Josh Johnson est devenu le gars le plus drôle d'Internet. Ce n'est pas une blague
Le correspondant du Daily Show et phénomène TikTok a dit un jour que le Web était une mauvaise idée. C'est maintenant la raison pour laquelle il est célèbre.
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POLITIQUE – Comme un disque rayé. Les candidats à l’investiture Les Républicains ont livré leur troisième et avant-dernier débat ce dimanche 21 novembre sur Cnews. Des discussions centrées une nouvelle fois sur la sécurité des Français ou l’immigration, comme l’étaient les premières sur BFMTV ou LCI. Appelés à diversifier leurs discours, notamment par certains ténors de leur camp, Michel Barnier, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Philippe Juvin et Eric Ciotti ont bien tentés quelques rares propositions sur la culture, deux heures après le début de leurs échanges. Mais elles se sont vite transformées en forme de diatribes contre la “cancel culture”… et le fameux “wokisme.” Haro sur le ‘iel’ Tous avec des mots plus rudes les uns que les autres. Michel Barnier, par exemple, a proposé un vague “projet de développement de la culture pour tous” pour mieux lutter contre les “tenants du wokisme” et “ceux qui veulent déboulonner nos statues”. “Ce sont des gens auxquels il faut faire attention parce que ce qui vient des universités américaines et qui est déjà présent chez nous est inadmissible”, a ainsi développé l’ancien négociateur sur le Brexit, évoquant “des tas d’exemples de ce sectarisme généralisé, de cette agressivité”, avant d’ajouter: “Vous parlez de culture, il faut combattre ces théories par le débat public, il faut les combattre par la règle, la loi, dans l’éducation, interdire cette écriture inclusive et le ‘iel’ définitivement dans tous les documents publics.” ??« Rama Yade a dit n’importe quoi. ♦️Le “wokisme” et la culture de l’effacement (“cancel culture”)?ne sont pas des micro-agressions mais ?des idéologies d’extrême-gauche dangereuses que nous devons combattre absolument! »#DebatLR#CongresLR#EUpic.twitter.com/XsHKNo6C8U — MorganeBRAVO????? (@MorganeBravo) November 21, 2021 Dans le même esprit, Valérie Pécresse s’est employée à dénoncer le “vice” de “la cancel culture”, “cette dictature d’un politiquement correct qui réécrit notre histoire. “On ne peut pas laisser…
Maxim Shemetov via ReutersUn employé de Gazprom devant un gazoduc près de la ville de Svobodny dans l’extrême-Orient russe, le 29 novembre 2019 (photo d’illustration). ÉNERGIE – La formule est pour le moins surprenante. Après les engagements pris à la Cop26 par quelque 200 pays pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre, le Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) a souligné son mécontentement dans un communiqué partagé ce mercredi 17 novembre. L’organisation internationale va jusqu’à y parler de… “cancel culture des hydrocarbures”. La “cancel culture” est un concept qui fait parler de lui ces dernières années, et plus particulièrement ces derniers mois en France. Derrière cette expression venue des États-Unis, on retrouve l’idée de mettre au ban une personne, un groupe ou bien une oeuvre en raisons de propos ou d’actes jugés choquants et inacceptables, généralement sous l’impulsion de militants antiracistes et défenseurs de la justice sociale. Elle est dénoncée notamment par des responsables politiques, au même titre que le “wokisme” honni par Jean-Michel Blanquer, à l’image récemment de l’ancien premier ministre Édouard Philippe. Cette fois-ci, la “cancel culture” est donc invoquée dans un cadre nettement plus improbable, celui de la Cop26, par des pays visiblement inquiets qu’on s’attaque à une manne aussi importante de leur économie. Et tant pis pour l’environnement. Top gas exporters note to UN at end of #COP26 complains of ‘cancel culture on hydrocarbons,’ notes ‘rising pressure’ on industry re #climate targets. Smacks of a sector feeling the heat, in more ways than one. https://t.co/XXfPJkaM7Spic.twitter.com/VSVKVXMwZH — Ed King (@edking_I) November 17, 2021 “Le gaz naturel, la source d’hydrocarbures la plus propre” Les pays concernés se réunissent régulièrement au sein du Forum des pays exportateurs de gaz. Parmi les membres du FPEG, on retrouve les principaux producteurs mondiaux que sont la Russie, l’Iran, le Qatar, le…
