Se lever contre Trump
Jeff Bezos a soutenu un slogan de l’ère Trump—“La démocratie meurt dans l’obscurité”—pour son journal, le Washington Post. Pourquoi ne voudrait-il pas le laisser soutenir un candidat ?
Jeff Bezos a soutenu un slogan de l’ère Trump—“La démocratie meurt dans l’obscurité”—pour son journal, le Washington Post. Pourquoi ne voudrait-il pas le laisser soutenir un candidat ?
La question n’est pas de savoir si d’autres créatures partagent notre concept de mortalité ; c’est de savoir si un être vivant comprend vraiment ce que cela signifie de mourir.
À Porto Rico, colonie des États-Unis depuis plus de 120 ans, un air de changement se fait ressentir. El Hangar apporte sa pierre à l’édifice, en joie et en musique.
The post Un hangar queer au cœur de la résistance politique appeared first on VICE.
À Porto Rico, colonie des États-Unis depuis plus de 120 ans, un air de changement se fait ressentir. El Hangar apporte sa pierre à l’édifice, en joie et en musique.
The post Un hangar queer au cœur de la résistance politique appeared first on VICE.
Les élus mahorais appellent à l’abrogation du droit du sol sur l’île, au motif, infondé, qu’il constituerait un appel d’air pour les étrangers. Cette revendication illustre les contradictions d’un territoire décrit dans le livre «Mayotte. Département colonie», que publie notre collaborateur Rémi Carayol.
Toutes les photos sont de l’auteure Le 30 juin dernier, une fête pour l’indépendance du Congo s’est tenue dans mon quartier, le très animé Borgerhout. Ça s’est passé au Roma, plus précisément. L’ambiance était bonne et un sentiment certain de fierté flottait dans l’air. En tant que membre de la communauté, je ne pouvais pas passer à côté de cette célébration de notre histoire et de notre culture, et j’étais résolue à en photographier l’atmosphère et les moments forts. Publicité Par contre, ne vous laissez pas avoir par la date sur les photos, l’événement avait bien lieu le 30 juin, jour de l’indépendance du Congo. Mon appareil photo est tout simplement mal réglé et je n’ai aucune idée de la façon de changer ça… Sara Moponami, mieux connue sous le nom de Zoey Hasselbank, est la force motrice de Tubakidi, un nouveau concept dédié à la célébration de l’indépendance et de la communauté congolaise. Après des années de doutes sur la manière dont elle allait s’y prendre, elle a décidé de se lancer et d’organiser un événement unique qui allait incarner l’essence de la culture congolaise. L’événement est bien ficelé, avec une belle palette d’activités et d’expériences par et pour les Congolais·es : à manger et à boire, mais aussi de la coiffure, des débats, des lives et des DJ sets. En gros, c’est une fête pour tous les sens et un hommage à la riche diversité et à la créativité de notre communauté. Avec ma meilleure amie, on y va l’estomac vide, dans l’espoir que la nourriture soit abordable. Et on n’est pas déçues. Les prix de la nourriture et des boissons dans ce genre d’événement sont souvent assez élevés, surtout à Anvers, mais ce n’est pas le cas ici. Vous voyez ce bol de makemba ? 8 euros….
Singapour est si moderne qu’il est difficile d’en imaginer une version où la street food se mangeait vraiment dans la rue, et pas dans les « hawker centres » approuvés par l’Unesco, et où les gens fréquentaient des dancings, et pas les clubs aux basses tonitruantes que nous connaissons aujourd’hui. Harrison Forman est un photographe et journaliste américain qui a beaucoup voyagé en Asie pour y capturer le quotidien des habitants. Certaines de ses photos sont récemment devenues virales après avoir été partagées sur Facebook. Elles ont touché une corde sensible chez de nombreux Singapouriens fascinés par l’aspect différent de la cité-État au milieu du XXe siècle. Les photos suivantes, extraites de la collection Harrison Forman de l’université du Wisconsin à Milwaukee, brossent un tableau saisissant de Singapour sous la domination de l’empire britannique et documentent un mode de vie différent, qui donne une nouvelle dimension aux paysages urbains contemporains. Les trois « Worlds » – le New World, le Great World et le Happy (Gay) World – étaient des lieux de divertissement populaires à Singapour entre les années 1920 et 1960. Ces complexes comprenaient notamment des getais (des pièces de théâtre chinoises), des cinémas, des salles de danse, des restaurants, des patinoires et des boutiques. Source
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}