“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
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Une alternative cultivée en laboratoire au foie de canard engraissé offre un avenir controversé pour l’industrie de la viande cultivée : comme un produit de luxe pour quelques-uns.
Excellente nouvelle pour les éleveurs de chèvres, cette intelligence artificielle va les assister dans l’évaluation de la douleur chez leurs bêtes de ferme afin d’éviter les fautes de diagnostic !
Si vous êtes éleveur ou vétérinaire, la compréhension et la détection de la douleur chez les animaux constituent un véritable défi ! Contrairement aux humains, les animaux ne peuvent pas verbaliser leur ressenti. Les manifestions de douleur chez eux peuvent se traduire par des cris, une perte d’appétit ou des comportements anormaux.
Cependant, ces signes demeurent souvent subjectifs et exigent une connaissance approfondie ainsi que des années d’expérience pour être interprétés correctement. C’est là que l’intelligence artificielle déploie sa magie ! En effet, des chercheurs de l’Université de Floride ont mis au point une technologie novatrice permettant de détecter la douleur… directement sur le visage des chèvres. Explications !
L’IA excelle dans la reconnaissance de motifs, un secteur où elle peut surpasser les aptitudes humaines. Prenons l’exemple de Google Lens qui est capable d’identifier une image de chat en la comparant avec des millions d’autres. En s’appuyant sur cette technologie existante, les chercheurs ont imaginé une IA capable d’identifier la douleur animale à partir de signaux subtils sur le visage.
En intégrant des décennies d’expertise vétérinaire, cette IA pourrait « assimiler » les expressions de douleur. Cela offrirait aux éleveurs la possibilité de détecter les signes de souffrance chez leurs animaux de manière plus fiable et moins intrusive.
Les chercheurs du Collège de médecine vétérinaire de l’Université de Floride ont expérimenté cette technologie sur des chèvres. L’équipe a enregistré les visages de 40 animaux, certains en bonne santé et d’autres malades. Les vidéos ont été intégrées dans un modèle d’IA qui a appris à différencier les visages des animaux malades de ceux des animaux en bonne santé.
Cette IA capable d’interpréter la douleur chez les animaux constitue un progrès significatif. Effectivement, elle a permis aux chercheurs de repérer la douleur avec une exactitude variant entre 62 % et 80 %. Bien que ces résultats soient encourageants, les chercheurs soulignent qu’un échantillon de données plus étendu est nécessaire pour affiner et développer la précision de l’algorithme. Oui, nous connaissons déjà la rengaine : d’autres études sont à mener pour corroborer cette découverte !
Quoi qu’il en soit, cette innovation basée sur l’IA concernant le bien-être animal représente une nouvelle ère dans notre quotidien. Peut-être qu’un jour, chaque éleveur disposera d’un dispositif capable de « lire » les émotions et la santé de ses animaux. De quoi améliorer leur qualité de vie et réduire leurs souffrances. Qu’en pensez-vous ?
Le jour de l’abattage, le processus se déroule de la même manière. Tom Rampazzi, qui gère un élevage d’environ une vingtaine de vaches, envoie une notification à ses clients. Ces derniers sont avertis qu’ils devront venir rapidement chercher leurs colis de viande fraîchement découpée directement sur sa ferme, à Massillargues-Attuech, une petite localité de 700 habitants située au sud d’Alès, dans le département du Gard.
Le modèle économique de l’éleveur, qui repose sur la vente directe et la polyculture élevage, est menacé par la fermeture annoncée, jugée inévitable, de l’abattoir d’Alès. Établi en 1962 par la municipalité en régie publique pour assurer une production de 5 000 tonnes de viande par an, cet abattoir peine à atteindre la rentabilité depuis plusieurs années.
En 2022, l’abattoir change de statut pour devenir une société d’économie mixte mêlant capitaux publics (51 %) et privés (49 %). Cependant, en 2023, il ne reçoit que 2 900 tonnes de viande. C’est proche du seuil de rentabilité, fixé à 3 500 tonnes par an. Toutefois, cet écart se traduit par un déficit de 350 000 euros lors de cette année, conduisant à son placement en redressement judiciaire. Si aucun repreneur n’est trouvé d’ici fin janvier 2025, la liquidation pourrait être prononcée, entraînant alors la fermeture de l’abattoir.
