Les gens n’aiment vraiment pas la publicité de vacances de l’IA de Coca-Cola.
Coca-Cola est soumis à un examen attentif pour avoir utilisé l’IA pour générer sa nouvelle publicité de vacances.
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Le pape a-t-il ignoré les messages d’Emmanuel Macron le conviant à assister à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris ? En conséquence, Macron se fâche. Nils décrit les enjeux de cette situation. “Les Indiscrets”, c’est une immersion dans les arcanes de la politique française peu abordées, sans déguisements ni discours préformatés. L’émission est animée par Nils Wilcke, un journaliste politique passionné, qui scrute chaque jour les rouages du pouvoir. Au programme : Le pape a-t-il ignoré les messages d’Emmanuel Macron le conviant à participer à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris ? En tout cas, le 7 décembre prochain, le souverain pontife ne sera pas “bain de soleil”, mais se joindra à un colloque en Corse. Par conséquent, Macron se fâche. Nils explique les enjeux de cette affaire. Loué soit Donald Trump. De la RN à la Macronie en passant par les Républicains, toute la droite dévisage l’ancien et futur président américain avec admiration, même si tous ne l’avouent pas ouvertement. Pourquoi ? Comment ? Et qu’est-ce que cela révèle de notre classe politique ? Nils a mené l’enquête. Le RN est en détresse, suite aux réquisitions du procureur de la République réclamant une peine d’inéligibilité de cinq ans pour Marine Le Pen, dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN. Officiellement, tout le monde crie au coup monté. Mais dans l’ombre, qui se prépare à devenir un plan B ?
Nous sommes le jeudi 14 novembre 2024, voici le programme de “Toujours Debout”, animé par Nadiya Lazzouni : Dans cette édition, vous trouverez un récapitulatif des actualités préparé ce soir par Aude Cazorla. Comme chaque jeudi, nous vous proposons un débat. Pour ce nouvel épisode du fond de l’info, notre chroniqueur habituel, Mathieu Slama, sera opposé à Elsa Marcel, avocate et militante de Révolution Permanente. Nous aborderons deux sujets d’actualité : Tout d’abord, la controverse concernant le match de football France-Israël, un événement, empreint de tension, qui relie sport et géopolitique. Emmanuel Macron a déclaré qu’il s’y rendrait par “amitié” envers l’État hébreux, malgré la politique de génocide qu’il applique à Gaza et la continuation de la guerre au Liban. Cette décision a provoqué l’indignation chez les militants et les personnalités politiques qui ont appelé au boycott du match. L’événement, prévu pour ce soir, survient le lendemain du gala “Israël Forever”. Malgré une forte mobilisation de militants et de personnalités politiques réunis hier à Paris, l’association a pu accueillir l’extrême droite israélienne avec un tapis rouge. Nous aborderons également le procès des assistants parlementaires du FN, où le parquet a requis, ce mercredi, 5 ans de prison, dont deux fermes, ainsi que 5 ans d’inéligibilité pour Marine Le Pen dont l’horizon politique semble incertain. Ces demandes ont provoqué une onde de choc, non seulement au RN qui parle de “persécution”, mais aussi à droite, incluant l’ancien ministre de l’intérieur Gérald Darmanin. Dans la seconde partie de l’émission, nous aurons Emmanuel Dupuy, Président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE). Nous examinerons les implications de la réélection de Donald Trump sur la guerre en Ukraine. Le président récemment réélu a affirmé, en tant que candidat, qu’il pourrait y mettre fin “en moins de 24h”. L’Europe demeure sceptique. Tiendra-t-il ses promesses ? Et quelles…
En tant que victime indirecte d’un conflit ayant pris naissance à des milliers de kilomètres, la Charente se voit obligée de détruire ses vignes. En septembre 2023, la Commission européenne a ouvert une enquête sur les véhicules électriques en provenance de Chine, soupçonnés d’être commercialisés à des prix très bas grâce à des aides injustes délivrées par le gouvernement chinois.
À l’issue de cette enquête, l’Europe a définitivement instauré, le 29 octobre, des droits de douane supplémentaires allant de 18 % à 45 % selon les constructeurs, en plus des 10 % déjà en vigueur. L’initiative, soutenue par la France, a été fermement condamnée par cinq États européens (Allemagne, Hongrie, Malte, Slovaquie, Slovénie), tandis que douze pays, dont l’Espagne et la Suède, se sont abstenus.
Mesure pour mesure. La Chine a réagi en lançant, en janvier 2024, une enquête sur les brandies européens, qui inclut le cognac, l’armagnac et le brandy de Jerez, dont 95 % des expéditions européennes proviennent de France.
