6 janvier 2025
Le Capitole est envahi. Des caméras de sécurité surprennent le sénateur Josh Hawley courant de peur devant un groupe d’activistes L.G.B.T.Q.I.A.+ tentant de le couronner avec des guirlandes de fierté.
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Le camping connaît une croissance importante dans l’Hérault. Actuellement, les acteurs du secteur se rassemblent au SETT, le salon des équipements et techniques touristiques se tenant à Montpellier.
De l’abri de toile en pleine nature aux complexes comprenant chalets et espaces aquatiques, la variété des campings est remarquable dans l’Hérault. Un peu plus de 200 établissements accueillent les touristes chaque année dans le département. Henri Brès, directeur du camping Les Vals à Lodève et trésorier de la Fédération de l’Hôtellerie de plein air en Occitanie, fait un état des lieux de l’évolution des campings dans l’Hérault au cours des dernières décennies.
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Les chemins du camping Ty Coët à Surzur sont paisibles. C’est le début de l’automne, les vacanciers ont quitté les lieux. Tous les mobile-homes ne sont pas vides. Environ 80 personnes résident à l’année sur cet espace « entre mer et terre », localisé à une dizaine de kilomètres du golfe du Morbihan, au sud de la Bretagne.
Ils se distinguent facilement : des pergolas fleuries, du mobilier de jardin robuste, des plantes en pot, et des allées en gravier embellissent les emplacements des résidents bien établis. Guy, 78 ans, habite ce terrain depuis six ans. Avec un salon, deux chambres, une salle de bains, un WC séparé, et une climatisation réversible, son mobile home de 33 mètres carrés offre tout le confort d’un petit logement. « J’ai fait construire une terrasse couverte. Cela me donne une pièce supplémentaire pour recevoir. Avec les voisins, nous partageons des apéros et des repas. La vie est belle », affirme le retraité.
Parmi les 173 emplacements, 42 sont occupés toute l’année, tandis que 87 sont utilisés neufs mois par leurs propriétaires. « Ce sont surtout des retraités, quelques travailleurs, et des jeunes couples », précise Brigitte Moulin, gestionnaire depuis 2020. Dans son bureau à l’accueil, où des brochures mettant en avant la forêt de Brocéliande ou des excursions vers l’île d’Houat sont exposées, elle reçoit également « des ouvriers et des stagiaires qui louent un mobile-home pour quelques semaines ou mois, ainsi que des personnes en réinsertion sociale envoyées par une paroisse locale. »
En France, 100 000 personnes vivraient dans des campings, estime le sociologue Gaspard Lion. « C’est surtout le cas dans les périphéries des grandes villes, les villes étudiantes, et les zones touristiques, où les locations de courte durée et les résidences secondaires explosent. Il en est de même en milieu rural éloigné, où les prix sont raisonnables mais restent trop élevés par rapport à des revenus plus faibles », explique l’auteur de Vivre au camping, un mal-logement des classes populaires (Seuil, 2024).
Selon les gestionnaires de campings, cette tendance a augmenté depuis les années 2000.
« C’est une incarnation révélatrice de la crise du logement : les prix de l’immobilier ont dégringolé par rapport aux revenus. De plus en plus de personnes se heurtent à des difficultés pour se loger, même en dehors d’une situation de précarité. Cela peut arriver après un déménagement ou une séparation », observe Gaspard Lion.
Simultanément, les campings et les mobile-homes se sont diversifiés. Pour certains, le camping résidentiel devient une solution pour accéder à la propriété.
Guy a toujours été propriétaire. Ses précédentes résidences ont été acquises avec ses anciennes partenaires. Désormais seul, ses 1 400 euros de revenus mensuels ne lui permettent pas d’investir dans un logement qui pourrait lui convenir. « C’est cher ici », remarque-t-il. À Surzur, le prix médian d’une maison est de 3 682 euros le mètre carré. La commune est à l’entrée de la presqu’île de Rhuys, où les prix ont grimpé de 55 % en cinq ans.
Guy a préféré investir une part de ses économies – 45 000 euros – dans un mobile-home flambant neuf et une terrasse. « J’ai de l’espace et je ne paie pas d’impôts fonciers », se réjouit-il. Néanmoins, il doit verser 300 euros chaque mois aux gérants pour le loyer de l’emplacement.