« Actuellement, je me trouve à vingt kilomètres de l’abattoir. La demi-heure de trajet est déjà éprouvante pour les vaches. Un trajet d’une heure et demie jusqu’à Aubenas, en Ardèche, à 120 kilomètres, serait catastrophique pour le bien-être animal. Sans compter le coût financier et le temps, je suis déjà submergé », se plaint Tom Rampazzi.
La crise des abattoirs de proximité est un phénomène à l’échelle nationale. En 2003, la France comptait 400 établissements. En 2022, il n’en restait plus que 234. « Rien que depuis le début de l’année, cinq établissements ont fermé », souligne Yves-Pierre Malbec, membre de la commission « abattoir » du syndicat agricole de la Confédération paysanne. « Cette fermeture est souvent associée au départ de grands fournisseurs qui choisissent de se tourner vers d’autres établissements. Les petits producteurs se retrouvent alors sans outil, sauf à parcourir des centaines de kilomètres. »
À Alès, suite à la diffusion par l’association L214 de vidéos montrant la souffrance animale, de grands clients se sont éloignés de l’abattoir, faisant chuter son activité de 5 217 tonnes en 2014 à 2 663 tonnes en 2018. En 2021, seulement quatre chevillards réalisaient 80 % du tonnage, rendant la structure, qui emploie 25 salariés, tributaire de ses plus grands fournisseurs. « Quand l’un d’eux, Alès Viande, a fait faillite, c’est tout le système qui a sombré », explique Olivier Villain, éleveur de porcs en plein air.
Considéré comme impopulaire en raison de son association avec la mort, un abattoir demeure néanmoins un maillon crucial de la filière agricole et agroalimentaire. Sa disparition pourrait compromettre la dynamique de diversification des agriculteurs gardois.
« Depuis quelques années, la polyculture élevage connaît une expansion. Des viticulteurs, du fait de la crise de surproduction de vin actuelle, ont commencé à élever du bétail pour valoriser des terres en friche et accroître la valeur ajoutée de leur production », explique Patrick Gravil, président du syndicat bovin du Gard, qui a initié la création d’un label pour la viande locale, Bovigard.
D’après les données de la société d’économie mixte des abattoirs Alès-Cévennes (Semaac), près de 38 % des bovins abattus proviennent d’élevages gardois ou des départements voisins. Ce chiffre s’élève à 95 % pour les ovins et caprins. Au cours des trois dernières années, 938 clients, dont seulement 15 chevillards, ont sollicité l’abattoir selon la Chambre d’agriculture du Gard. Bien qu’ils représentent un volume de viande inférieur annuellement, ce sont les petits éleveurs, dont la viande est transformée et vendue localement, qui sont les plus impactés par la perte d’une infrastructure initialement conçue pour une production industrielle.
Confrontés aux mêmes défis de rentabilité, les abattoirs voisins du Vigan et de Tarascon, situés chacun à environ 70 kilomètres d’Alès, ont été repris par des éleveurs sous la forme d’une société d’intérêt collectif agricole. Le premier est entièrement géré par les éleveurs, qui s’occupent eux-mêmes de l’abattage de leurs animaux, tandis que le second a réussi à maintenir ses quinze employés en poste.
Pourront-ils prendre en charge les 938 clients d’Alès ? « Il y aura sûrement des personnes laissées de côté, ce qui serait une catastrophe pour nos paysages et notre économie locale », alerte Patrick Viala, président du Mas des agriculteurs, à Nîmes. La boucherie de ce supermarché, consacré aux producteurs locaux (6,5 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel), propose une viande dont 80 % des animaux ont été abattus… à Alès.
