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Inès Reg a gagné en notoriété il y a cinq ans avec sa célèbre vidéo intitulée “des paillettes dans ma vie”. Après avoir rencontré un grand succès avec son premier spectacle à travers la France, elle revient avec “On est Ensemble”. Lors de son passage sur le plateau de Clique, elle aborde son récent divorce avec Kevin, son altercation avec Natasha Saint-Pier, ainsi que les thèmes de son nouveau spectacle : la catharsis, les enfants et la séparation.
Des réseaux sociaux à la scène
Ayant gagné en notoriété grâce aux réseaux sociaux, Inès Reg a fait son entrée sur scène avec la tournée de “Hors Normes”. Ce premier spectacle a connu un franc succès : “J’ai fait la tournée des Zéniths en France, j’ai joué au Maroc, en Belgique, en Suisse…” Il a même abouti à une date dans la célèbre salle de l’Accor Arena. “C’était incroyable de performer devant 12 500 personnes.” Cinq ans plus tôt, elle n’aurait jamais cru qu’elle irait si loin.
Dorénavant, elle se consacre à la suite de “Hors Normes” : “On est Ensemble.” Cette fois, Inès Reg souhaite un ton plus intime : “quand on assiste à mon spectacle, c’est comme entrer dans mon salon.” Elle y discute de son récent divorce avec son partenaire Kevin, avec qui elle s’est fait connaître, tout en utilisant la catharsis, un sujet qui lui tient à cœur, tout en maintenant une interaction constante avec son public.
Une notoriété à toute épreuve
Récemment, Inès Reg a fait parler d’elle à la suite de son affrontement avec Natasha Saint-Pier lors du tournage de “Danse avec les stars”. Propulsée sous les projecteurs malgré elle, cette situation l’a profondément touchée : “ma carrière et mon intégrité ont été affectées.” Finalement, elle a su surmonter cette épreuve, notamment en consultant une professionnelle de Shiatsu, une forme de massage japonais, pour revitaliser son énergie. “Aujourd’hui, je remercie Natasha St-Pier.”
En plus de cet incident devenu public, l’humoriste parisienne a mis fin à sa relation avec Kevin. Elle aborde cet événement sans détour et avec le sourire. “Nous avons une bonne entente avec mon ex-mari”, au point qu’elle consulte même les messages de drague qu’il reçoit, sans regrets. Une relation saine qui évolue vers l’amitié et dont elle parle dans son nouveau spectacle.
Malgré tout, Inès Reg garde les pieds sur terre et avance : “depuis 2019, des choses incroyables se sont produites, j’ai ouvert des portes les unes après les autres.” Ce succès à l’échelle nationale est le fruit de sa force mentale et de son indépendance. À présent, elle se consacre à ce second spectacle “On est Ensemble”, en tournée à travers la France jusqu’en mai prochain.
L’interview d’Inès Reg est disponible en replay sur myCANAL.
Une baignoire que l’on remplace par une douche, un ascenseur devenu essentiel pour accéder à son habitation… Les intervenants du logement social doivent s’ajuster au vieillissement de leurs résidents. « En tout, 13 % des ménages locataires du parc social [soit environ 600 000, NDLR] affirment avoir besoin d’aménagements spécifiques dans leur logement suite à une perte d’autonomie, que ce soit en raison du vieillissement ou du handicap », soulignait un rapport de l’Ancols (Agence nationale de contrôle du logement social) publié en août 2024.
En réponse à ce constat, les bailleurs sociaux ont déjà commencé à transformer leurs biens de manière significative. En 2022, 36 000 logements ont été adaptés à la demande des ménages. Le souci, c’est que ces aménagements coûtent cher (entre 5 000 et 10 000 euros par logement en moyenne) et que les organismes n’ont pas toujours les ressources nécessaires pour les mettre en œuvre.
