L'ECO D'ICI - Marlène Goudal, fondatrice de Précieux Plastique crée des articles en plastique recyclé

HERAULT NEWS

L’ECO D’ICI – Marlène Goudal, fondatrice de Précieux Plastique crée des articles en plastique...

Précieux Plastique est une enseigne qui propose des bijoux, des marque-pages et divers objets décoratifs élaborés à partir de plastique recyclé. À l’origine de cette marque, on retrouve Marlène Goudal, basée à Valergues. Elle expose ses œuvres dans une boutique temporaire au Polygone en collaboration avec le collectif Passe la Seconde.

Concevoir des boucles d’oreilles, des marque-pages, des éclairages, ainsi que des porte-savons à partir de bouchons en plastique : c’est le défi relevé par Marlène Goudal, fondatrice de Précieux Plastique. Elle collecte du plastique dans l’environnement ou auprès de ses connaissances, le réduit en paillettes qu’elle classe par couleur, puis le fait fondre et presse pour lui donner une nouvelle forme.

Depuis mardi et jusqu’au 23 décembre, Marlène Goudal expose ses œuvres dans une boutique éphémère au dernier étage du Polygone, aux côtés d’autres créatrices du collectif Passe la Seconde, toutes travaillant avec des matériaux recyclés.

L'augmentation des tensions entre Bruxelles et Pékin met en difficulté le cognac charentais

ECONOMIE

L’augmentation des tensions entre Bruxelles et Pékin met en difficulté le cognac charentais

En tant que victime indirecte d’un conflit ayant pris naissance à des milliers de kilomètres, la Charente se voit obligée de détruire ses vignes. En septembre 2023, la Commission européenne a ouvert une enquête sur les véhicules électriques en provenance de Chine, soupçonnés d’être commercialisés à des prix très bas grâce à des aides injustes délivrées par le gouvernement chinois.

À l’issue de cette enquête, l’Europe a définitivement instauré, le 29 octobre, des droits de douane supplémentaires allant de 18 % à 45 % selon les constructeurs, en plus des 10 % déjà en vigueur. L’initiative, soutenue par la France, a été fermement condamnée par cinq États européens (Allemagne, Hongrie, Malte, Slovaquie, Slovénie), tandis que douze pays, dont l’Espagne et la Suède, se sont abstenus.

Mesure pour mesure. La Chine a réagi en lançant, en janvier 2024, une enquête sur les brandies européens, qui inclut le cognac, l’armagnac et le brandy de Jerez, dont 95 % des expéditions européennes proviennent de France.

« La France est le seul pays européen touché par cette politique, avec des exportations de cognac atteignant 1,1 milliard de dollars en 2023 », précise le Crédit agricole.

Depuis le début d’octobre, Pékin impose donc à ses importateurs de brandies européens un dépôt douanier compris entre 30 et 39 % des montants importés. Ces fonds seront gelés jusqu’à la conclusion de son enquête, prévue pour janvier 2025, et seront débloqués uniquement si la taxe devient définitive.

L’enquête chinoise connaîtra-t-elle le même sort que celle de l’Europe, entraînant la mise en place de surtaxes permanentes ? C’est peu probable, selon Florent Morillon, président du Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC), qui rappelle que « le secteur du cognac ne bénéficie d’aucune aide déloyale, ses pratiques respectant parfaitement le droit international ». Quoi qu’il en soit, la taxe temporaire impacte déjà les 283 négociants de la zone d’appellation Cognac.

Le cognac, un enjeu stratégique

La Chine n’a pas agi sans y penser : elle sait que ce secteur repose fortement sur ses ventes à l’international – 98 % du cognac est exporté, d’après le BNIC – et que le marché chinois est crucial pour sa survie.

En 2021, les négociants avaient déjà subi une taxe identique de 25 % imposée par les États-Unis, dans le cadre d’un conflit relatif aux subventions accordées par l’Union européenne à Airbus et par les États-Unis à Boeing.

À l’époque, les négociants avaient été moins touchés car les bouteilles concernées, de qualité supérieure, étaient peu prisées par les consommateurs américains. De plus, ils pouvaient compter sur une demande mondiale en forte hausse post-pandémie, notamment en Asie.

Les bouteilles de prestige dans le viseur de la Chine

Concernant la taxe chinoise, les bouteilles visées sont celles les plus populaires : des cognacs premiums, plus coûteux que ceux destinés à d’autres marchés. En Chine, où le cognac est synonyme de luxe, le coût n’est en effet pas un frein à l’achat. Une étude menée par les économistes Charlotte Emlinger et Viola Lamani a ainsi démontré qu’une hausse de prix n’influençait pas la part de ces cognacs dans les exportations françaises.