Andia via Getty ImagesUne vue aérienne de “Fort Boyard”. FORT BOYARD – Une page de l’histoire de la télévision se tourne. Les tigres de Fort Boyard, jeu d’épreuves télévisé ultra-populaire sur France 2 et à l’étranger qui se déroule dans une forteresse de Charente-Maritime, vont prendre leur retraite, a annoncé ce jeudi 24 février la société de production de l’émission. Les deux tigres, Kashmir et Tosca, respectivement âgés de 5 et 11 ans, devraient pouvoir la passer en toute sérénité: “ALP et France Télévisions vont consacrer jusqu’à leur fin de vie, une somme (leur) permettant de continuer à recevoir tous les soins nécessaires et d’avoir une fin de vie dans le respect de la dignité animale qui nous est chère”, précise Adventure Line productions (ALP) dans un communiqué. Elle ajoute en avoir discuté avec leur ”éleveur-dresseur” qui continuera à s’occuper d’eux. ALP, qui se dit “attentive au bien-être des tigres”, souligne qu’elle avait “déjà décidé, il y a deux ans”, de ne pas remplacer un troisième animal, utilisé dans le jeu, et parti lui aussi ”à la retraite”. Les téléspectateurs concernés par le bien-être animal Elle justifie également sa décision par “l’évolution des mentalités” de ses téléspectateurs, au diapason de la société, globalement plus concernée par le bien-être animal. Il n’y aura plus de tigres dans Fort Boyard, dès la saison prochaine. Bravo et merci @Alpfr pour cette décision ! Cette émission mythique n’en sera que plus belle. https://t.co/AUSd5vO8jh — Hugo Clément (@hugoclement) February 24, 2022 Le Parlement a adopté le 18 novembre une proposition de loi contre la maltraitance animale qui prévoit notamment l’interdiction progressive des animaux sauvages dans les cirques, delphinariums et autres parcs d’attraction, laissant cependant en suspens le devenir des animaux. “On se réjouit que la production de Fort Boyard avance d’un an l’entrée en vigueur…
ANIMAUX – À la SPA, l’année 2022 commence avec des refuges proches de la saturation en raison d’un manque d’adoptions: 7.202 animaux attendent un nouveau maître dans les 62 sites de l’association de défense animale, a-t-elle annoncé à l’AFP. “L’année 2021, impactée par la pandémie de Covid-19, a vu la SPA recueillir à nouveau plus de 45.000 animaux, à l’instar de 2019, et a rendu possible 40.142 adoptions responsables”, précise la SPA samedi dans un communiqué, déplorant “ne plus pouvoir recueillir de nouveaux pensionnaires malgré de nombreuses demandes d’abandons”. “Le premier réflexe pour l’acquisition d’un animal de compagnie devrait être l’adoption en refuge pour lutter contre l’abandon et responsabiliser les propriétaires”, explique Jacques-Charles Fombonne, président de la SPA, qui en appelle ”à une réelle prise de conscience des Français”. Offrez une seconde chance à Kojak. Cette adorable loulou, affectueux et tendre, n’a pas eu un passé simple. Souffrant de pyodermite généralisée, il a été choyé par l’équipe du refuge d’Etalondes. Aujourd’hui remis sur pied, il vous attend !https://t.co/vZRGARjEWP pic.twitter.com/M0rjbmB9VH — La SPA France (@SPA_Officiel) January 9, 2022 Les chevaux, beaucoup plus adoptés Outre les abandons de chiens et des chats, les nouveaux animaux de compagnie (NAC : reptiles et rongeurs) ont progressé de 56% l’an dernier. “Ces animaux coups de cœur, disponibles à l’achat sur internet et dans les magasins, sont l’incarnation même du combat contre l’animal-objet”, commente la SPA qui “milite” pour que la récente loi interdisant la vente en animalerie de chiens et de chats dès 2024 soit étendue à ces animaux. Une note positive toutefois dans le rétroviseur 2021 : le nombre d’adoptions d’équidés a pratiquement doublé depuis 2019 pour atteindre le nombre de 154. Au Grand refuge de Pervenchères, dans l’Orne, 61 chevaux, ânes et poneys sont aujourd’hui proposés à l’adoption. Publicité Le service Protection Animale de la SPA a par…