« La France est le seul pays européen touché par cette politique, avec des exportations de cognac atteignant 1,1 milliard de dollars en 2023 », précise le Crédit agricole.
Depuis le début d’octobre, Pékin impose donc à ses importateurs de brandies européens un dépôt douanier compris entre 30 et 39 % des montants importés. Ces fonds seront gelés jusqu’à la conclusion de son enquête, prévue pour janvier 2025, et seront débloqués uniquement si la taxe devient définitive.
L’enquête chinoise connaîtra-t-elle le même sort que celle de l’Europe, entraînant la mise en place de surtaxes permanentes ? C’est peu probable, selon Florent Morillon, président du Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC), qui rappelle que « le secteur du cognac ne bénéficie d’aucune aide déloyale, ses pratiques respectant parfaitement le droit international ». Quoi qu’il en soit, la taxe temporaire impacte déjà les 283 négociants de la zone d’appellation Cognac.
La Chine n’a pas agi sans y penser : elle sait que ce secteur repose fortement sur ses ventes à l’international – 98 % du cognac est exporté, d’après le BNIC – et que le marché chinois est crucial pour sa survie.
En 2021, les négociants avaient déjà subi une taxe identique de 25 % imposée par les États-Unis, dans le cadre d’un conflit relatif aux subventions accordées par l’Union européenne à Airbus et par les États-Unis à Boeing.
À l’époque, les négociants avaient été moins touchés car les bouteilles concernées, de qualité supérieure, étaient peu prisées par les consommateurs américains. De plus, ils pouvaient compter sur une demande mondiale en forte hausse post-pandémie, notamment en Asie.
Concernant la taxe chinoise, les bouteilles visées sont celles les plus populaires : des cognacs premiums, plus coûteux que ceux destinés à d’autres marchés. En Chine, où le cognac est synonyme de luxe, le coût n’est en effet pas un frein à l’achat. Une étude menée par les économistes Charlotte Emlinger et Viola Lamani a ainsi démontré qu’une hausse de prix n’influençait pas la part de ces cognacs dans les exportations françaises.
De quoi rassurer, en théorie, les maisons de négoce. Toutefois, cette fois-ci, les consommateurs chinois semblent réceptifs au message de représailles politiques émis par Pékin.
« Depuis l’annonce du dépôt, le cognac français n’est plus le bienvenu sur les tables chinoises », raconte le BNIC.
Pour les maisons de cognac, les répercussions de ce boycott varient selon leur dépendance vis-à-vis du marché chinois. Les quatre grands, à savoir Hennessy, Martell, Rémy Cointreau et Courvoisier, qui représentent 90 % des exportations vers la Chine, devraient en principe être temporairement préservés.
« Ce sont leurs filiales en Chine qui doivent acquitter la taxe », souligne le BNIC. Si l’importation devient trop onéreuse, ces maisons évalueront l’intérêt de maintenir leur présence sur le marché. »
Pour l’heure, les maisons de cognac françaises ont ordonné à leurs filiales de continuer d’importer, bien qu’un risque de paiements élevés se profile si les surtaxes se transforment en mesures définitives.
Une approche impensable pour les maisons familiales telles que Hine, Frapin ou Meukow, qui tirent 97 % de leur activité du cognac. En effet, ces entreprises dépendent des importateurs chinois pour que leur cognac soit disponible en rayons.
Or, ces importateurs sont beaucoup plus réticents face à la perspective d’un prélèvement ultérieur des dépôts, et préfèrent donc, pour certains, annuler dès maintenant leurs commandes en France.
Conséquence, les maisons se retrouveront avec un stock invendu, difficile à écouler sur d’autres marchés.
« Chaque type de cognac est adapté à son marché, les préférences des consommateurs américains ne sont pas celles des consommateurs chinois », explique Marie-Laure Coste, secrétaire générale de la maison Meukow.
De plus, « l’inflation et la chute qui s’ensuit du pouvoir d’achat depuis la fin de la pandémie ralentissent la consommation mondiale de tous les spiritueux », a également énoncé François-Gaël Lataste, directeur du BNIC, lors d’une conférence sur l’avenir du secteur organisée par le média Charente Libre.
Un seul mot d’ordre donc : restreindre la production afin d’éviter une surcapacité.
Cependant, après le regain des expéditions post-Covid, le BNIC avait donné son accord pour la plantation de 3 129 hectares supplémentaires de vignes. En 2023, les récoltes « exceptionnelles » d’ugni blanc, cépage utilisé pour le cognac, avaient permis de produire 12,8 millions d’hectolitres. Que va-t-il arriver à ces bouteilles ? « C’est la question qui taraude tout le secteur », répond le BNIC.
