Les 49 Meilleures Émissions sur Netflix en Ce Moment (Novembre 2024)
The Diplomat, Heartstopper et Hellbound ne sont que quelques-unes des émissions que vous devez regarder sur Netflix ce mois-ci.
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Les écouteurs Bose QuietComfort sont la nouvelle offre abordable de la marque, au prix de 179 $. Nous avons passé trois semaines avec eux pour voir comment ils se comparent à d’autres écouteurs haut de gamme.
Google intègre une nouvelle fonctionnalité Google Home à l’application Gemini, permettant de superviser votre maison connectée tout en interagissant avec l’assistant AI. Cette mise à jour, accessible aux utilisateurs Android dans le cadre du programme Public Preview de Google Home, vous permettra d’exécuter des commandes en langage naturel, telles que « Préparez la salle à manger pour un dîner romantique » pour ajuster l’éclairage, ou « Aidez-moi à faire le ménage dans la cuisine » pour activer l’aspirateur. Auparavant, pour contrôler votre maison intelligente, l’application Gemini ouvrait Google Assistant. Grâce à la nouvelle extension Google Home, il est désormais possible de gérer les lumières intelligentes, le chauffage, les rideaux, les téléviseurs, les enceintes et bien d’autres encore directement depuis l’application Gemini. Néanmoins, l’extension dans Gemini ne prend pas en charge tous les appareils connectés. Comme l’indique Google, pour les contrôles concernant les dispositifs de sécurité tels que les caméras, les verrous, les portails et les portes, vous serez redirigé vers l’application Google Home. De plus, il n’est pas possible d’exécuter des routines avec cette extension. Enfin, pour activer cette fonctionnalité, il vous faut vous connecter à l’application Gemini avec le même compte que celui utilisé pour Google Home. De là, vous pouvez demander à Gemini de réaliser une action précise, comme « allumer les lumières dans le salon ». Selon Google, il pourrait être nécessaire d’ajouter « @Google Home » à votre demande si Gemini ne lance pas automatiquement l’extension.
Une série de défis juridiques pourrait radicalement désarmer le Conseil national des relations du travail—et d’autres agences administratives—peu importe qui contrôle le Congrès ou la Maison Blanche.
Dans ses 公告, Kamala Harris marche sur une ligne entre l’illumination des problèmes et la reconnaissance de la folie historique de son adversaire ; Donald Trump cible sa base.
Nous sommes le jeudi 31 octobre, voici le programme de “Toujours Debout”, animé par Fabrice Wuimo : Le résumé de l’actualité du jour, préparé par Aude Cazorla. Puis, dans la première partie de l’émission, nous accueillerons Sofia Chouviat, la fille de Cédric Chouviat, ainsi que Vincent Brengarth, avocat au barreau de Paris. Il fait partie des trois avocats représentant la famille de Cédric Chouviat, décédé par asphyxie sous le poids de policiers, le 3 janvier 2020, lors d’un contrôle routier. Le mardi 29 octobre, le parquet de Paris a demandé un procès pour “homicide involontaire” à l’encontre de trois des quatre agents présents lors de l’arrestation. Une qualification légale contestée par la famille Chouviat qui continue de se battre pour faire reconnaître le caractère intentionnel de l’homicide. Dans la seconde partie de l’émission, nous aurons la rubrique “le fond de l’info”, avec Elsa Marcel, avocate et militante de Révolution permanente, ainsi que Mathieu Slama, essayiste et auteur de “Adieu la liberté”. Nous aborderons deux sujets : l’abrogation de la réforme des retraites qui devait théoriquement être au cœur de la niche parlementaire du Rassemblement national, mais qui a entraîné beaucoup de confusion ; ainsi que les expulsions d’étrangers considérées comme une « menace pour l’ordre public » que le RN souhaite faciliter, et le retour des “peines plancher”, que le RN inclut également dans son package parlementaire – cette fois-ci pour inciter la droite et certains membres de la Macronie à le rejoindre.
Un récapitulatif des meilleurs films d’horreur britanniques, des comédies classiques comme “Shaun of the Dead” aux cauchemars plus récents comme “Starve Acre”.
Chaque semaine, Alternatives Economiques sélectionne quatre graphiques qui offrent un éclairage distinct sur l’actualité.
Dans ce nouveau graphorama : les Français sont disposés à accepter des impôts plus élevés ; les voix comptent différemment à l’élection présidentielle américaine ; les banques françaises n’ont pas réduit leur taille depuis la crise financière ; en Norvège, l’augmentation de l’impôt sur la fortune n’a pas poussé les riches à quitter le pays.