Les situations diffèrent d’un organisme à l’autre et selon le territoire où ils se trouvent. C’est ce qu’indique Cécile Belard du Plantys, directrice générale de Paris Habitat, l’organisme public de logement parisien. « Nous avons la chance de bénéficier d’un fort soutien de la ville », se félicite-t-elle. Mais la responsable est consciente que « ce n’est pas le cas de tous les bailleurs dans toutes les zones ». Certains reçoivent peu de soutien, limitant ainsi leur agir.
Les options d’adaptation ne dépendent toutefois pas uniquement des ressources financières disponibles, mais également d’autres facteurs, comme la nature des bâtiments. De fait, avec 40 000 logements sur 126 000 construits au début du 20e siècle et une population dans laquelle 38 % ont plus de 65 ans, Paris Habitat doit réaliser davantage d’efforts d’adaptation que d’autres organismes. Un défi confirmé par Thierry Asselin, directeur des politiques urbaines et sociales à l’Union sociale pour l’habitat (USH) :
« Un bailleur possédant un patrimoine plutôt ancien aura proportionnellement plus de personnes âgées et de logements non adaptés. »
Heureusement, certains territoires sont moins touchés par ce problème, comme certaines villes de Normandie. C’est ce qu’affirme Sébastien Coeuret, responsable handicap et vieillissement de la CDC Habitat dans les zones de Caen, Rouen et Le Havre. Dans cette région, l’organisme gère un total de 20 000 logements, plus récents. Il confie qu’il répond à « 60 demandes d’adaptation par an avec un budget de 300 000 euros, ce qui, pour le moment, ne pose pas de difficultés ».
Cependant, même dans ces territoires, la question du financement va inévitablement surgir, compte tenu du vieillissement démographique. Actuellement, le principal mécanisme financier en place est le dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB). Ceci permet aux bailleurs de bénéficier d’une exonération de taxe foncière équivalente au coût des travaux réalisés. « Dans de nombreux cas, cela couvre l’intégralité de la dépense », explique Cécile Belard du Plantys. Cependant, le logement doit être soumis à la taxe foncière, ce qui exclut ceux construits il y a moins de 25 ans.
Dans ces situations, les bailleurs doivent trouver d’autres sources de financement. « Cela peut être la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) qui, via la Prestation de compensation du handicap (PCH), finance une partie des travaux, généralement à hauteur de 60 % », précise Sébastien Coeuret.
La CDC Habitat peut compenser le reste avec ses propres fonds, mais ce n’est pas le cas pour tous les bailleurs. « À ce moment-là, c’est souvent le locataire qui doit avancer le coût, ce qui constitue un obstacle évident. »
Le vieillissement de la population met en péril cet équilibre déjà fragile. « Les personnes âgées représentent déjà plus d’un tiers de nos locataires, met en lumière Florian Maillebuau, directeur des politiques sociales de Paris Habitat. Et nous prévoyons une augmentation de 20 % d’ici 2030. » Cela implique un besoin de financement accru. En Normandie, « il faudra clairement, dans les années à venir, ajuster le budget pour faire face à l’augmentation des demandes », renchérit Sébastien Coeuret.
Face à ce challenge, certains bailleurs semblent mieux préparés que d’autres. Les organismes les plus armés, comme Paris Habitat, sont déjà « assistés par une convention avec la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), ainsi que par des partenariats avec la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) », souligne Cécile Belard du Plantys. D’autres, plus modestes, affichent des ressources humaines plus limitées et pourraient avoir plus de difficultés à obtenir ce type de soutien.
Ces incertitudes sont d’autant plus vives que les bailleurs ont de plus en plus de mal à puiser dans leurs fonds propres. Ceux-ci ont en effet été considérablement réduits suite à la baisse des APL (Aide personnalisée au logement) votée en 2017 sous Emmanuel Macron. En effet, pour compenser cette baisse, les bailleurs doivent acquitter la Réduction de loyer de solidarité (RLS), une diminution de leurs loyers qui représente une perte de revenus de 1,3 milliard d’euros par an.