De quoi rassurer, en théorie, les maisons de négoce. Toutefois, cette fois-ci, les consommateurs chinois semblent réceptifs au message de représailles politiques émis par Pékin.

« Depuis l’annonce du dépôt, le cognac français n’est plus le bienvenu sur les tables chinoises », raconte le BNIC.

Pour les maisons de cognac, les répercussions de ce boycott varient selon leur dépendance vis-à-vis du marché chinois. Les quatre grands, à savoir Hennessy, Martell, Rémy Cointreau et Courvoisier, qui représentent 90 % des exportations vers la Chine, devraient en principe être temporairement préservés.

« Ce sont leurs filiales en Chine qui doivent acquitter la taxe », souligne le BNIC. Si l’importation devient trop onéreuse, ces maisons évalueront l’intérêt de maintenir leur présence sur le marché. »

Pour l’heure, les maisons de cognac françaises ont ordonné à leurs filiales de continuer d’importer, bien qu’un risque de paiements élevés se profile si les surtaxes se transforment en mesures définitives.

Une approche impensable pour les maisons familiales telles que Hine, Frapin ou Meukow, qui tirent 97 % de leur activité du cognac. En effet, ces entreprises dépendent des importateurs chinois pour que leur cognac soit disponible en rayons.

Or, ces importateurs sont beaucoup plus réticents face à la perspective d’un prélèvement ultérieur des dépôts, et préfèrent donc, pour certains, annuler dès maintenant leurs commandes en France.

Conséquence, les maisons se retrouveront avec un stock invendu, difficile à écouler sur d’autres marchés.

« Chaque type de cognac est adapté à son marché, les préférences des consommateurs américains ne sont pas celles des consommateurs chinois », explique Marie-Laure Coste, secrétaire générale de la maison Meukow.

De plus, « l’inflation et la chute qui s’ensuit du pouvoir d’achat depuis la fin de la pandémie ralentissent la consommation mondiale de tous les spiritueux », a également énoncé François-Gaël Lataste, directeur du BNIC, lors d’une conférence sur l’avenir du secteur organisée par le média Charente Libre.

Un seul mot d’ordre donc : restreindre la production afin d’éviter une surcapacité.

Les viticulteurs contraints de réduire leur production

Cependant, après le regain des expéditions post-Covid, le BNIC avait donné son accord pour la plantation de 3 129 hectares supplémentaires de vignes. En 2023, les récoltes « exceptionnelles » d’ugni blanc, cépage utilisé pour le cognac, avaient permis de produire 12,8 millions d’hectolitres. Que va-t-il arriver à ces bouteilles ? « C’est la question qui taraude tout le secteur », répond le BNIC.

Pour gérer l’excédent de raisins de la dernière vendange, le BNIC propose des « plans d’urgence pour réaffecter les surfaces à d’autres débouchés rentables et pour procéder à une destruction temporaire des vignes, afin de les replanter lors de la reprise des expéditions ».

Le quota de raisin que les viticulteurs peuvent cultiver par hectare a également été abaissé à un niveau historique depuis la crise de 2009. Une décision difficile à accepter pour les viticulteurs, dont les coûts de production n’ont pas diminué.

Des emplois en danger

« Les 4 000 viticulteurs de la région ressentiront la crise, mais à des moments différents », met en garde la viticultrice Mathilde Thorin, qui ne voit d’autre option pour surmonter cette période difficile que de « réduire les investissements, diminuer les charges fixes et reconsidérer les modèles de production ».

Cette consigne est scrupuleusement respectée, puisque les producteurs ajustent déjà leur personnel. Les projets de recrutement saisonniers dans le secteur de Cognac ont chuté de 32 % par rapport à 2023, selon une étude de France travail.

Et cette baisse ne touche pas uniquement les viticulteurs. « Les premiers impacts se font sentir sur les partenaires de la filière, comme les producteurs de bouchons et de bouteilles », s’inquiète Anthony Brun, président de l’Union générale des viticulteurs pour l’AOC Cognac. Le secteur du cognac emploie 14 500 personnes et 72 500 individus en dépendent, des tonneliers aux divers prestataires de services.

La Chine, elle, n’est pas prête de s’arrêter là : elle a indiqué que « les enquêtes sur le porc et ses produits dérivés (notamment les abats) ainsi que sur les produits laitiers étaient toujours en cours », relèvent les économistes du Crédit agricole. Elle n’exclut pas non plus d’augmenter les droits de douane sur les véhicules à moteur thermique de forte cylindrée, ciblant cette fois-ci les fabricants allemands ».