Les Français sont-ils épuisés par la pression fiscale ? Refusent-ils absolument de contribuer davantage par le biais d’impôts pour leurs services publics et l’environnement ? Publiée juste avant le début du débat budgétaire, l’enquête annuelle de l’Ademe sur la fiscalité écologique révèle une opinion différente de celle relayée par certains médias et la droite parlementaire.
En janvier 2023, 53 % des Français excluaient l’idée de payer plus d’impôts pour n’importe quelle politique publique, mais ce refus a reculé à 44 % en janvier 2024, d’après l’étude. La santé reste leur préoccupation principale, suivie de l’éducation et des personnes âgées.
Bien qu’une majorité évalue négativement toute hausse de la fiscalité environnementale, cette enquête, comme les précédentes, démontre que tout dépend de la façon dont cela est mis en œuvre. Pour financer la transition climatique, seuls 35 % des Français seraient en faveur d’une augmentation progressive de l’impôt sur le revenu, mais 68 % soutiennent une hausse des impôts sur le patrimoine des 10 % de la population les plus riches.
Qu’en est-il de la taxe carbone ? « Près de la moitié des personnes initialement opposées à une fiscalité sur les carburants pourraient changer d’avis selon l’usage des recettes, principalement sous forme de redistribution monétaire, que ce soit en faveur des ménages modestes et moyens ou par une réduction d’autres impôts profitant à tous », indique Patrick Jolivet, directeur « Transition Juste » à l’Ademe. Au total, dans ces conditions, 57 % de la population pourrait envisager une hausse de la fiscalité sur les carburants pour lutter contre le changement climatique. » À bon entendeur…
Antoine de Ravignan
« Une homme, une voix. » La mise en pratique de ce magnifique principe démocratique est particulièrement distinctive aux États-Unis. À quelques jours de l’élection présidentielle, l’accent est mis sur quelques États décisifs, où les résultats détermineront la victoire de Kamala Harris ou de Donald Trump. Dans le système américain, les électeurs n’élisent pas directement leur candidat à la présidentielle, comme c’est le cas en France, mais choisissent des grands électeurs qui sont ensuite responsables de voter pour le ticket présidentiel (composé d’un président et d’un vice-président).
Chaque État se voit attribuer un certain nombre de grands électeurs, qui sont tous donnés au candidat en tête (sauf pour le Maine et le Nebraska). Ce système de « winner takes all » (le gagnant rafle tout) concentre les efforts de campagne des candidats sur un petit nombre d’États où les résultats sont indécis. Ce sont les fameux « swing states », représentés en blanc sur le graphique.
Dans ce cadre, la distribution des grands électeurs désavantage les États les plus densément peuplés au profit des moins peuplés. Par exemple, le Texas détient 40 grands électeurs pour une population de 30,5 millions d’habitants, représentant donc plus de 760 000 personnes par voix pour le collège électoral. À l’inverse, le Wyoming, avec ses 580 000 habitants, dispose de trois grands électeurs (le nombre minimum), chaque électeur représentant seulement 195 000 personnes.
Un candidat peut donc l’emporter en étant élu par le collège électoral tout en perdant le vote populaire, comme cela s’est produit en 2016 avec l’élection de Donald Trump contre Hillary Clinton. Cette année, Kamala Harris mène dans les sondages nationaux, mais elle est en compétition serrée avec Donald Trump dans les projections de collège électoral.
Eva Moysan
À la fin de l’année 2023, le volume total des activités du système bancaire français était de 9 289 milliards d’euros, selon le rapport statistique annuel sur la banque et l’assurance 2023 publié par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). Cela reste équivalent à 3,3 fois le PIB français, contre 4,1 fois à son maximum en 2008, juste avant la crise financière.
Malgré une baisse, l’importance du secteur bancaire français demeure considérable. Cela se manifeste par le fait que la France est l’unique pays avec quatre banques considérées comme systémiques. Ces institutions sont dites systémiques parce que leurs défaillances pourraient déclencher une crise nationale, européenne ou mondiale. Sur tous les établissements surveillés étroitement par le Mécanisme de surveillance unique (le régulateur européen), 35,1 % sont basés en France, loin devant l’Allemagne (18,5 %) et l’Espagne (14,2 %).
Les banques françaises génèrent des bénéfices comme des commerçants. Elles achètent sur un marché de gros à court terme (les dépôts représentant 68 % de leurs ressources), qu’elles prêtent au détail sur le moyen ou le long terme (les prêts à l’économie représentant 57 % de leur activité). La différence entre les intérêts perçus et versés leur a rapporté l’an dernier 70 milliards d’euros de chiffre d’affaires (soit 43,5 % du total), auxquels s’ajoutent des commissions de 60 milliards pour l’ensemble de leurs opérations. Néanmoins, le secteur bancaire français reste peu profitable : le rendement des capitaux propres s’élevait à 5,9 % en 2023.