Ces fonds propres sont pourtant essentiels pour les bailleurs, car les aides à l’adaptation des logements ne suffisent pas à elles seules. « Le dégrèvement de la TFPB est un outil important, mais qui ne suffit pas à lui seul », souligne Thierry Asselin. Dans le cas où le logement ne peut être adapté, les bailleurs ont deux options : reloger la personne dans un autre bien, à court terme, ou, à plus long terme, construire de nouveaux logements adaptés.
La création de nouveaux logements constitue donc une partie de la solution. Cependant, celle-ci est en difficulté : elle est passée d’environ 120 000 logements en 2016 à 82 000 en 2023. Les raisons en sont la diminution des revenus des bailleurs, ainsi que l’explosion des prix du foncier et l’inflation, qui a fait grimper le coût des matériaux. Ces contraintes poussent les bailleurs à privilégier l’adaptation des logements existants.
« Pourtant, il est également nécessaire de construire de nouveaux logements de petite taille, adaptés aux besoins des demandeurs », affirme Thierry Asselin.
Face à la difficulté de construire, les bailleurs les plus solides choisissent de racheter directement des biens privés déjà existants. La CDC Habitat a ainsi acquis, il y a deux ans, l’équivalent de 30 000 logements à l’échelle nationale. Paris Habitat agit de la même manière, avec la ville de Paris qui « préempte de l’existant et nous le revend à un prix inférieur », explique Cécile Belard du Plantys. Cependant, même pour les organismes « solides », la facture devient de plus en plus élevée.
Au congrès HLM d’octobre 2023, les bailleurs sociaux avaient obtenu de l’État un engagement d’1,2 milliard d’euros sur trois ans pour la rénovation thermique. Les bailleurs espéraient ainsi faire d’une pierre deux coups, en utilisant les rénovations thermiques pour adapter les logements.
Toutefois, l’enveloppe a été réduite à 350 millions pour 2 ans, selon l’Union sociale pour l’habitat, qui considère cette baisse comme « inacceptable ». La fédération des organismes HLM déplore aussi « l’absence de mesures budgétaires de relance » dans le Projet de loi de finances pour 2025, malgré « l’ampleur de la crise du logement ».
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En 2024, vous pourriez vous demander si Fitbit est toujours pertinent. Malgré son acquisition par Google, Fitbit reste l’un des noms les plus reconnus dans l’industrie. Les trackers Fitbit ne sont pas destinés aux athlètes les plus acharnés, mais ce sont tout de même d’excellents appareils pour suivre l’activité globale ainsi que pour surveiller certaines métriques de santé et de bien-être comme les ECG et les niveaux d’oxygène dans le sang. Cela dit, nous sommes dans une période de transition de l’ancien Fitbit à ce que sera Fitbit à l’avenir. 2023, en particulier, a été une année chaotique. Il y a eu plusieurs pannes de serveurs Fitbit. Je n’ai pas été impressionné par la décision d’arrêter les anciennes fonctionnalités communautaires comme les défis ou par le fait que tous les comptes Fitbit devront se connecter via Google d’ici 2025. À propos de cela, la migration des comptes Fitbit vers Google a commencé l’été dernier et est nécessaire si vous achetez de nouveaux produits comme le Fitbit Charge 6 ou le Google Pixel Watch 3. L’application Fitbit a également reçu un nouveau design, plus similaire à celui de Google, ce qui n’a pas été bien reçu par de nombreux utilisateurs. (Google a depuis apporté des ajustements en fonction des retours.) Et en janvier, une grande partie de la direction de Fitbit, y compris les cofondateurs James Park et Eric Friedman, a quitté l’entreprise alors qu’environ mille employés de Google ont été licenciés. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ce que je recherche a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ensemble des fonctionnalités La plupart des Fitbits partagent le même ensemble de fonctionnalités basiques comme les pas, les minuteries et les notifications. Cependant, tous les modèles ne sont pas capables de faire des ECG ou de suivre le stress en temps réel. Il en va de même pour le…
Avez-vous déjà envisagé de demander à ChatGPT de vous aider à dénicher l’homme ou la femme parfait(e) ? Si tel est le cas, le chatbot d’OpenAI devrait vous fournir différents conseils tels que faire preuve de patience, prendre soin de soi, améliorer sa communication et s’inscrire sur des plateformes de rencontre. Dans ce cadre, Grindr, la plus grande application de mise en relation, a conçu une IA qui vous aidera à trouver l’amour de votre vie. Toutefois, cet outil est principalement conçu pour la communauté LGBTQ. Alors, comment fonctionne-t-il ?
