Garbage Time à la ligne d’arrivée 2024
Neuf ans plus tard, Trump est à portée d’un autre mandat alors que les technocrates luttent pour le contenir.
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Capture d’écran TMCAu micro de “Quotidien”, Barack Obama et Bruce Springsteen ont expliqué avec l’exemple de leur rencontre comment l’ouverture à l’autre permettait d’aller vers un vivre-ensemble en dépit des différences de chacun. VIVRE-ENSEMBLE – Au milieu des “faits alternatifs”, du repli sur soi et de la montée des extrémismes aux États-Unis comme en France, ils veulent donner l’exemple. Ce mardi 2 novembre, l’ancien président des États-Unis Barack Obama et le rockeur Bruce Springsteen étaient invités de Quotidien, sur TMC, à l’occasion de la sortie d’un livre commun fait de conversations sur la musique, le monde et leur parcours respectif. L’occasion pour les deux hommes de livrer le récit de leur amitié, débutée au cours de la première campagne présidentielle de Barack Obama. Une rencontre inattendue, dont ils espèrent qu’elle pourra inspirer, dans des sociétés toujours plus fracturées, en inspirant l’ouverture à l’autre. “Comment faire pour partager des valeurs et une identité communes? Comment éviter d’être dans le clivage permanent?”, s’est notamment interrogé le 44e président américain au cours de l’entretien avec Yann Barthès. Et de répondre à sa question rhétorique avec une idée simple: “Pour diminuer la peur de l’autre, il faut partager des histoires.” La musique comme ouverture à l’autre C’est ainsi qu’il en est venu à son amitié avec l’interprète de “Born in the USA”. “Une des choses qui nous a rassemblées avec Bruce, c’est de se rendre compte au fur et à mesure de nos discussions que ni l’un, ni l’autre n’avions vraiment grandi au côté de notre père”, a-t-il relaté. “Et ça par exemple, c’est une histoire commune, quelque chose qui revient chez plein de gens qui ont dû traverser l’absence d’un parent, se construire avec une parentalité perturbée, sans forcément de modèle.” Barack Obama a poursuivi: “C’est pour cela que plus on se raconte…
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