Pour gérer l’excédent de raisins de la dernière vendange, le BNIC propose des « plans d’urgence pour réaffecter les surfaces à d’autres débouchés rentables et pour procéder à une destruction temporaire des vignes, afin de les replanter lors de la reprise des expéditions ».
Le quota de raisin que les viticulteurs peuvent cultiver par hectare a également été abaissé à un niveau historique depuis la crise de 2009. Une décision difficile à accepter pour les viticulteurs, dont les coûts de production n’ont pas diminué.
« Les 4 000 viticulteurs de la région ressentiront la crise, mais à des moments différents », met en garde la viticultrice Mathilde Thorin, qui ne voit d’autre option pour surmonter cette période difficile que de « réduire les investissements, diminuer les charges fixes et reconsidérer les modèles de production ».
Cette consigne est scrupuleusement respectée, puisque les producteurs ajustent déjà leur personnel. Les projets de recrutement saisonniers dans le secteur de Cognac ont chuté de 32 % par rapport à 2023, selon une étude de France travail.
Et cette baisse ne touche pas uniquement les viticulteurs. « Les premiers impacts se font sentir sur les partenaires de la filière, comme les producteurs de bouchons et de bouteilles », s’inquiète Anthony Brun, président de l’Union générale des viticulteurs pour l’AOC Cognac. Le secteur du cognac emploie 14 500 personnes et 72 500 individus en dépendent, des tonneliers aux divers prestataires de services.
La Chine, elle, n’est pas prête de s’arrêter là : elle a indiqué que « les enquêtes sur le porc et ses produits dérivés (notamment les abats) ainsi que sur les produits laitiers étaient toujours en cours », relèvent les économistes du Crédit agricole. Elle n’exclut pas non plus d’augmenter les droits de douane sur les véhicules à moteur thermique de forte cylindrée, ciblant cette fois-ci les fabricants allemands ».
À mesure que la résistance à l’intégration augmentait, Florence Mars acheta un appareil photo et commença à photographier des milliers de sujets, y compris le procès des meurtriers d’Emmett Till.
RUSSIE – Sommes-nous en train d’imposer un “rideau de fer” culturel à la Russie? Au lendemain de l’invasion de l’Ukraine par l’armée de Vladimir Poutine, qui a déjà contraint à l’exil plus de 2,5 millions d’Ukrainiens, certains artistes russes sont devenus persona non grata à la Scala de Milan, à la Philarmonie de Paris ou au Carnegie Hall de New York. La Russie a aussi été exclue du concours de l’Eurovision et les représentations du ballet du Bolchoï annulées à Londres ou Madrid. De nombreuses voix s’inquiètent d’une “censure” dangereuse du monde culturel russe. Pourtant à y regarder de plus près, ces différents exemples peuvent, pour l’heure, se comprendre. Avec la crainte néanmoins qu’ils n’entraînent une vague de décisions beaucoup moins réfléchies. Le Bolchoï, symbole du soft power “Pour l’instant, on ne peut pas parler de boycott de la Russie en tant que tel, mais plutôt de sanctions ponctuelles”, réagit pour Le HuffPost Yauheni Kryzhanouski, docteur en sciences politiques et enseignant-chercheur à Sciences Po Strasbourg, dont les recherches portent sur la politisation de l’art et la censure contemporaine en Biélorussie et en Russie. Le ballet du Bolchoï, sans doute le plus grand symbole du soft power de l’URSS puis de la Russie, est une troupe publique. “Difficile de trouver plus proche des autorités”, souligne Yauheni Kryzhanouski, qui rappelle que les différentes tournées des danseurs à l’international rapportent de l’argent à Vladimir Poutine. “Boycotter des artistes financés par la Russie, c’est choisir de ne pas financer l’industrie culturelle d’État”, résume le chercheur. Il en va de même pour de nombreux films de réalisateurs russes qui, même s’il ne s’agit pas forcément de films de propagande, ont été soutenus par des financements publics sur lesquels repose une bonne partie de l’industrie du cinéma locale. En modifiant leurs critères de sélection après l’invasion…
