Naza : “Je suis l'artiste qui a le droit de tout faire” - Clique.tv

CULTURE

Naza : “Je suis l’artiste qui a le droit de tout faire” – Clique.tv

Naza, le rappeur aux multiples singles de diamant, est l’invité de Clique. Connu pour sa joie de vivre infinie, il revient sur sa relation fraternelle avec Gradur et Loris Giuliano, ses nombreux tubes et son concert à venir à l’Accor Arena. Un rappeur au succès massif Naza a commencé sa carrière musicale il y a huit ans. Durant cette période, il a réussi à enchaîner hit sur hit, de “Sac à dos” en 2017 à “1,2,3 Soleil” avec Keblack en 2023. Une discographie bien remplie, malgré une petite période creuse : “Pendant 1 an et demi, je n’ai pas eu de gros singles, mais j’avais toujours des dates de concert.” C’est pendant ses shows que le rappeur de Creil voit l’impact de ses plus gros tubes. “Quand je chante ‘Mouiller le Maillot’ qui est sorti en 2017, on dirait qu’il est sorti hier !” Pour la première fois, Naza va se produire à l’Accor Arena, le 30 octobre 2025. Sachant que ses deux précédents concerts au Zénith de Paris et à l’Olympia se sont déroulés aussi un 30 octobre, on pourrait croire à une date symbolique. La réalité est tout autre : “Je ne suis pas un menteur : il n’y a rien de spécial ce jour-là.” Pourtant, le rappeur s’est attaché à cette date, si bien que même si elle n’était pas disponible en 2024, il la gardait pour son concert événement à l’Accor Arena l’année prochaine. Naza, le “Roi de la joie” Naza est connu pour sa musique, mais aussi pour ses blagues capables de faire rire n’importe qui. “Je suis l’artiste qui a le droit de tout faire.” Surnommé le “Roi de la joie”, il ne peut pas s’empêcher de rigoler, que ce soit sur son Snapchat avec ses amis ou même dans ses chansons, comme sa reprise humoristique de “Une souris verte”. Cet amusement constant, il le partage avec un collègue : Gradur. En plus de leur titre en commun “Ma petite”, les deux rappeurs sont inséparables dans la vie. En suivant leurs stories respectives, il est très facile d’imaginer les multiples fous rires qu’ils s’infligent à longueur de journée : “Quand je suis avec lui, on redevient des gosses. Nous sommes un duo incroyable.”  En parallèle de ses albums et de ses concerts, Naza aimerait lancer son one-man-show, “mais c’est dur de faire rire les gens.” Cela fait plusieurs années que son grand frère l’incite à créer sa propre émission humoristique. Pour le choix de son invité, le rappeur voit les choses en triple : “Gradur, Keblack et Loris.” Ce projet, il y pense depuis un long moment, même si “la musique, ça prend du temps. Mais je garde ça dans un coin de ma tête.” Peut-être un lancement après son Accor Arena prévu pour l’année prochaine ? Affaire à suivre. L’’interview de Naza est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.

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Se faire un nom dans le rap sans plan marketing (et plus tôt que prévu)

