mobiles afin de doter leurs bots de nouvelles fonctionnalités, mais aussi pour s’assurer qu’ils soient à portée de main aussi fréquemment que possible. Un exemple frappant est la nouvelle application Gemini de Google pour iPhone, qui a été discrètement lancée sur l’App Store mondial cette semaine. Cette application gratuite est à la fois simple et efficace : c’est simplement une interface de chat et un historique de vos conversations passées. Vous pouvez poser des questions au bot par texte, par voix, ou via votre caméra, et il vous fournira des réponses. Elle est en fait identique à la section Gemini de l’application Google, ou à ce que vous obtiendriez en ouvrez un navigateur et en visitant le site de Gemini. L’application Gemini dispose d’un nouvel ajout : l’accès à Gemini Live, le mode de chat interactif et conversationnel du bot, similaire au mode vocal de ChatGPT. Gemini Live est disponible sur Android depuis quelques semaines, mais c’est la première occasion où les utilisateurs d’iPhone peuvent en bénéficier. D’après mes tests brefs jusqu’à présent, cela fonctionne effectivement très bien, et lorsque vous utilisez Live, il apparaît à la fois dans l’île dynamique de l’iPhone et sur votre écran de verrouillage. Cependant, Live sera finalement accessible partout. À chaque nouvelle mise à jour de Gemini, cela aussi le sera. L’objectif principal de l’application Gemini est d’avoir l’icône sur votre écran d’accueil, et de vous donner une option à assigner au Bouton d’Action ou à d’autres emplacements d’accès rapide sur votre téléphone. D’un simple tapotement et en une fraction de seconde, vous pouvez échanger avec le bot. Cet accès, ainsi que la mémoire musculaire qu’il contribue à créer, sont essentiels pour…
Google a lancé une application autonome Gemini pour l’iPhone.
It’s been more than two years since Elon Musk officially took over as the owner of Twitter — now X — and while a lot of platforms rushed in to try and be the next big microblogging service, many haven’t survived. Threads, Mastodon, and Bluesky have all proven to be viable alternatives, but places like Pebble (formerly T2) and Post News didn’t make it. Threads is perhaps the likely successor, having reached 275 million monthly users as of October 2024, and it seems committed to fediverse integration by building features around the ActivityPub protocol. Bluesky, which relies on its own decentralized AT Protocol for social networking, continues to grow and saw a surge of users after the 2024 election, though with somewhere north of 14.5 million users, it’s still well behind Threads. Mastodon, which also uses the ActivityPub protocol, was already well-established by the time Musk bought Twitter but has struggled to grow its active user base. There still isn’t a clear successor to Twitter. X hasn’t become the massive “everything app” that Musk says he wants it to be. But despite the success of Threads, continued existence of Mastodon, and the growth of Bluesky, X is still the place where many people and companies post things before they go anywhere else — at least, for now. Here’s our coverage of the alternatives to X. Highlights Hello Bluesky. The Verge’s Bluesky account is now actively posting stories from the site, and there’s a starter pack for following individual reporters, editors, and others. Come find us! a:hover]:text-gray-63 [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-bd dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray [&>a]:shadow-underline-gray-63 dark:[&>a]:text-gray-bd dark:[&>a]:shadow-underline-gray”>Illustration by Samar Haddad / The Verge Once upon a time, Twitter — now X — was the place to get your memes, world news, and pop culture. However, even at the time, being an active Twitter user also…
Avec des ventes d'iPhone en baisse et Apple Intelligence interdit, Apple semble prêt à faire des compromis.
TECHNO – Apple a fait appel ce vendredi 8 octobre du verdict du procès contre Epic Games, l’éditeur du jeu vidéo “Fortnite”, et notamment de l’injonction d’une juge fédérale à laisser les développeurs d’applications proposer un système de paiement alternatif à celui du fabricant de l’iPhone. La juge américaine avait en bonne partie rejeté les accusations de monopole d’Epic, mais elle avait imposé à Apple plus de liberté pour les éditeurs, ce qui devait notamment leur permettre de contourner la commission prélevée par le géant des technologies. Le géant des technologies demande à ce qu’une suspension de cette mesure soit décidée, dans l’attente d’une décision définitive, qui pourrait, elle, prendre des années. Un juge doit se pencher sur la question en novembre. Système de paiement Apple ne pouvait plus imposer, depuis le 10 septembre, aux développeurs d’utiliser son système de paiement au sein de leurs applications, et donc de payer une commission, avait décidé Yvonne Rogers, une juge d’Oakland (Californie) chargée du contentieux avec le développeur. Elle avait cependant rejeté en bonne partie les accusations de monopole visant Apple et dénoncées par Epic, ce qui représentait une bonne nouvelle pour le géant des technologies accusé de toutes parts d’infractions au droit de la concurrence. Elle avait estimé que le fabricant de l’iPhone n’était pas en situation de monopole illégal: “Apple ne détient pas de monopole sur le marché des transactions dans les jeux mobiles”. Epic Games, le développeur du jeu Fortnite, qui réclamait une telle mesure depuis un an, avait fait appel de cette décision. Son patron, Tim Sweeney, avait promis de “continuer à se battre” pour “une compétition équitable entre les méthodes de paiement au sein des applis”. À voir également sur Le HuffPost: Ils accusent Fortnite de leur avoir volé leurs pas de danse LIRE AUSSI : Facebook s’écroule en…
REUTERS / Dado Ruvic / IllustrationLa guerre juridique entre Fortnite et Apple est encore loin d’être réglée (image d’illustration). TECHNO – Une juge américaine a rendu ce vendredi 10 septembre une décision majeure dans la bataille qui oppose Apple à Epic Games, l’éditeur du jeu vidéo Fortnite, déterminé à forcer le géant des technologies à faciliter la concurrence sur son App Store (magasins d’applications), au cœur d’une économie de centaines de milliards de dollars. Mais cette décision ne donne pas de clair vainqueur entre Apple, forcé de faire des concessions mais blanchi des accusations de monopoles, et Epic, largement salué comme victorieux mais insatisfait au point de faire appel. Le modèle économique de l’App Store Mis en fonction en 2008, le magasin d’applications mobiles -rapidement imité par les technologies concurrentes- a donné naissance à toute une économie de services accessibles sur son smartphone. Les éditeurs tiers soumettent leurs applications, et si elles sont validées, les utilisateurs d’iPhone ou d’iPad peuvent les télécharger, uniquement via cette plateforme. “Apple a aidé à construire une économie qui rapporte plus de 500 milliards de dollars par an, et ne reçoit qu’une lichette de ce montant pour toute l’innovation qu’elle a facilité et les coûts d’opération”, a affirmé le patron Tim Cook au New York Times début avril, qualifiant l’App Store de “miracle économique”. La firme de Cupertino prélève une commission de 30% sur les ventes d’applications dans l’App Store et sur les achats de biens et services numériques au sein de ces applis. Certains développeurs bénéficient d’un taux réduit de 15% (nouveaux venus, revenus annuels inférieurs à 1 million de dollars, etc…). D’autres sociétés, comme Spotify et Netflix, évitent la commission en n’offrant pas la possibilité de souscrire à leurs services depuis l’appli, et en laissant les consommateurs comprendre d’eux-mêmes qu’ils doivent se rendre sur…
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