« C’est calme, nous avons un petit potager », ajoutent Charles* et Marie*. Il y a trois ans, ce couple retraité a dépensé 33 000 euros pour un mobile-home d’occasion de 40 mètres carrés, également pourvu d’une climatisation réversible. Cette option est temporaire. Ils attendent de vendre leur maison en Occitanie pour en acquérir une ici. Ils figurent également sur une liste d’attente pour obtenir un logement social. Cependant, ils ne cherchent pas n’importe où. « Il ne faut pas que ce soit une ruine », prévient Marie. « Je ne pourrais pas vivre en appartement », ajoute Charles.
Pour eux, la vie en mobile-home est une alternative plaisante. Pour d’autres, c’est le signe d’un déclassement. « Dans les campings peu prisés, certaines personnes subissent cette réalité et ressentent de la honte. Elles investissent moins d’argent dans leur habitat et vivent dans des conditions médiocres », explique Gaspard Lion.
« Je pensais qu’il y aurait plus de personnes en difficulté », avoue Sophie, 53 ans. Cette ancienne résidente de Lorient a dû acheter un mobile-home « par nécessité ». Lorsqu’elle est arrivée à Surzur en mars 2024, elle était en période d’essai et n’avait pas les garanties requises pour le marché locatif privé. Actuellement en recherche d’emploi, elle craint qu’« une adresse au camping n’interpelle certains employeurs. Sur les sites de rencontre, on m’a déjà qualifiée de cassos ».
Apprécié ou ressenti comme une contrainte, le camping résidentiel demeure illégal. Il est clairement stipulé dans le règlement intérieur de Ty Coët : « Nul ne peut y élire domicile ». « La législation précise que le camping est destiné à une occupation saisonnière ou temporaire pour des loisirs. Ce n’est pas explicitement formulé que “il ne faut pas y résider”, mais cela se comprend implicitement », explique Gaspard Lion. Brigitte Moulin hausse les épaules :
« Les autorités ferment les yeux car il y a une pénurie de logements, il faut bien trouver une solution. »
Contactée, la maire de Surzur préfère ne pas commenter ce sujet.
Hormis un rappel à l’ordre, les gérants n’encourent pas de grandes sanctions. Les résidents, pour leur part, se retrouvent dans une « précarité statutaire », souligne le sociologue :
« Ils tombent sous la réglementation du tourisme plutôt que celle du logement. Les protections sont bien moins robustes. Ils n’ont aucune durée garantie, pas de reconduction tacite, donc le gestionnaire peut rompre le contrat à tout moment sans justification. »
Les résidents ne peuvent bénéficier d’aides au logement et ne profitent pas de la trêve hivernale. En cas d’expulsion, ils ne reçoivent aucune indemnisation ni relogement.
Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que la mise en vente imminente du camping Ty Coët suscite des préoccupations. Les tarifs vont-ils monter ? Les nouveaux propriétaires vont-ils annuler les contrats à l’année ? « Nos contrats de location devaient être renouvelés en septembre… C’est d’autant plus stressant que je suis au chômage », note Sophie. « On ne sait pas comment les choses vont tourner », conclut Guy. Avec quelques voisins, ils tentent de former un collectif pour s’entraider.
* Les prénoms ont été modifiés à la demande des personnes.
Sabotage. Destruction de biens. Pour Léna Lazare et ses complices, radicalisés par des années d'inaction face à la crise environnementale, ce ne sont pas des gros mots. Ce sont des actes de joie.
THIBAUD MORITZ via AFPIncendie au camping des Flots Bleus en Gironde, le 13 juillet 20202 INCENDIE – Patrick Chirac n’a pas oublié son camping favori. En Gironde, où les flammes ont déjà brûlé plus de 17.000 d’hectares en une semaine, le camping des Flots Bleus, rendu célèbre par la série de films Camping a reçu le soutien du comédien Franck Dubosc. “Aujourd’hui Patrick pleure… À tous les amis campeurs, girondins et aux pompiers”, a écrit sur Instagram ce lundi 18 juillet l’humoriste français, devenu indissociable du camping situé au pied de la Dune du Pilat. Dans son post sur Twitter, Franck Dubosc ajoute même un court message plein d’espoir pour le lieu emblématique de la comédie sortie en 2006. “On le reconstruira notre camping!”, a promis l’acteur. On le reconstruira notre camping ! pic.twitter.com/QvUQJkiHPS — franckdubosc (@dubosc_franck) July 18, 2022 Le lieu de tournage du film Camping fait en effet partie des lieux évacués et maintenant ravagés par les flammes, comme en atteste ce cliché disponible sur les réseaux sociaux depuis lundi. Le camping des flots bleus,c’est peut être pr vs un film,pour