En revenant de notre petit moment avec 39Bermuda au Café La Pompe à Bruxelles, on avait une super idée d’intro. Puis, chemin faisant et éthanol montant, on a perdu le fil. Le lendemain, notre « On vous envoie ça fin de semaine les gars [pouce levé, clin d’oeil] » s’est mué en un aberrant « Merde, on écrit quoi ? ».  Puis, une chose nous vient à l’esprit : plus on cale sur cette intro, plus on accumule les mails non lus, les dates butoirs qui approchent… Et quand on repense à la veille, on envie un peu les mecs du 39, pour qui les choses paraissent plus simples, en tous cas plus fluides. 39Felix, Skut et leur booker Jonas nous avaient expliqué qu’ils travaillent sans plan établi, sans forcer. Et le truc semble bien marcher, naturellement.  Depuis 2022, le groupe écume les bars bruxellois pour se faire la main, du Réservoir à la Maison du peuple. Et puis, le Botanique. Et puis, Dour. Le 13 juillet dernier, ils ont inauguré la scène du Labo – qui verra passer Prince Waly, Eloi, Zuukou Mayzie ou J9ueve les jours suivants. Depuis, ça s’est un peu calmé niveau dates, mais le duo est à l’affiche du prochain FiftyLab, avec qui on est partenaires. Ils joueront à l’AB Box le 17 novembre, est sont d’ailleurs les premiers mentionnés sur le line-up, grâce à l’heureuse loi de l’alphabet – ce qui nous permet de rappeler que, loin de tout calcul, ils avancent sans stratégie marketing, chose peu commune à une ère où les algorithmes et la surprésence requise sur les réseaux ont un réel effet sur la façon dont les artistes gèrent leur carrière. En fait, quand on voit que des artistes misent tout sur les différents outils numériques pour « percer » et adaptent leur…

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L’été de Brik Tu-Tok

Il est encore tôt quand je prends le train de Bruxelles à Gand. Le soleil brille – les semaines pluvieuses du milieu de l’été sont enfin derrière – et je me sens comme une droguée au taf, avec cet ordi portable ouvert. Dans mon casque, j’écoute les dernières chansons du génie bicéphale qui se cache derrière les masques et le maquillage de Brik Tu-Tok. Tandis que les paysages du quartier ouvrier de Muide défilent, ma tête se met à bouger au rythme de Can’t Control Myself. Au moment où j’entre dans le studio du groupe, après une balade dans Wondelgem, je suis accueillie par deux visages souriants, sous le soleil toujours présent. On s’installe à une table à l’extérieur et, avec en fond sonore les grognements du chat errant qui semble toujours traîner ici, on passe en revue leur été, ainsi que les photos de leurs vacances. VICE : Alors, ces vacances ?Linde : Très occupées. On a commencé à tourner à la fin du mois de juin. On a fait un concert en France, ici à Gand, puis on est parti·es pour l’Allemagne.  Maxim : Ouais, en Allemagne, on a joué à Hanovre, au Glocksee. Ensuite, on a été au Fusion Festival, puis on est retourné·es en France.  Linde : Et puis on a aussi fait une pause, parce que là, on travaille dur sur le live du nouvel album. Ça sort fin septembre.  Intense.Linde : C’était la première fois qu’on partait en tournée pendant dix jours d’affilée. Heureusement, on ne faisait pas que conduire, se lever, jouer, dormir et conduire à nouveau. C’était pas du tout aussi extrême que ce qu’on entend parfois concernant d’autres tournées. Au Fusion, on est arrivé·es un jour plus tôt pour nous acclimater, par exemple.  Vous avez préféré lequel de vos concerts ? Linde…

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Du gros son, de la boisson et des souvenirs

Entre 2016 et 2020, Michael Roemers (36 ans) a suivi des groupes issus du rock underground belge à travers leurs tournées dans des petites salles et des bars miteux. Récemment, des potes lui ont conseillé de nous envoyer un mail. Alors, voici les photos de cette série intitulée EMERGENCY EXIST! – sans « S » à la fin. Été 2015, le groupe Ilydaen est en tournée en République tchèque, et Michael fait partie du voyage. Ça fait quelques années qu’il a plié ses études d’ingé son à l’IAD et il perfectionne désormais sa pratique de la photo. Un jeudi soir de fin août, à Ostrava, la formation liégeoise partage l’affiche du Plan B Hardcore Cafe avec The K, eux-aussi belges, et dont le batteur est Sigfried Burroughs. Quelques cocktails plus tard, Michael prend la décision de suivre le Gantois dans ses épopées musicales futures, lequel le lui rend bien, en lui donnant une belle matière pour ses photos.  « Leur particularité, c’est qu’à la fin du concert ils déplacent la batterie dans le public et finissent leur dernier morceau entouré des gens, raconte Michael. En gros, les concerts finissent toujours en gros bordel. Leur son est bien dur, ils sont influencés par le rock des années 90 et le chanteur finit de temps en temps à poil sur scène. » Il les suit donc à travers leur tournée européenne, durant laquelle le groupe joue son album Burning Pattern Etiquette. Ça dort chez l’habitant·e, ça fait des rencontres, ça boit et ça recommence le lendemain. « J’ai jamais descendu autant de Jägerbombs. Comme on disait souvent : “Water is voor vissen.” » À cette époque Sigfried, déjà actif avec Jukwaa ou Kapitan Korsakov, travaille sur Onmens, un groupe qu’il crée avec Kasper Van Esbroeck, et dont il sera le chanteur. «…

