La magie de l’amour : Le casting de Hot Frosty parle d’acceptation et de l’esprit des fêtes
Lacey Chabert et Dustin Milligan partagent comment Hot Frosty mélange humour, coeur et magie des fêtes.
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Jon M. Chu dirige Ariana Grande, Cynthia Erivo, Jonathan Bailey, Jeff Goldblum et Michelle Yeoh dans “Wicked : Partie 1.” Critique.
Taika Waititi rejoint le casting de ‘Interior Chinatown’ pour mettre en lumière ce que c’est que d’appartenir à un groupe marginalisé, comme les Américains d’origine asiatique, en Amérique et à Hollywood.
L’artiste Samantha Nye essaie de rassembler des modèles pour une séance photo d’une “fête du plaisir” réservée aux femmes au Belvedere Guest House, le complexe gay entièrement masculin.
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Paul Biddiss, qui a formé Paul Mescal et la star de Le jour du faucon Eddie Redmayne, dit que les femmes astucieuses sont plus conscientes de la surveillance et plus difficiles à suivreIl a formé de potentiels assassins et a dirigé des hordes envahissantes, des forces napoléoniennes et des régiments romains, mais le conseiller militaire de cinéma Paul Biddiss s’est retrouvé au milieu de son plus grand affrontement à Hollywood le mois dernier lorsque l’actrice Saoirse Ronan a fait une intervention puissante sur la sécurité personnelle des femmes.Ronan, invitée sur le canapé du talk-show de la BBC animé par Graham Norton, a déclenché un débat national sur les craintes de sécurité des femmes lorsqu’elle a interrompu d’autres acteurs alors qu’ils discutaient des techniques que Biddiss avait enseignées aux distributions de Gladiator II et de la nouvelle série dramatique Le jour du faucon. Continue reading…
Le “nivau divin de trolling” de Trump sur l’Amérique a déjà commencé.
La première saison de ‘Bad Sisters’ était une histoire complète basée sur la série limitée belge, ‘Clan’. Après son immense succès, Sharon Horgan avait une vision de la façon dont cela pourrait continuer. Le casting star nous raconte comment sa vision a pris forme.
Claude Lelouch est accueilli par Clique. Il vient mettre en avant son cinquième et unième film “Finalement” avec Kad Merad, Elsa Zylberstein et Sandrine Bonnaire, actuellement à l’affiche. En face de Mouloud Achour, le réalisateur discute de sa carrière, de son enfance durant l’Occupation et de sa passion pour le cinéma.
L’homme aux cinquante et un films
Avec une filmographie remarquable s’étalant sur plus de soixante ans, Claude Lelouch s’impose comme une figure emblématique du septième art français. Son dernier film, “Finalement”, a été dévoilé en salles le 13 novembre. Dans le teaser, Kad Merad joue de la trompette avant d’annoncer la sortie du long métrage. Reste fidèle à l’univers de Lelouch, cette bande-annonce ne révèle aucun détail sur l’intrigue, laissant les spectateurs dans l’ignorance totale, “J’ai bâti le film autour des cinq axes de nos tracas quotidiens : la santé, l’amour, l’amitié, la famille, l’argent.”
Elsa Zylberstein, Barbara Pravi et Sandrine Bonnaire complètent le casting de ce film où la vie occupe une place centrale. Étant donné que la musique joue un rôle essentiel dans les films de Claude Lelouch, la bande-son est confiée à Ibrahim Maalouf.
Son enfance pendant l’Occupation
Avant d’atteindre le succès en tant que réalisateur, Claude Lelouch a traversé une enfance marquée par des difficultés. Provenant d’une famille juive, lui et sa mère étaient pourchassés par la Gestapo pendant que son père restait en Algérie. Le réalisateur, reconnu pour être “un jeune turbulent”, a découvert le calme pour la première fois dans une salle de cinéma : “Sous l’Occupation, ma mère me confiait à des ouvreuses. Elle avait trouvé la nourrice parfaite, quand je sortais le soir, je ne pensais qu’à y revenir le lendemain.” Il estime que le cinéma lui a sauvé la vie.
Cette période continue d’inspirer Claude Lelouch, non seulement dans ses films, mais aussi dans la façon dont il aborde sa vie : “La vie est un jeu extraordinaire, et comme dans tous les jeux, le problème ce sont les tricheurs, c’est pourquoi j’ai fait tant de films sur les voyous.”
« Ma mère me cachait dans les cinémas »
Durant l’Occupation, Claude Lelouch souligne le courage de ceux qui lui ont permis de survivre. pic.twitter.com/reDhleLQ3z
— CLIQUE (@cliquetv) November 13, 2024
Le cinéma, son véritable amour
Pour Lelouch, le cinéma dépasse la simple vocation ; c’est une véritable école de vie qui l’a aidé à se forger et à surmonter ses craintes. “Je veux croire que les artistes sont les préférés du bon Dieu.” Lauréat d’un Oscar pour “Un homme et une femme” en 1966, il peine encore à le croire : “Ce jour-là, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, j’avais 28 ans. Je suis un amateur, je réalise du cinéma d’amateur.” En effet, le film avait un budget si limité que l’équipe se composait uniquement de cinq personnes.
Concernant les producteurs et le soutien, Claude Lelouch mentionne tout particulièrement CANAL+ sans lequel il n’“aurait rien pu réaliser”. Le constat est clair : “CANAL + a préservé le cinéma français et le cinéma d’auteur, je leur en suis reconnaissant.” La chaîne lui rend hommage dans un documentaire, “Claude Lelouch : la vie comme au cinéma” diffusé le mercredi 13 novembre, en célébration du quarantième anniversaire de la chaîne.
L’interview de Claude Lelouch est accessible en replay sur myCANAL.
Pour son film Finalement, Claude Lelouch est l’invité de Clique, ce soir à 23h sur CANAL+. pic.twitter.com/TJQBiQpi0o
— CLIQUE (@cliquetv) November 12, 2024
Silo, Disclaimer et Slow Horses figurent parmi les meilleures émissions sur Apple TV+ ce mois-ci.
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