JEAN-FRANCOIS MONIER via Getty ImagesCe qui change pour le bien-être animal en 2022 (Photo d’illustration d’un élevage de porcelets dans le nord-ouest de la France en novembre 2015. Photo par AFP / JEAN-FRANCOIS MONIER via Getty Images) ANIMAUX – L’année 2022 sera-t-elle l’année des animaux? La question du bien-être animal va revenir régulièrement dans le débat national au cours des mois qui viennent avec la campagne présidentielle. Car, pour la première fois, un membre du parti animaliste fait partie des candidats déclarés. Hélène Thouy a en effet annoncé en juillet dernier qu’elle se présentait à l’élection. L’idée de candidature de l’avocate girondine de 38 ans est de “hisser la cause animale au rang des sujets majeurs dont la société doit s’emparer”, avait-elle déclaré alors en conférence de presse. “Je suis certaine que nous pourrons influer (sur) le cours de cette campagne”, a-t-elle ajouté. Hélène Thouy a présenté sa candidature comme “une réponse à l’irresponsabilité de ceux qui nous dirigent” et par volonté d’imposer la question animale dans le débat national. En attendant, 2022 voit déjà naître dès ce 1er janvier de nouvelles avancées en matière de bien-être animal. La nouvelle année sert en effet d’échéance pour plusieurs décisions politiques prises au cours des derniers mois. Que ce soit pour éviter la souffrance des animaux, leur euthanasie ou pour leur garantir un traitement décent, Le HuffPost fait ici le point sur ce qui va changer pour eux et les agriculteurs. Interdiction de la castration des porcelets à vif Dès ce samedi, il sera interdit de castrer les porcelets sans anesthésie, selon un arrêté datant de février 2020. L’opération, très douloureuse pour le porcelet, prend une trentaine de secondes, note France 3 Régions. Elle consiste à inciser le scrotum, extraire les testicules, couper le cordon spermatique et désinfecter. Sans anesthésie donc pour l’animal, même si…
NOUVELLE ANNÉE – De la hausse du prix du timbre à la fin de la castration à vif des porcelets en passant par la fin des emballages en plastique à usage unique, l’année 2022 arrive avec son lot de changements. Le HuffPost vous a rassemblé ci-dessous ce qui allait être modifié à partir de ce samedi 1er janvier. Smic Le Smic augmente automatiquement de 0,9% du fait de la hausse des prix. Il passe à 1.603,12 euros brut pour 35 heures hebdomadaires. Le taux horaire brut est à 10,57 euros. Complémentaire santé Les 2,5 millions d’agents de la fonction publique d’État peuvent bénéficier, sur demande, d’une prise en charge par leur employeur de leur cotisation de protection sociale complémentaire (mutuelle, assurance, institution de prévoyance) à hauteur de 15 euros par mois. “Titre-mobilité” S’inspirant du titre-restaurant, il va permettre au salarié de payer certains frais liés à ses déplacements domicile-travail pris en charge par son entreprise. Il intégrera le forfait mobilité durable – prise en charge des frais de déplacement utilisant des modes alternatifs à la voiture individuelle, sans cotisations ni impôts, jusqu’à 600 euros par an – et permettra de payer carburant ou alimentation de véhicules électriques, hybrides ou fonctionnant à l’hydrogène. Prix du timbre en hausse Les tarifs du courrier vont augmenter de 4,7% en moyenne au 1er janvier. Le prix du timbre vert – pour un pli distribué en 48 heures en France métropolitaine – passera de 1,08 à 1,16 euro (+7,4%), tandis que celui du timbre rouge – pour une lettre prioritaire, théoriquement distribuée le lendemain – grimpera de 1,28 à 1,43 euro (+11,7%). Quant à l’“Ecopli” – formule la moins chère pour un envoi en quatre jours en moyenne, avec un timbre gris -, il augmentera de 8 centimes à 1,14 euro (+7,5%). Malus auto Un nouveau…