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Ma thérapie avec Ryder the Eagle

Après cet automne andalou, je suis donc retourné à Bruxelles où ma dernière année d’études m’attendait. Selon mes standards actuels, ma vie d’alors ne ressemblait à rien. Je me levais généralement aux alentours de midi, les yeux embués et le corps empâté, à la fois raidi et ramolli par les excès de la veille. Après une ou deux heures à tourner dans mon lit, je me décidais généralement à en sortir comme mû par une énergie du désespoir, une voix interne qui récitait sur un ton monotone : « Tu n’es rien, ta vie ne ressemble à rien, pense à Cyrano de Bergerac, lui savait vivre et mourir avec panache. » Fort de cet élan, je me dirigeais vers le parc du Cinquantenaire, avec généralement rien de plus dans le ventre qu’une banane et un café aussi noir que mes pensées, pour une heure de sport lesté d’un gilet de dix kilos, un étrange vêtement qui me donnait tout l’air d’un Spetsnaz en chute de tension. Ensuite, je mangeais, me reposais, et partais passer la soirée et une bonne partie de la nuit au bar, ou bien sur mon canapé, plongé dans la pénombre, à me plaindre à mon colocataire de la vacuité de mon existence alors que celui-ci peinait à boucler deux stages, un mémoire, et un quasi temps-plein dans les cuisines d’un restaurant de sushis. Quelques mois plus tard, Ryder a sorti son album Follymoon. Au premier abord, j’étais décontenancé par le disque, musicalement très hétéroclite : de ballades country au soft-rock en passant par des polkas revisitées ou de synthés kitsch à outrance, je ne savais plus où donner de la tête. Et si je déplaçais mon attention de la musique vers les paroles, j’avais l’impression de lire de véritables poèmes tant l’écriture était travaillée et l’émotion…

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Du boucan dans les bas-fonds

La mysophilie désigne l’attirance qu’une personne peut avoir pour les êtres et les choses souillées.  Alors que notre société a trouvé un saint exutoire aux angoisses du temps dans la décoration d’intérieur hygge, dans le food-porn en feed ininterrompu et hypnotique ou dans les sonorités amniotiques de l’ASMR, il existe encore dans nos villes un certain nombre de ces mysophiles qui ne peuvent se satisfaire des salutaires distractions qu’offre le monde moderne.  La dégénérescence congénitale de ces individus les pousse à se retrouver, lorsque la nuit tombe sur la ville et que les cafards émergent de dessous les dalles humides, là où l’influence bienfaitrice de la civilisation peine encore à vaincre les fléaux criminogènes de nos grands centres urbains. C’est sous le pont de la gare du midi, là où mendient les indigents et où une faune bigarrée scrute, un surin dans chaque poche, l’occasion de dépouiller l’honnête travailleur égaré, que se rassemblait donc ce week-end de printemps* une foule interlope de skinheads et de blousons noirs. Le prétexte à ce sabbat ? Un déchaînement de violence rituelle au son abrutissant d’instruments distordus. Si la sonorité de cette « musique » est impossible à décrire, il suffira de prendre connaissance des noms de ces formations pour constater le caractère dépravé de la manifestation : Force, Tesson, Asphalt, Crucified, Lawful Killing et même… Rixe ! Il me fallut bien du courage et tout ce que je possède d’opiniâtreté journalistique pour supporter ce navrant spectacle trois soirs de suite. Le déchainement de rage animale qui s’emparait de la foule dès que les tams-tams et les borborygmes hurlés au micro commençaient avaient bien de quoi faire frissonner les plus aguerris des ethnologues.  Les clichés que j’ai pris, s’ils n’honorent certes pas l’humanité, serviront, je l’espère, la psychiatrie et la prophylaxie sociale.  En attendant…