En 2014, la cheffe britannique Nigella Lawson a publié sur son blog sa recette des spaghettis alla puttanesca, un plat de pâtes typique de la cuisine napolitaine qui se traduit littéralement par « spaghettis à la façon des putains ». En août dernier, cette même cheffe a rebaptisé sa version du plat avec un nom plus adapté à la télévision : les « slattern spaghetti ». Cette initiative n’est pas passée auprès du quotidien conservateur italien Il Corriere della Sera, qui a accusé Lawson de faire preuve d’un politiquement correct exagéré et de pratiquer la cancel culture. Cependant, le mot anglais slattern peut se traduire par « souillon » ou « traînée », et de nombreux dictionnaires le citent comme synonyme de « salope ». En fait, étant donné les connotations négatives attachées à tous ces mots, on ne voit pas très bien pourquoi l’un d’entre eux serait meilleur que l’autre, ni pourquoi le plat leur a été associé en premier lieu. Selon Luca Cesari, écrivain et auteur de Storia della pasta in dieci piatti (« L’histoire des pâtes en dix plats »), les origines de la recette sont obscures. À sa connaissance, il en est fait mention pour la première fois dans des livres de cuisine des années 1950 et 1960, bien que l’on trouve des sauces pour pâtes contenant des olives, des câpres et des anchois (sans tomate) depuis le début du siècle. « C’est certainement une recette récente, mais je ne peux pas vous en dire beaucoup plus que les légendes urbaines que j’ai trouvées sur Internet », dit Cesari. Selon le journal Napoli Today, certains disent que la puttanesca a été inventée par le propriétaire d’un bordel aux portes de Rome, d’autres par le propriétaire d’un bordel du quartier espagnol de Naples, d’autres encore que son nom fait référence au vert, au rouge et au violet de la sauce, toutes les…
Vincent West via ReutersJohnny Depp lors du festival du film de Saint-Sébastien, en Espagne, le 22 septembre 2021. PEOPLE – Personne n’est à l’abri d’un “jugement hâtif” porté dans la précipitation dans le contexte de la “cancel culture”, a déclaré mercredi 22 septembre l’acteur américain Johnny Depp au festival de cinéma de Saint-Sébastien en Espagne où il recevait un prix pour l’ensemble de sa carrière. Johnny Depp, qui a perdu en 2020 un procès contre le tabloïd britannique The Sun qui l’avait décrit comme un mari violent envers son ex-épouse Amber Heard, répondait aux questions des journalistes au festival de cinéma de Saint-Sébastien dans le nord de l’Espagne. Faisant apparemment allusion au mouvement #Metoo qui a dénoncé le harcèlement sexuel et les viols commis à l’encontre des femmes par des hommes influents, il a estimé que de telles campagnes étaient devenues “hors contrôle”. Des bonnes “intentions” devenues “hors contrôle” “Les différents mouvements qui ont émergé, j’en suis persuadé avec les meilleures intentions, sont cependant à présent tellement hors contrôle que je peux vous dire que personne n’est à l’abri”, a-t-il poursuivi, “car il suffit d’une phrase… une phrase et plus personne ne vous soutient.” Il a également dénoncé “cette culture de l’effacement (“cancel culture”) ou cette tendance à porter dans la précipitation un jugement hâtif basé essentiellement sur ce qui s’apparente à de l’air pollué exhalé”. S’il a parlé de sa situation, il a également affirmé, selon des propos rapportés par Variety et Deadline, que “c’est arrivé à beaucoup de monde. Ce genre de chose peut arriver aux femmes, aux hommes, aux enfants qui ont souffert de différents désagréments. Malheureusement, à un certain point, elles commencent à penser que c’est normal. Ou que c’est de leur faute alors que ça ne l’est pas”. Johnny Depp dément avoir été violent L’acteur américain avait perdu en…
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