Le prix que le Liban paie pour la guerre Hezbollah-Israël
Les partisans du groupe restent fermes face au déplacement généralisé et aux milliers de décès.
Les partisans du groupe restent fermes face au déplacement généralisé et aux milliers de décès.
Kamala Harris a parlé de la création d’une « économie d’opportunité », une idée vague qui est plus susceptible de séduire les entrepreneurs que les travailleurs en difficulté.
Jon Sperling a secrètement propagé une espèce non indigène à travers le Nord-Est. “C’est fou ce que ce gars faisait,” a déclaré un biologiste.
Dans ses 公告, Kamala Harris marche sur une ligne entre l’illumination des problèmes et la reconnaissance de la folie historique de son adversaire ; Donald Trump cible sa base.
Nous sommes le lundi 28 octobre, voici le programme de “Toujours Debout”, présenté par Nadiya Lazzouni : Le récap de l’actualité du jour, préparé par Baptiste Lépinay, suivi d’un court reportage réalisé par Lisa Lap et Andreï Manivit sur l’ouverture du procès de Gérard Depardieu accusé d’agressions sexuelles. Puis nous recevrons Mohammed Komat, membre du conseil national du parti les républicains et Président et co-fondateur du Think Tank “Big Decision”, Yazid Ben Hounet, anthropologue, chargé de recherche au CNRS et auteur de “Hirak, propagande et propagande médiatique” et Théophile Kouamouo notre rédacteur en chef. Ensemble nous discuterons de la visite d’état d’Emmanuel Macron au Maroc qui officialise la réconciliation avec le royaume chérifien au prix d’une nouvelle crise avec l’Algérie. Tout part d’une lettre envoyée par le président français à Mohamed 6 le 30 juillet dernier où Emmanuel Macron reconnaissait, au nom de la France, la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental. Une déclaration qui tranche avec la position historique de la France dont la boussole était le droit européen. Le 30 juillet dernier, le président français adressait une lettre à Mohamed 6 où il a reconnu comme « seule base » le plan d’autonomie du Maroc dans le conflit du Sahara occidental. Le président algérien rappelait manu militari son ambassadeur en France. Comment Emmanuel Macron compte-t-il poursuivre le réchauffement entre la France et le Maroc sans geler les relations avec son partenaire économique algérien ? C’est la principale question que l’on posera à nos invités. En seconde partie d’émission, nous accueillerons Sarah Ichou, directrice du Bondy Blog et Nasteho Aden, élue municipal à Stains et militante anti-raciste. Nous reviendrons sur la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré, il y a 19 ans, à Clichy-sous-bois. Les deux adolescents ont été retrouvés morts électrocutés dans un transformateur EDF où ils s’étaient réfugiés pour…
Minimaliste et audacieuse, la microcitadine a rencontré un succès inattendu, notamment auprès des adolescents de familles aisées. Mais ses limites n’en font pas encore le chaînon manquant de la voiture électrique bon marché.
LGBT – Je vis dans la banlieue sud de Paris, j’ai toujours vécu ici. C’est tout bête, mais, en banlieue, c’est la loi du plus fort. Très tôt, les garçons rugissent un maximum pour montrer qui est le plus puissant, le plus saillant. Au collège, il y avait beaucoup de bagarres, de règlements de comptes auxquels je ne participais pas. Mais même quand tu ne t’en mêles pas, c’est toi qu’on vient chercher. Les autres voulaient savoir Je ne me suis jamais vraiment posé de questions sur ma sexualité. Et ces questionnements ne sont même pas apparus naturellement: ce sont les autres enfants qui les ont provoqués. Depuis tout petit, j’ai toujours senti cette fracture entre eux et moi: là où les garçons préféraient les ballons et les filles, moi je préférais traîner avec elles et jouer aux Barbies. Mais cette préférence m’a coûté beaucoup de choses… Publicité «Je ne pense pas que mon expérience soit propre à la banlieue. Lorsqu’on est une personne LGBTQIA+, on fait souvent face au rejet et à la violence, que l’on habite en ville ou en campagne.» On m’a toujours fait sentir que j’étais différent et, surtout, on a toujours voulu me faire “comprendre” ma sexualité. J’ai utilisé le terme “comprendre”, mais je ne pense même pas qu’il soit vraiment adapté: l’idée pour eux était plutôt de me briser, de m’ostraciser plutôt que de m’aider dans la découverte de moi-même. D’abord, les insultes Je ne me rappelle pas quand le réel “harcèlement” a commencé. Je me rappelle juste de comment: à mon entrée en sixième, un groupe de garçons de ma classe ne faisaient que m’insulter de “PD”. S’il n’y avait eu qu’eux… Parce que non, ça ne s’arrêtait pas à ma classe. Dans la cour, on venait me voir pour me poser des…
BSR Agency via Getty ImagesLa ministre hollandaise des Affaires sociales Karien van Gennip, ici à La Haye aux Pays-Bas, le 21 janvier 2022. PAYS-BAS – Une ministre a suscité la controverse mardi 14 juin aux Pays-Bas en proposant que les entreprises néerlandaises recrutent de jeunes chômeurs de banlieues françaises pour pallier à la pénurie de main d’œuvre et les “remettre sur le droit chemin”. “Le taux de chômage des jeunes est très élevé en France, en particulier dans les banlieues. Beaucoup plus élevé que ce que nous connaissons ici”, a déclaré la ministre des Affaires sociales Karien van Gennip dans une interview au quotidien néerlandais Algemeen Dagblad (AD). “Je pourrais imaginer que nous investissions dans les décrocheurs français, ou par exemple espagnols, qui quittent l’école, pour les faire travailler ici dans la restauration ou l’horticulture”, a-t-elle ajouté, soulignant que cela permettrait de “remettre les jeunes sur le droit chemin”. Plusieurs parlementaires ont aussitôt fait état de leur mécontentement suite à ces propos, qualifiant le plan de la ministre du CDA de centre droit d’irréalisable et d’injuste pour les jeunes chômeurs néerlandais. Un taux de chômage à 3,2% aux Pays-Bas Il est “dangereux” d’aller chercher des jeunes des “ghettos”, a affirmé le député Léon de Jong du parti d’extrême droite PVV. Le gouvernement devrait d’abord se soucier de “Rachid d’Utrecht plutôt que de Rachid de Paris”, a estimé Zohair El Yassini, député du parti libéral VVD. Aller chercher des travailleurs en France est une “idée ridicule”, a affirmé le parti de gauche SP. La controverse a poussé la ministre à s’expliquer lors d’une séance au parlement. Elle a déclaré qu’elle maintenait ses propos mais qu’il n’existait pas de plan gouvernemental pour “aller chercher” les jeunes de banlieues françaises ou espagnoles. Le taux de chômage est historiquement bas aux Pays-Bas, 3,2% en avril,…
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