Rafael Nadal : Le Dernier Combat
Au seuil de sa retraite imminente, le champion de tennis laisse derrière lui un héritage de courage.
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Le YouTuber devenu boxeur a triomphé de la légende d’Iron Mike et, de manière moins impressionnante, de l’homme lui-même.
Un référendum local au Texas fait partie d’un effort à long terme pour bloquer les avortements par le biais des tribunaux.
JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN via AFPTony Vairelles, ancien international français de football, arrive à la cour d’appel de Nancy, le 28 décembre 2011. JUSTICE – Plus de dix ans après les faits, l’ex-footballeur du RC Lens Tony Vairelles se retrouve devant la justice ce lundi 21 mars. Il est jugé, avec ses trois frères, pour “violences aggravées” après une bagarre qui a dégénéré devant une boîte de nuit d’Essey-lès-Nancy, dans la nuit du 22 au 23 octobre 2011. Le Parisien et RMC rappellent les faits. Cette nuit-là, après un dîner d’anniversaire en famille, deux des frères Vairelles, Giovan et Jimmy, se rendent à la discothèque les “4 As”. Alcool et danse sur la piste sont de la partie, jusqu’à ce qu’un videur demande à Jimmy, alors âgé de 30 ans, de reposer le verre qu’il a amené sur le dance floor. Bien qu’agacé, il obtempère. Puis tout bascule. D’après des témoins, un vigile commence à frapper Jimmy. Giovan, 19 ans, vient à la rescousse de son grand frère, mais est lui aussi pris à partie par la sécurité. Les deux sont finalement virés de l’établissement. La suite est plus floue, et explique en partie pourquoi le procès se tient seulement onze ans après les faits. Giovan et Jimmy appellent leurs deux frères Vairelles, Tony le footballeur et Fabrice, qui les rejoignent à la boîte de nuit. Une bagarre éclate de nouveau avec coups de poings, gaz lacrymogène, matraque et pire, une arme à feu. Coups de feu Résultat, trois videurs -qui sont frères précise RMC– sont touchés, l’un dans le dos, l’autre à la main, un troisième à la cuisse. L’avocat des videurs Me Matthieu Schwarz affirme dans L’Équipe: “C’est simple, il y a eu une expédition punitive.” De leur côté, les frères Vairelles nient catégoriquement avoir tiré les coups de feu. Aujourd’hui encore, impossible d’identifier…
ÉTATS-UNIS – Ces images vont entacher la saison universitaire américaine de basket. L’ex-joueur de la NBA Juwan Howard, devenu coach de l’équipe masculine universitaire de Michigan, a frappé au visage un entraîneur-adjoint de Wisconsin, juste après leur match, ce qui a déclenché une bagarre générale impliquant joueurs et techniciens des deux camps. Juste après la défaite concédée par Michigan (77-63), il y a d’abord un échange verbal musclé entre Howard et l’entraîneur de Wisconsin, Greg Gard, alors qu’ils devaient se plier à la poignée de main traditionnelle d’après-match. Rapidement les deux hommes ont été entourés par des joueurs et techniciens des deux équipes, après que Howard a pointé un doigt tout près du visage de Gard et a attrapé son pull. L’adjoint de Gard, Joe Krabbenhoft, s’est incrusté dans la mêlée, récoltant une gifle de la part d’Howard (voir la vidéo ci-dessous). Pas le premier incident de ce genre pour Juwan Howard La Conférence Big Ten, affiliée au championnat universitaire NCAA et qui organise le championnat impliquant les deux équipes, a dit son intention d’examiner les faits, afin de prendre “une action disciplinaire rapide et appropriée”. “Quelqu’un m’a touché, et je pense que c’était très déplacé de sa part, alors que nous étions en train de nous expliquer verbalement. C’est ce qui a fait dégénérer les choses”, a expliqué Juwan Howard plus tard en conférence de presse. Ce n’est pas le premier incident de ce genre impliquant Howard, depuis son arrivée à la tête de Michigan en 2019. L’année dernière, il avait été expulsé après s’être emporté contre l’entraîneur de l’équipe de Maryland, Mark Turgeon. Désigné l’an passé meilleur entraîneur de la saison 2021 pour la Conférence Big Ten, cet ancien ailier-fort a joué 19 ans en NBA, remportant deux fois le titre de champion en 2012 et 2013 avec…
