« Finis-moi ! » : on a testé la machine suceuse de bite à commande vocale
L’Autoblow a déjà parcouru un bon bout de chemin. Présenté pour la première fois en 2008 par Brian Sloan, il était décrit comme « le sex-toy masculin du futur » sur le site web originel. « La technologie a apporté d’innombrables avancées dans tous les aspects de nos vies », pouvait-on lire sur ce site. « Nous roulons maintenant en voiture, prenons l’avion et surfons sur Internet. En ce qui concerne les jouets sexuels, l’avancée technologique de cette décennie n’est rien d’autre que l’Autoblow. » L’Autoblow AI+ est le successeur de l’Autoblow AI de 2018, une machine à branlette automatique ayant à peu près la taille et la forme d’un étui pour deux bouteilles de vin. Vous placez votre bite dans un manchon en silicone et un anneau alimenté par un petit moteur se déplacera de haut en bas, la massant selon des modèles et des vitesses que vous pouvez choisir dans une application connectée. Comme son prédécesseur, l’AI+ n’est pas « artificiellement intelligent », mais au moins ce modèle est connecté à Internet et dispose d’une bibliothèque de fellations à télécharger, ainsi que d’une fonctionnalité de commande vocale. Les appareils conçus pour sucer un pénis sont un bon indicateur de l’opinion de la société sur les jouets sexuels en général. Afin de maintenir l’intérêt de leur public, les fabricants de sex-toys ont dû rendre leurs jouets de plus en plus sophistiqués, innovants, connectés et à la pointe de la technologie. Autoblow n’est pas à l’abri de cette tendance et, avec l’Autoblow AI+, l’entreprise teste de nouvelles choses, même si elles sont encore un peu brouillonnes. Et en fin de compte, Sloan reste convaincu qu’il s’agit du sex-toy du futur. Puisque j’avais testé la version précédente en 2018, Sloan m’a gracieusement envoyé un Autoblow AI+ afin que je mette cette nouvelle machine à l’épreuve. Test de l’Autoblow AI+…