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“Avec Vald, je suis taquin”: Booba revient sur le clash avec le rappeur

ROMAIN PERROCHEAU via AFPBooba aux Francofolies, le 15 juillet 2022. MUSIQUE – Un cordon d’une trentaine de CRS avait été déployé, vendredi 15 juillet aux Francofolies, pour éviter toute rencontre entre lui et Vald, alors que la tension ne cesse de monter entre les deux hommes sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois. Ce dimanche, Booba est revenu sur sa relation tendue avec l’interprète de Désaccordé. “On s’est titillé sur les réseaux mais on n’allait pas faire une opération tabassage dans un festival”, explique le rappeur originaire de Boulogne-Billancourt (Haus-de-Seine) dans un entretien au Parisien. Toute la journée de vendredi, Booba et Vald s’étaient cherchés sur les réseaux sociaux. Même s’il insiste qu’“il n’y a pas de guerre avec Vald”, Booba et son rival ont continué après leurs concerts à La Rochelle à s’envoyer des piques sur les réseaux sociaux.  Le rappeur âgé de 45 ans estime que ce qui s’est passé lors du festival des Francofolies “donne une mauvaise image du rap pour rien”, d’autant plus que ses fans “ont dû m’attendre pendant presque une heure et demie”. Il accuse Vald d’être allé venu au Festival “avec cinquante gorilles”, contrairement à lui qui s’est déplacé avec son entourage habituel. Vald ”était ridicule”, estime Booba “Je pense qu’il a eu peur que je lui fasse quelque chose, mais il n’y a pas de raison, assure Booba. Avec Vald, je me moque, je suis taquin, ce n’est pas une vraie guerre.” L’interprète de Scarface ajoute qu’avec le rappeur d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) “on ne boxe pas dans la même catégorie”. “Il était ridicule”, ajoute Booba, réagissant au fait que Vald et ses suiveurs ont attendu pour huer le van de Booba quand il est reparti à 2h du matin, derrière le cordon de CRS. Sur les origines de leur clash, Booba indique dans l’entretien accordé…

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Coldplay poursuit sa tournée écolo, mais est-elle si écolo que ça?

AMY SUSSMAN via Getty Images via AFPConcert de Coldplay à Los Angeles, le 23 octobre 2021. MUSIQUE – Un week-end haut en couleur se profile au Stade de France. Coldplay est de passage à Saint Denis pour quatre dates dans le cadre de sa tournée Music of the Spheres, ces samedi 16, dimanche 17, mardi 19 et mercredi 20 juillet. Débutée en mars dernier, le groupe la présente comme “plus durable” que la dernière, qui remonte à 2016-2017. Pour présenter leurs initiatives écologiques, les Britanniques ont carrément créé un site internet baptisé Sustainability (“Développement durable”) sur lequel ils prennent le temps de développer leurs différents engagements. Panneaux solaires, sol cinétique pour la fosse, écrans basse énergie ou encore des bracelets à LED 100% compostables pour le public… Coldplay présente de nombreuses propositions plus vertes. Mais cette tournée est-elle totalement louable ou a-t-elle un arrière-goût de greenwashing? Le HuffPost a posé la question à Samuel Valensi, responsable culture du Plan deTransformation de l’Économie Française pour le Shift Project. Cette organisation s’est donné pour objectif la décarbonation de nos activités, y compris dans le monde de la culture. [embedded content]  Ralentissement du rythme de la tournée  “Dans la démarche de Coldplay, il y a de bons éléments. Le fait qu’un groupe d’une telle notoriété entame ce travail est louable, et on ne peut pas dire qu’il soit dépourvu de réflexion”, affirme Samuel Valensi. Mais ce dernier vient rapidement nuancer ses propos. Il insiste notamment sur un point: le groupe ne s’attaque pas à certains problèmes centraux, à commencer par leur usage intense de l’avion. Coldplay promet de réduire de 50% ses émissions de CO2 par rapport à sa dernière tournée. Cela est notamment dû à une décision importante: ralentir le rythme des concerts. 73 dates à travers 17 pays sont prévues en huit mois de voyage….

