L’IA comprendra les humains mieux que les humains ne le font.
Ou du moins, c’est ce qu’affirme un chercheur controversé de Stanford, qui constate que les derniers systèmes ont, contre toute attente, maîtrisé une compétence cognitive de haut niveau.
Ou du moins, c’est ce qu’affirme un chercheur controversé de Stanford, qui constate que les derniers systèmes ont, contre toute attente, maîtrisé une compétence cognitive de haut niveau.
Les prédictions optimistes concernant les grandes réalisations de l'intelligence artificielle seront balayées par des performances décevantes et des résultats dangereux.
Dans la course à la montée en puissance, le nombre d'IA formées sur des ensembles de données de mauvaise qualité a augmenté, ce qui va amplifier toutes sortes d'inégalités.
Un bon chien. Image : Emanuel Maiberg Les gens sont si attachés à leurs chiens qu’ils ont souvent l’impression que leurs compagnons à quatre pattes comprennent exactement ce qu’ils disent. Il reste à savoir si c’est vraiment le cas, mais de nouvelles recherches montrent que les chiens réagissent de différentes manières à différentes intentions humaines. Des scientifiques allemands se sont attaqués au problème en appliquant pour la première fois aux chiens un modèle expérimental largement utilisé. L’étude, publiée au début du mois dans la revue Scientific Reports, indique que l’examen de la capacité des chiens à discerner les intentions des humains pourrait aider à déterminer dans quelle mesure ils possèdent une « théorie de l’esprit », c’est-à-dire la capacité de se mettre à la place des autres. Une telle compétence aurait été d’une « immense valeur » dans l’histoire commune des chiens et des humains. Publicité La question de savoir si les animaux ont une théorie de l’esprit est très importante en psychologie comparative, explique Juliane Bräuer, directrice du laboratoire DogStudies à l’Institut Max Planck pour la science de l’histoire humaine et auteure principale de cette étude. « C’est ce que nous faisons : nous comparons les animaux aux humains et nous voyons ce qui est unique. » Les chercheurs ont utilisé le « paradigme de l’incapacité et de la réticence », un modèle de recherche dans lequel les récompenses sont refusées, soit dans des contextes non intentionnels (incapacité) ou intentionnels (réticence). En d’autres termes, l’étude examine si un animal peut sentir intuitivement si quelque chose est fait accidentellement ou intentionnellement. Ce modèle a déjà été appliqué à des enfants, des chimpanzés, des perroquets gris africains, des capucins, des macaques de Tonkean et des chevaux, mais jamais à des chiens. Cette version canine comprenait trois scénarios dans lesquels une cloison transparente séparait un chercheur et un chien. Au total,…
Image tirée de la série Twin Peaks © ABC Une insomnie, un volet qui claque, des voisins qui chantent à la gloire de la terre brûlée du comté de Galway, un mec bourré en Jump qui se vautre sous votre fenêtre et maugrée en rentrant de soirée, votre animal de compagnie qui considère que 3 heures du mat’ est le moment idéal pour réclamer une poignée de croquettes saumon/poulet ? Vous avez passé la nuit à côté de vos pompes à cause d’une des raisons susmentionnées et vous allez probablement lutter contre le sommeil perdu avec quelques litres de café. Jusqu’ici, rien d’anormal. La caféine est un des stimulants les plus utilisés à travers le monde. Par le biais du café donc, mais aussi du thé, des boissons énergisantes ou, dans une moindre mesure, du cacao et du maté, elle est absorbée pour améliorer la concentration et lutter contre l’état de somnolence – en plus d’être une pratique sociale et culturelle particulièrement répandue. Problème, ces boissons que l’on considère comme de vaillants auxiliaires capables de nous aider à traverser la journée sans piquer du nez ont un effet assez limité sur l’organisme. Une étude publiée dans la revue Journal of Experimental Psychology : Learning, Memory, and Cognition relayée par Sciences et Avenir est formelle : le café ne permettrait pas de rattraper les heures de sommeil perdues. Pour le prouver, 275 participants au bout de leur vie ont été soumis à une batterie d’exercices allant du plus simple (cliquer à l’apparition d’un cercle rouge sur un écran blanc) au plus difficile (un jeu de mémoire). « Nous avons observé que le manque de sommeil avait un impact négatif sur les capacités des sujets à remplir différentes tâches. Et que si la caféine pouvait les aider à réussir les exercices les plus faciles, elle n’avait…
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