Avant tout, l’IA va tenter de vous associer à un candidat, un prétendant pour être précis.
Ensuite, elle va vous assister dans la planification d’une rencontre. Mais il faudra patienter jusqu’au lancement officiel pour vraiment constater si le système en vaut la peine.
S’inspirant de ChatGPT, le principe de Grindr vise à transformer l’interaction classique avec les assistants virtuels.
Le but de la start-up est donc de permettre son intégration dans un cadre dédié aux rencontres.
Cependant, à la différence des chatbots traditionnels qui se limitent à répondre aux requêtes des utilisateurs, l’IA de Grindr se démarque par sa proactivité et son autonomie.
En d’autres termes, elle a la capacité d’agir de façon autonome sans demande explicite. Ce qui évite aux utilisateurs de devoir recourir à l’appli en cas de nécessité.
Finalement, ambitieuse comme elle est, cette technologie a été pensée pour soulager l’ensemble du processus de rencontre.
Identification de partenaires potentiels, envoi de messages, recommandations personnalisées de thèmes de conversation, tout est automatisé.
Le système peut même aller jusqu’à organiser des rendez-vous adaptés aux goûts des deux individus.
Autrement dit, le processus repose sur un système où deux assistants conversationnels, représentant chacun un utilisateur particulier, peuvent interagir entre eux.
Le premier grand atout de cette approche, c’est que l’on peut optimiser la phase initiale des échanges.
Il est donc possible d’analyser la compatibilité de votre profil avant même d’entrer en contact avec un autre utilisateur en quête du véritable amour.
Pour résumer : cela réduit considérablement le nombre de rendez-vous infructueux et les rencontres décevantes.
L’utilisation de Grindr requiert un partage notable de données personnelles avec le système d’intelligence artificielle.
C’est une exigence qui pose des questions particulièrement délicates, étant donné que la plateforme est principalement utilisée par une communauté d’hommes homosexuels et bisexuels, dont certains peuvent vivre leur orientation sexuelle dans la discrétion ou dans des environnements sociaux peu accueillants.
Face à ces défis de confidentialité, la start-up met en avant son engagement pour la protection des données et la sauvegarde de l’anonymat des utilisateurs dans la conception de son assistant virtuel.
Mais est-ce suffisant ? Deuxième question qui nécessite un peu de patience puisque la réponse dépendra d’un accès à la plateforme.
L’intégration de l’intelligence artificielle dans les applications de rencontre est rapidement devenue une tendance.
Gay dating app Grindr is experiencing an unprecedented 350% increase in traffic this week in the city of Milwaukee and the RNC being there is the obvious reason.
The biggest homophobic hateful bigots are often the most closeted hypocrites. 🏳️🌈
— Ricky Davila (@TheRickyDavila) July 18, 2024
Si Tinder offre déjà Photo Selector, un outil d’optimisation des photos de profil, Bumble va encore plus loin en développant une assistance IA complète.
Pour réaliser ses ambitions, Grindr s’est associée à Ex-human. C’est une entreprise spécialisée dans le développement d’IA axée sur la compréhension émotionnelle.
Leur modèle est spécifiquement entraîné sur le langage et les expressions propres à la communauté des utilisateurs de l’application.
Le projet suit actuellement un calendrier de déploiement progressif. Après une phase test initiale limitée, l’expérimentation s’étendra à un millier d’utilisateurs en 2025, puis à dix mille l’année d’après.
Le but est de collecter des retours d’expérience avant un déploiement global prévu pour 2027, visant 14 millions d’utilisateurs.
