Perturbation du conseil municipal de Roubaix : LFI a-t-elle tenté de « s’accaparer le pouvoir par la...
À Sisteron, deux jours de conférences entre complotisme et négationnisme
À Marseille, les data centers consomment du terrain et beaucoup d’énergie
L’entreprise américaine Digital Realty veut construire son cinquième centre de données en plein cœur de la ville. Un collectif d’habitants s’y oppose et dénonce un impact fiscal, urbain et environnemental néfaste.
Rhumeries, boîtes de nuit et néonazis : le drôle de business de Morgan Trintignant
À Rennes, LGBTQIA+ et artistes drag subissent les violences de l’extrême droite
Comment combler le fossé entre la culture ballroom et le monde extérieur
Avec des émissions comme Pose et Legendary ou des chorégraphes de la scène qui travaillent avec les plus grosses stars de la pop, la ballroom a conquis le monde. Et c’est cette même ballroom qui gagne les clubs maintenant que la vie nocturne s’est réveillée de sa plus longue trêve (forcée). C’est suffisant pour faire la fête, à condition de célébrer les bonnes personnes. C’est ce que le collectif bruxellois FOR ALL QUEENS ! (FAQ !) veut rappeler. Le 1er octobre dernier, FAQ! a diffusé SO YOU WANNA VOGUE, HUH ? en éclatant les limites du superficiel – un docu-fiction sur la ballroom qu’iels ont réalisé avec le Kaaitheater et Enfant Terrible Films. Le film est un mélange de cours d’histoire donné par Zelda Fitzgerald, d’infos exclusives tirées d’une conversation intime entre acteur·ices – la légendaire pionnière Mother Lasseindra Ninja, Mother Naimah Milan, Princess Gaby Vineyard et Perry Gits – et d’interludes. Après la première, Kopano Tiyana Maroga a modéré un aftertalk qui pourrait avoir des répercussions bien au-delà des murs du Kaaitheater. Virez les noguers ! « SO YOU WANNA VOGUE, HUH ?! » est né d’une nécessité : ça part d’un projet tombé à l’eau à cause de la pandémie. FAQ! a saisi l’occasion de faire matcher les points en recentrant les protagonistes de l’histoire de la ballroom, mais aussi de célébrer simplement la ball culture dans toute sa polyvalence. « La plus grande motivation au moment de faire ce projet, c’était les noguers que je voyais autour de moi », introduit Zelda Fitzgerald après la projection. Les noguers, c’est les personnes qui prétendent être des danseur·ses de Voguing, mais qui n’ont en réalité rien à voir avec cette culture. « La plus grande motivation pour ce projet, c’était les noguers que je voyais autour de moi. » –…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.