Le grand Mike Tyson a dit : « Tout le monde a un plan jusqu’à prendre une droite dans la bouche. » C’est à peu près ce qui est en train de se passer pour une poignée de marques qui ont cru pouvoir manifester des remontrances à l’égard de la Chine sans en payer le prix. Adidas, Nike, Lacoste, Burberry, Uniqlo, New Balance et Gap, entre autres entreprises occidentales, essuient en ce moment même une campagne de boycott massive de la part des consommateurs chinois pour avoir refusé d’utiliser du coton en provenance de la région du Xinjiang. Depuis plusieurs années, de nombreux journalistes et activistes assurent que le Xinjiang abrite des camps dans lesquels seraient internés au moins un million de Ouïghours. Selon Amnesty International, ces camps sont « avant tout des lieux de sanction et de torture » dans lesquels la minorité musulmane subit des violences, des privations de nourriture et des travaux forcés sous prétexte de rééducation. Le gouvernement chinois nie en bloc et évoque plutôt des « centres de formation professionnelle » visant à éloigner les Ouïghours du terrorisme. H&M, qui compte près de 500 magasins en Chine, a annoncé par communiqué au mois de septembre dernier qu’elle n’utiliserait plus de coton en provenance du Xinjiang par « inquiétude » pour le sort des Ouïghours. C’est ce communiqué que des internautes chinois ont exhumé la semaine dernière pour appeler au boycott de la marque suédoise, quelques jours après que l’Union européenne a imposé des sanctions à trois responsables politiques et une organisation paramilitaire chinoise pour leur rôle dans la répression des minorités musulmanes. Assez vite, les internautes chinois ont mené leur enquête et découvert que de nombreuses marques occidentales avaient décidé de ne plus utiliser le coton du Xinjiang pour les mêmes raisons que H&M. Portée par les…
ÉTATS-UNIS – Une provocation de plus. Jared Kushner, gendre et conseiller de Donald Trump, a ironisé ce jeudi 27 août sur les basketteurs de la NBA qui ont décidé de boycotter les compétitions en réaction à l’affaire Jacob Blake. “Ils peuvent se payer le luxe” de protester contre les bavures policières et le racisme, a-t-il notamment déclaré. “Les joueurs de la NBA, ils peuvent se payer le luxe de prendre une soirée de congé, un luxe que la plupart des Américains ne peuvent pas se permettre”, a-t-il déclaré dans un entretien au site d’informations Politico. Et d’ajouter: “Je trouve ça sympa qu’ils se mobilisent pour cette cause, mais j’aimerais les voir commencer à avancer vers des solutions concrètes”. Une phrase qui laisserait entendre que ce seraient à eux de trouver une solution au racisme et aux violences policières dans le pays? George Floyd, Jacob Blake, même combat Le mouvement de boycott a éclaté après une nouvelle bavure apparente d’un policier, qui a tiré, dimanche 23 août, sept balles dans le dos de Jacob Blake, un Afro-Américain de 29 ans, dans l’État du Wisconsin, alors qu’il résistait à son interpellation. Le père de famille est grièvement blessé. Cette affaire a relancé le mouvement de colère historique contre le racisme et les brutalités policières qui a vu le jour après la mort d’un autre homme noir, George Floyd, étouffé en mai sous le genou d’un policier blanc. Enclenché par l’équipe de basket-ball des Milwaukee Bucks, qui a boycotté un match et contraint la NBA à reporter plusieurs autres rencontres mercredi, le mouvement s’est propagé à grande vitesse. Kushner “heureux” d’échanger avec LeBron James “NOUS EXIGEONS LE CHANGEMENT. ON EN A MARRE”, a tweeté la superstar des Los Angeles Lakers, LeBron James. Selon plusieurs médias, les Lakers et les Los Angeles Clippers ont voté…
ÉTATS-UNIS – En marge de la rencontre face à l’Atlanta Dream le mercredi 26 août, les joueuses des Washington Mystics ont affiché leur soutien à Jacob Blake. Elles portaient toutes un tee-shirt avec 7 impacts de balles dessinés et sur lequel était inscrit le nom de cet Afro-Américain grièvement blessé par la police le 23 août dans le Wisconsin. Une des joueuses de l’équipe, Ariel Atkins, a livré un puissant message au micro d’ESPN, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de cet article. ”Nous ne sommes pas juste des joueuses de basket. Et si vous pensez que nous le sommes, ne nous regardez pas. Nous sommes tellement plus que ça”, s’est-elle insurgée. “Si vous avez un problème pour dire “Black Lives Matter” (la vie des noirs compte, NDLR) vous devez revoir vos privilèges. Parce que oui, toutes les vies comptent, y compris celles des Noirs dont nous parlons”, poursuit-elle la gorge nouée. L’ensemble des matchs de la ligue féminine de basket américaine (WNBA) de la journée du 26 août ont été reportés. Toutes les joueuses ont refusé de jouer en signe de protestation. Un boycott qui rappelle celui de leurs homologues masculins. Initié par l’équipe de basket-ball des Milwaukee Bucks, toutes les rencontres de NBA ont aussi été annulées. Un mouvement inédit dans le sport américain. À voir également sur Le HuffPost: Les paroles émues du coach des Clippers après l’affaire Jacob Blake Source
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