Meta s’apprête à dévoiler Llama 4, l’IA la plus innovante à ce jour. Si vous êtes curieux de découvrir ses implications, je vous invite à poursuivre votre lecture !
Dans un contexte où la lutte pour l’intelligence artificielle est plus intense que jamais, Meta se prépare à transformer le paysage en lançant Llama 4. Ce modèle d’IA de pointe est conçu pour satisfaire nos attentes : une IA véritablement indépendante. Il sera en mesure de percevoir, planifier et raisonner en temps réel. Le lancement de Llama 4, prévu pour début 2025, pourrait représenter une étape critique dans la compétition pour les modèles d’intelligence artificielle les plus sophistiqués. Ce lancement pourrait également constituer un défi sérieux pour des géants tels que GPT-4 d’OpenAI et le modèle o1 de Kai-Fu Lee.
Contrairement aux modèles conventionnels qui se limitent à suivre des instructions, Llama 4 sera conçu pour transcender ces directives. En effet, elle possède des compétences en raisonnement dynamique et en adaptation. Manohar Paluri, vice-président de l’IA chez Meta, a affirmé que ce modèle saura gérer des contextes en constante évolution en évaluant et réévaluant ses choix au fur et à mesure.
Cette capacité, connue sous le nom de « chaîne de pensée », permettra à Llama 4 d’agir bien au-delà d’un simple assistant virtuel. L’IA pourra envisager diverses options face à des imprévus, comme la nécessité de rediriger un itinéraire en fonction des conditions climatiques.
Un des fondements de cette avancée technologique est le « Dualformer », une architecture qui simule les processus cognitifs humains. Elle intègre une pensée rapide et instinctive ainsi qu’un raisonnement volontairement délibéré. Cette double approche permettra à l’IA de résoudre efficacement divers problèmes, que ce soit pour naviguer dans un dédale ou pour effectuer des calculs complexes. Cette innovation pourrait établir Llama 4 comme un acteur clé de l’industrie, lui permettant de réaliser plusieurs types de tâches avec une grande précision.
Meta mise sur une approche novatrice, combinant apprentissage auto-supervisé (SSL) et apprentissage par renforcement avec rétroaction humaine (RLHF) pour former Llama 4. Cette fusion permet à ce modèle d’acquérir, de manière autonome, des connaissances générales (SSL). Parallèlement, il se conforme aux attentes humaines grâce au RLHF. Ce processus assure des retours d’information précis, aidant l’IA à modifier ses comportements pour des tâches spécifiques. Cette stratégie mixte favorise la flexibilité tout en gardant une spécialisation, ce qui pourrait propulser Llama 4 vers les sommets des modèles d’IA.
Comprendre les spécificités de Llama 4 de Meta est fascinant, mais la question qui taraude de nombreux esprits est : « comment cette IA autonome pourrait transfigurer notre quotidien » ? En réponse à cette question, Yann LeCun, directeur de Meta AI, a évoqué une vision prometteuse pour Llama 4 et ses successeurs. Il se projette vers une IA autonome (AMI) capable d’enrichir la vie quotidienne des utilisateurs.
LeCun envisage ces modèles comme des « partenaires » technologiques essentiels. Ils seront intégrés à nos routines, capables de nous accompagner dans des environnements complexes. Llama 4 pourrait saisir avec finesse les nuances des interactions humaines tout en s’adaptant aux différents contextes. Néanmoins, pour y parvenir, la nouvelle version de Llama de Meta doit progresser vers un raisonnement plus humain.
Alors que les acteurs majeurs de l’IA s’approchent à grands pas de l’intelligence artificielle générale, Meta demeure convaincu de créer un modèle axé sur l’autonomie et la diversité des capacités cognitives. Ils cherchent à l’illustrer avec Llama 4 qui sera disponible d’ici 2025. Avec ce modèle, Meta semble anticiper une avancée en proposant une IA robuste, flexible et capable d’agir de manière indépendante. De quoi redéfinir notre avenir numérique tout en bouleversant les normes à une vitesse phénoménale !
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