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À Bercy, Alicia Keys invite Nakamura sur scène pour une reprise de “Djadja”

MUSIQUE – Dans le cadre de sa tournée internationale “Alicia – The World Tour”, Alicia Keys était présente sur la scène de l’AccorHotels Arena à Paris jeudi 7 juillet, deux jours après sa date bordelaise. Et pour le public parisien, la chanteuse américaine a réservé une petite surprise à ses fans, faisant venir sur scène Aya Nakamura pour une reprise en duo de son titre le plus connu: Djadja. Comme on peut le voir dans la vidéo en tête d’article, certains spectateurs se sont précipités sur leur smartphone pour immortaliser cette performance inattendue, repérée par BFMTV. Cela faisait deux ans que les fans d’Alicia Keys attendaient son concert parisien, après des annulations en raison du Covid-19. La date du 1er juillet 2020 avait été initialement reportée, puis celle du 7 juillet 2021. À voir également sur Le HuffPost: Pour le dernier concert d’Indochine en 2022, Nicola Sirkis en larmes Source

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Grâce à Julien Doré, il demande sa compagne en mariage en plein concert

Stephane Cardinale – Corbis via Getty ImagesJulien Doré, ici en février 2021, a accepté que Philippe demande en mariage sa compagne Marjorie lors de son concert à Nîmes, le 30 juin 2022. MARIAGE – Ils s’en souviendront toute leur vie. Grâce à la complicité du chanteur Julien Doré, Philippe, un Ardéchois de 47 ans, a demandé à sa compagne Marjorie de l’épouser en plein concert aux arènes de Nîmes jeudi 30 juin. Elle a dit oui, rapporte la presse locale.  Trois mois plus tôt, Philippe, en couple avec Marjorie depuis cinq ans, contacte l’équipe de Julien Doré pour lui faire part de son projet: demander la main de sa compagne pendant le concert. L’interprète de Coco Câline accepte, pour le plus grand plaisir de Philippe. Le Jour-J, le couple est en voiture lorsque tout manque de tomber à l’eau. Philippe reçoit un message de la manageuse de Julien Doré pour peaufiner les derniers préparatifs alors qu’il est dans sa voiture avec Marjorie. Heureusement, cette dernière ne remarque rien. “J’avais les jambes qui tremblaient” Au concert vers 23h -après les orages et une panne technique- Julien Doré s’apprête à rendre hommage au chanteur Christophe. Mais d’un coup, les projecteurs se braquent sur le couple, et un micro est tendu à Philippe. “Marjorie, mon amour. Je t’aime. Veux-tu m’épouser”? Veux-tu devenir ma femme?” La foule -12.500 personnes tout de même- est en délire quand Marjorie accepte. “J’ai eu un trou noir pendant les 15 ou 20 minutes du concert qui ont suivi. J’ai encore du mal à réaliser ce vendredi. C’est tellement beau ce qui se passe à ce moment-là”, raconte-t-elle le lendemain à France bleu. “J’avais du mal à trouver les mots, j’avais les jambes qui tremblaient, se souvient-elle. Oui, c’est fort en émotions.” Marjorie est d’autant plus émue que “le concert de Clara Luciani [également…