Marcus Chung / Getty ImagesL’association L214 a dénoncé un élevage de poules des Deux-Sèvres, évoquant des “violences extrêmes”. L’entreprise incriminée assure que les images n’ont pas été tournées dans ses locaux (photo d’illustration). BIEN-ÊTRE ANIMAL – L’association L214 a dénoncé, au moyen d’une vidéo diffusée mercredi 15 décembre au soir, les “violences extrêmes” exercées dans un élevage en cage de poules pondeuses à Pamproux, dans les Deux-Sèvres. Des accusations réfutées par le groupe Pampr’oeuf selon qui les images “ne proviennent pas” de ses élevages. L’association de défense des animaux, qui a porté plainte pour “mauvais traitements et pour actes de cruauté” contre la société, affirme que dans cet élevage, “près de 200.000 poules vivent les unes sur les autres dans des cages exiguës, sans jamais voir la lumière du jour”. Certaines “n’ont plus aucune plume sur le corps”, d’autres sont mortes et laissées “au milieu de leurs congénères, parfois jusqu’à un niveau de décomposition avancée”. Les images montrent également les “sévices” que les volailles subissent lors de leur chargement pour l’abattoir: employés filmés en train de “shooter dans des poules comme s’il s’agissait de ballons de foot” et animaux tassés “comme des marchandises” dans des caisses. L’entreprise dément et en appelle à la justice L214 relève également dans son communiqué de “multiples” infractions à la réglementation sur les installations, les conditions de chargement ou la protection des employés. Selon L214, ces images ont été prises en août et septembre dernier, après une alerte d’un employé. Dans un communiqué, la société affirme en revanche que les images “ne proviennent pas de nos élevages” et montrent des “comportements que Pampr’oeuf considère comme inacceptables”. La société dont les élevages sont “très régulièrement inspectés”, assure que “les comportements dénoncés ne correspondent absolument pas aux pratiques de (ses) collaborateurs” et que ses ”équipes utilisent des méthodes…
Photo : Britta Pedersen/picture alliance via Getty Images Les poulpes, les crabes et les homards sont des êtres sensibles, capables d’éprouver des sentiments, selon le gouvernement britannique. Jusqu’à présent, les crustacés décapodes, une catégorie qui comprend les crabes, les homards, les écrevisses et les crevettes, et les mollusques céphalopodes, c’est-à-dire les calmars, les pieuvres et les seiches, n’étaient pas reconnus dans le cadre du projet de loi sur le bien-être animal. Publicité Mais le gouvernement prévoit d’élargir le champ d’application de la législation proposée à la suite d’une étude indépendante menée par la London School of Economics (LSE), qui révélé qu’il y avait des « preuves scientifiques solides » que ces animaux étaient sensibles, c’est-à-dire capables de ressentir de la douleur, de la détresse ou de la joie. « Après avoir examiné plus de 300 études scientifiques, nous avons conclu que les mollusques céphalopodes et les crustacés décapodes doivent être considérés comme sensibles et doivent donc être inclus dans le champ d’application de la législation sur le bien-être animal », a déclaré le Dr Jonathan Birch, professeur associé au Centre de philosophie des sciences naturelles et sociales de la LSE et chercheur principal du rapport. « L’amendement contribuera également à supprimer une incohérence majeure : les pieuvres et autres céphalopodes sont protégés par la science depuis des années, mais n’ont reçu aucune protection en dehors de la science jusqu’à présent. C’est une façon pour le Royaume-Uni de montrer la voie en matière de bien-être animal et de protéger ces animaux invertébrés que les humains ont tendance à négliger », a-t-il poursuivi. L’étude de la LSE déconseille également un certain nombre de pratiques commerciales actuelles, notamment le dégriffage, l’entaillage, l’ablation du pédoncule oculaire, la vente de crustacés décapodes vivants à des personnes non formées et non expertes, et les méthodes d’abattage extrêmes telles que l’ébullition à vif sans…
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