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Chaos à Douvres: la France et le Royaume-Uni se renvoient la balle

via Associated PressLes embouteillages au port de Douvres, premier gros week-end de vacances chez les Britanniques qui tentent de rejoindre le continent, le 23 juillet 2022.  ROYAUME-UNI – La situation reste compliqué au port de Douvres. Les vacanciers britanniques devaient toujours attendre plusieurs heures ce samedi 23 juillet avant de pouvoir accéder au port, l’un des principaux points d’accès au continent. Face au chaos, responsables français et britanniques se renvoient la balle.  Avec le début des vacances scolaires en Angleterre et au Pays de Galles, cette fin de semaine représente le premier week-end de grands départs sans restrictions de circulation liées au coronavirus depuis l’entrée en vigueur du Brexit, synonyme de contrôles plus longs que lorsque le Royaume-Uni faisait partie de l’Union européenne. Vendredi, nombre de vacanciers sont restés coincés pendant des heures avant de pouvoir accéder au port de Douvres. P&O Ferries, l’un des principaux opérateurs, prévenait par exemple ses clients que le temps d’attente était de six heures pour parvenir aux contrôles. Il était de trois heures ce samedi selon la compagnie.  La France “ruine” les vacances, dénonce Douvres Dans un communiqué, le port dénonçait les autorités françaises qui “ruinent” les vacances des Britanniques. Le directeur général du port de Douvres, Doug Bannister avait lui accusé les autorités françaises d’avoir sous-dimensionné le nombre d’agents de la police française aux frontières, tout en reconnaissant que “dans un environnement post-Brexit”, les délais pour embarquer vont augmenter.  Côté français, le préfet de la région Hauts-de-France, Georges-François Leclerc, a concédé un retard dans la pleine mise en œuvre du dispositif prévu vendredi en raison d’un incident de signalisation dans le tunnel sous la Manche et d’un accident de la circulation sur l’autoroute M20. “Qui peut croire que parce que les renforts français ont une heure de retard, c’est tout un système qui déraille?”,…

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Bison Futé: plus de 600km de bouchons pour le retour des vacances

BOUCHONS – Un pic de 646 kilomètres de ralentissements cumulés a été relevé par Bison Futé à la mi-journée de ce samedi 22 août, journée classée rouge au niveau national sur les routes de France dans le sens des retours de vacances. Les principales difficultés de circulation se situent sur l’autoroute A7 dans la vallée du Rhône, avec un trafic “extrêmement dense” depuis Orange (Vaucluse) en direction de Lyon, selon le centre d’information routière. Vers 12H15, le temps de parcours entre ces deux villes était de 03H10 contre 01H30 ordinairement. Les grands axes sont aussi chargés autour de l’arc méditerranéen (A61, A75, A8 et A9), de même dans le Sud-Ouest (autoroutes A10, A20, rocade de Bordeaux – A630) et dans le grand Ouest (N165, A11, N12, périphérique de Nantes – N844, rocade de Rennes – N136, et A13). Dans le sens des départs, la circulation est également difficile sur ces mêmes axes. La journée est classée orange au niveau national. A voir également sur Le HuffPost: Comprenez comment se forment les bouchons sur l’autoroute grâce à ce simulateur Source

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Samedi noir sur les routes de France, canicule dans les voitures

MARTIN BUREAU via Getty ImagesCe samedi 8 août, Bison futé a relevé plus de 800 kilomètres de bouchons, soit l’équivalent d’un Lille-Bordeaux.  DÉPARTS EN VACANCES – La circulation a atteint un niveau record ce samedi 8 août sur des routes surchauffées, avec un pic de bouchons de 820 kilomètres cumulés à la mi-journée selon Bison futé qui avait annoncé une journée noire dans le sens des départs, rouge pour les retours. Pour ce deuxième week-end de chassé-croisé marqué par des températures caniculaires, les principales difficultés se situaient à la mi-journée sur les autoroutes du quart nord-ouest du pays (A2, A25, A11, A13) et de la moitié sud (A7, A8, A9, A10, A20, A75). “Le pic de bouchons a été atteint vers 12h05 avec 820 km cumulés au niveau national”, soit l’équivalent d’un parcours Lille-Bordeaux, a indiqué Bison Futé dans un communiqué. Samedi dernier, le pic était de 760 kilomètres, équivalent au samedi 3 août 2019 (762 km). L’axe Lyon-Orange complètement saturé Les premières difficultés ont été constatées dès l’aube et de nombreux ralentissements étaient relevés, notamment en vallée du Rhône sur l’A7 “depuis le sud de Lyon jusqu’à Orange”, selon l’organisme de prévision du trafic. Le temps de parcours était ainsi de 3 heures 45 à la mi-journée entre Lyon et Orange au lieu d′1 heure et 35 minutes habituellement. Dans le sens inverse, il fallait 4 heures 30 pour rejoindre Lyon depuis Orange. Deux itinéraires de délestage ont été mis en place au péage de Lançon-Provence. Sur l’A9, la circulation était “assez difficile” entre Nîmes et Gallargues en provenance ou en direction de l’Espagne. L’A61 entre Toulouse et Narbonne était également très chargée: les automobilistes devaient compter 2 heures supplémentaires pour rejoindre Toulouse depuis Narbonne, selon Vinci-Autoroutes, le premier opérateur autoroutier du pays. Du mieux à venir ce dimanche Dans…