Charles Platiau via ReutersUn avion de la compagnie aérienne Air Caraïbes sur le tarmac de l’aéroport d’Orly, le 2 avril 2020. (photo d’illustration) FAITS DIVERS – Une violente bagarre a éclaté entre passagers au cours du vol Paris-Cayenne d’Air Caraïbes arrivé vendredi 11 février en soirée, et trois personnes ont été placées en garde à vue, a déclaré ce samedi 12 février le procureur de la République Samuel Finielz. “On a trois personnes qui se sont livrées à des violences au cours de ce vol et il y a un certain nombre de vidéos de ces faits qui ont été diffusées sur les réseaux sociaux”, a-t-il poursuivi. Sur les images diffusées sur Twitter (à voir ci-dessous), on voit certains passagers intervenir, d’autres se contentent de commenter. “Ces comportements sont absolument inadmissibles et intolérables: ils mettent à la fois en cause la sécurité du vol (…) la sécurité des passagers et donc le parquet sera particulièrement ferme et intraitable sur la répression de ces types de comportement”, a ajouté le procureur de la République. Attention, les images ci-dessous peuvent heurter ?? Cinq individus ont été arrêtés vendredi soir à l’arrivée d’un vol Paris-Cayenne de la compagnie Air Caraïbes. ▫️Des incidents violents avaient éclaté quelques heures plus tôt à bord de l’avion.pic.twitter.com/DAZR6zcpcC — air plus news (@airplusnews) February 12, 2022 “Les trois auteurs sont actuellement en garde à vue”, a-t-il poursuivi, ajoutant que ces gardes à vue seraient prolongées en vue d’une présentation dimanche au parquet de Cayenne. Les contrevenants encourent des peines de prison peuvant aller jusqu’à trois ans, a-t-il conclu. “C’est inadmissible. Ce sont des incidents rarissimes. Nous nous réservons le droit de porter plainte”, a déclaré de son côté Éric Michel, directeur général adjoint d’Air Caraïbes, au site Guyane La Première. Il indique aussi qu’un steward a été blessé. À…
INTERNATIONAL – Si vous trouviez l’Assemblée nationale agitée, sachez que ce n’est rien comparé au parlement taïwanais. Un débat houleux s’est terminé ce vendredi 17 juillet par des bagarres, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article. Pour la troisième fois en quinze jours, les députés ont offert un bien triste spectacle, certains élus allant même jusqu’à lancer des bombes à eau sur leurs opposants. Le parlement taïwanais est connu pour se lancer parfois physiquement dans les débats, et les bagarres ont particulièrement repris ces deux dernières semaines autour de la nomination du futur chef de l’agence chargée de contrôler les différents organes du gouvernement. On a pu ainsi voir un député du Parti démocrate progressiste (DPP, au pouvoir) envoyer un coup de poing à un collègue du Kuomintang (KMT, opposition). Et un peu plus tard, des députés du KMT ont commencé à attaquer ceux du DPP à coup de bombes à eau, les forçant à se protéger avec des imperméables en plastique et de grands panneaux en carton. Le DPP proposait pour le poste en question Chen Chu, 70 ans, connue pour ses combats en faveur des droits de l’Homme et ayant été emprisonnée pendant six ans du temps de la dictature du Kuomintang. Le DPP ayant la majorité au parlement, sa nomination a finalement été entérinée, en dépit des bagarres. Le parlement taïwanais en était déjà venu aux mains à plusieurs reprises, notamment en août 2013, lors de débats houleux sur la construction d’une quatrième centrale nucléaire. Après la catastrophe de Fukushima en 2011, le sujet était alors devenu très sensible sur l’île asiatique. À voir également sur Le HuffPost: Trump invite deux pick-up et une grue pour faire campagne à la Maison Blanche Source
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