moi,c’est le camping de la dune et de mon enfance,celui créé pr mon grand père il y a 50 ans,précurseur et à mille lieux d’imaginer un jour qu’il serait emporté pr les flammes de nos excès.1/2 #incendies#LaTestedeBuchpic.twitter.com/FltvnwJx4b — Marc Bailly (@MarcBailly33) July 18, 2022 Le soutien aussi de Fabien Onteniente Franck Dubosc n’est d’ailleurs pas le seul à avoir apporté son soutien au célèbre camping et au département de la Gironde. Après un premier message de soutien aux Flots Bleus après son évacuation la semaine dernière, le réalisateur de la trilogie Camping a dévoilé lundi un nouveau message depuis Biscarrosse, non loin des flammes qui brûlent la côte Atlantique. “Retrouvailles avec les amis… dans cet endroit qui nous est…
RAYMOND ROIG via AFPUn camping d’Argeles-sur-Mer, le 5 août 2020 CORONAVIRUS – La vie au grand air et au camping n’empêche pas toujours les contaminations au Covid-19. Selon l’Agence régionale de Santé des Pays-de-la-Loire, des clusters ont été détectés dans plus d’une vingtaine de campings du département, et ce alors que les vacances estivales battent leur plein. Parmi les zones touchées, détaille France Bleu, des campings situés sur les secteurs de Saint-Jean-de-Monts et Saint-Hilaire-de-Riez. “Les personnes contaminées, ce sont souvent les animateurs saisonniers, qui sont souvent des publics jeunes, pas vaccinés et qui se retrouvent pour faire la fête après leur journée de travail”, détaille auprès de nos confrères, Josselin Vincent, responsable de la veille sanitaire à l’ARS des Pays de la Loire. Au total dans ces clusters de Vendée, pas moins de 89 cas de covid-19 ont été identifiés dont 62 animateurs et 27 vacanciers. À ces chiffres, il faut également ajouter la détection d’un cluster en Loire-Atlantique, dans une zone située vers Guérande et Pornichet. Cette fois, ce sont 21 personnes dont 18 salariés qui ont été testées positives dans un camping. Comme dans le reste du pays, où 22.000 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés ce jeudi, la Vendée est aussi touchée par une reprise épidémique. Lundi, le taux d’incidence y était de 83,4 cas pour 100 000 habitants, une dynamique en augmentation depuis deux semaines. Pour tenter de ralentir cette progression, les autorités s’appuient évidemment sur la vaccination. Selon France Bleu, près de 10.000 doses supplémentaires de vaccin ont été envoyées la semaine dernière au département de la Vendée, et 10.000 nouvelles devraient à nouveau lui être accordées la semaine prochaine. À voir également sur Le HuffPost: Vaccin obligatoire: Aubert compare les soignants à des “soldats du front” qu’on “fusillerait” Source
VACANCES – Marshmallows au coin du feu, canoë, jeu du drapeau… Que demander de plus? L’avantage du camping, c’est qu’il offre à votre enfant la possibilité de se faire de nouveaux amis, d’évoluer au contact de la nature et d’acquérir des apprentissages clés, notamment en matière d’autonomie. C’est ce que rappelle la comédie “Nos Jours Heureux” diffusée ce samedi 25 juillet sur TF1. Lorsque l’heure d’inscrire leur progéniture approche, la même question taraude les parents: mon enfant est-il vraiment prêt? Et moi? Parce que chaque famille et chaque enfant sont uniques, le débat ne saurait porter sur un âge précis mais plutôt sur les critères qui peuvent vous aider à savoir si votre enfant est prêt. Voici quelques questions importantes à se poser: Où se situe votre enfant dans la tranche d’âge des petits campeurs? La plupart des enfants passent leur première nuit en colonie entre sept et neuf ans. Toutefois, si un enfant de six ans, benjamin d’une fratrie et très mûr pour son âge, peut se montrer impatient et prêt, un enfant unique de dix ans, de nature anxieuse et relativement immature, ne le sera peut-être pas. Posez-vous les questions suivantes: Pendant le séjour, votre enfant devra faire preuve d’autonomie. Si, jusqu’ici, vous l’avez un peu trop materné, il est peut-être temps d’accélérer quelque peu les apprentissages. Certes, le camp contribuera à parfaire ces aptitudes, mais il doit savoir s’habiller, faire son lit, se doucher, se peigner et se brosser les dents seul avant son départ. Lui arrive-t-il de faire pipi au lit? C’est l’une des plus grandes craintes d’un enfant. Toutefois, s’il s’agit là du seul obstacle à son départ, vous pouvez toujours lui montrer comment mettre une couche “pull-up” dans son sac de couchage. Personne n’a besoin de le savoir! Posez-vous les questions suivantes: Qu’attend-il de…
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