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Les bouchons sur les routes atteignent leur pic à 760km sous un soleil de plomb

TRANSPORTS – Sous un soleil écrasant, le chassé-croisé entre “juillettistes” et “aoûtiens” n’a pas failli à la règle, avec un pic de bouchons cumulés de 760 kilomètres ce samedi 1er août, première journée de l’été classée noire dans le sens des départs. “Le pic des bouchons a été atteint à 12h10 avec un cumul des bouchons au niveau national de 760 kilomètres”, a annoncé Bison futé dans un communiqué. La situation est “conforme aux prévisions”, précise le site d’informations routières. Le pic est comparable au samedi équivalent du 3 août 2019 (762 km), et supérieur au samedi 25 juillet 2020 (609 km). Les principales difficultés de circulation enregistrées se situent sur les autoroutes A7, de Lyon à Marseille, et A10, entre Paris et Bordeaux. Un record inattendu de 955 km d’embouteillages avait été enregistré il y a 3 semaines. Du jamais vu en juillet. Ce samedi est aussi classé rouge au niveau national dans le sens des retours. “Les temps de parcours ont plus que doublé samedi sur l’autoroute A7 par rapport à la normale, en particulier vers Orange, Valence et Montélimar”, a précisé le site d’informations routières à l’AFP. Avec cette circulation surchargée dans la descente de la vallée du Rhône depuis le sud de Lyon jusqu’à Orange, les temps de parcours étaient par exemple vers midi de 05h10 au lieu de 1h30 d’habitude. Des itinéraires de délestage ont été mis en place. Un accident a par ailleurs entraîné samedi matin la coupure de l’A89 sur l’axe Bordeaux-Lyon. Et le mercure qui s’affole, avec des températures de 36 à 41 degrés, de la vallée du Rhône aux deux départements savoyards, rendait encore plus pénible la route des vacances. Treize départements étaient toujours placés samedi à la mi-journée en vigilance orange canicule par Météo France: l’Ain, l’Ardèche, la Côte-d’Or, le Doubs,…

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Départs en vacances: samedi classé noir sur les routes

PHILIPPE DESMAZES via Getty ImagesLe trafic s’annonce plus que dense sur les routes ce week-end. TRANSPORTS – Juilletistes et aoûtiens s’apprêtent à se croiser sur les routes, pour le meilleur et surtout pour le pire. En ce week-end de chassé-croisé, Bison Futé voit noir sur les routes de France dans le sens des départs ce samedi 1er août.  Les difficultés vont d’ailleurs commencer dès la soirée de ce vendredi avec des difficultés prévues sur l’axe Dijon-Narbonne en passant par Lyon. Les sorties de l’Île-de-France tout comme celles de l’agglomération de Bordeaux s’annoncent particulièrement chargées. Dans le sens des départs samedi, Bison Futé conseille d’éviter l’A6 entre Beaune et Lyon, l’A7 entre Lyon et Salon-de-Provence, l’A9 entre Nîmes et Narbonne, ou encore l’ A10 à hauteur de Bordeaux. Pour ceux qui rentrent de vacances, l’organisme appelle à éviter l’A10 entre Bordeaux et Niort, l’A7 entre Lançon-de-Provence et Lyon, l’A9 entre Narbonne et Orange,  l’A71 à hauteur de Clermont-Ferrand, et l’A62 entre Toulouse et Bordeaux.  Bison FutéBison Futé voir noir sur les routes ce samedi Ce week-end de chassé-croisé se double par ailleurs d’une alerte orange canicule sur de nombreux départements. Alors que les températures atteignent des sommets ce vendredi, l’épisode devrait se prolonger samedi de la vallée du Rhône aux Savoie, a précisé Météo-France. Localement, la nuit n’offrira pas de répit: on attend notamment pas moins de 23 à 25°C en métropole lyonnaise ou grenobloise dans la nuit de vendredi à samedi.  Du Cher au Nord en passant par le Bassin Parisien, la vigilance orange concerne aussi des orages, attendus dans l’après-midi et en soirée, avec un risque de grêle et des rafales de vent localement violentes.  Bison Futé recommande d’éviter “de circuler aux heures les plus chaudes de la journée”, vendredi comme samedi, de protéger le véhicule du soleil, de boire régulièrement de…