Christian Chavagneux
Les contribuables les plus riches quittent-ils leur pays quand l’imposition de leurs richesses augmente ? Plusieurs exemples tirés des pays scandinaves montrent que non. La Norvège a, par exemple, relevé son taux d’imposition sur la fortune en 2022 : il est passé de 1 à 1,1 % pour les ménages possédant un patrimoine supérieur à 20 millions de couronnes norvégiennes (1,8 million de dollars).
Après cela, certains contribuables ont effectivement décidé de quitter la Norvège, mais cela a eu un impact limité : leur patrimoine total s’élevant à 4,3 milliards de dollars n’a pas empêché une hausse des recettes de l’impôt sur la fortune. Des économistes ont récemment conduit une étude similaire concernant la Suède, qui avait introduit un impôt sur la fortune en 1911 et l’a supprimé en 2007.
Une fois leur impôt réduit, les 2 % de Suédois les plus riches ont-ils moins souvent quitté leur pays comparativement à la période de 1999 à 2006 ? La réponse est clairement négative : la suppression de l’ISF a eu « des effets remarquablement limités » sur les flux migratoires des personnes soumises à cette taxe, remarquent les économistes. Cet argument, souvent avancé par les opposants à l’impôt sur la fortune, est affaibli.
Aude Martin
Zhipu AI, une entreprise innovante chinoise dans le secteur de l’intelligence artificielle, transforme les pratiques numériques grâce à AutoGLM. Cette application a pour objectif d’automatiser des tâches quotidiennes simplement par le biais de commandes vocales.
AutoGLM propose bien plus que de simples assistants vocaux traditionnels. Cette intelligence artificielle exécute des tâches élaborées telles que répéter vos achats récents ou passer une commande de café dans le café le plus proche. En évaluant chaque étape requise, l’outil organise et effectue les actions directement sur votre appareil mobile.
De plus, l’application ne se limite pas à des tâches simples. AutoGLM a également la capacité de lire les informations visibles sur l’écran et d’interagir avec l’interface utilisateur. Cela représente un gain de temps significatif. Cette avancée illustre l’essor des start-ups chinoises dans le domaine de l’intelligence artificielle générative.
Zhipu AI s’affirme comme un acteur clé sur un marché où des entreprises comme OpenAI ou Anthropic sont absentes. Ces dernières ne peuvent pas encore proposer leurs services en Chine, à cause de règles strictes imposées par le gouvernement.
Tandis que les utilisateurs chinois n’ont pas accès à ChatGPT ou aux dernières fonctionnalités d’Apple, AutoGLM se présente comme une alternative attrayante. Apple a récemment lancé son intelligence embarquée, Apple Intelligence, mais celle-ci demeure inaccessible en Chine. Zhipu AI exploite cette opportunité pour séduire un marché local avec une technologie à la pointe.
AutoGLM pave la voie à une utilisation plus fluide et intuitive des smartphones, minimisant ainsi l’effort humain dans de nombreuses tâches journalières. Cette automatisation représente un véritable confort, surtout pour ceux désirant optimiser leur temps sans compromettre leur efficacité.
Dans un environnement où le progrès technologique évolue rapidement, Zhipu AI se positionne comme un acteur essentiel. L’introduction de ces nouvelles solutions transforme les interactions numériques et pourrait redéfinir l’avenir de la gestion personnelle à travers un smartphone.
Il y a seulement deux jours, j’ai évoqué l’intelligence artificielle de Google, Jarvis, capable de naviguer sur le web, à travers Chrome, de façon autonome. Aujourd’hui, j’ai découvert qu’Anthropic a également décidé de s’engager sur ce chemin. Cette fois-ci, Claude, la version 3.5 Haiku, va s’emparer de votre ordinateur. Comment cela fonctionne-t-il ? Les réponses se trouvent dans les paragraphes suivants.
Il semble que ce soit une fonctionnalité IA qui est déjà accessible en version bêta et sur l’API de Claude AI.
Avec la version 3.5, et lors du lancement de Claude 3.5 Haiku, le chatbot d’Anthropic ne se limitera pas uniquement à fournir des réponses aux demandes des utilisateurs.
Il a maintenant la capacité d’opérer un ordinateur à notre manière. Ainsi, Claude peut déplacer le pointeur, cliquer sur une fenêtre tout en la déplaçant et entrer du texte.
Quelques mois après la lancement officiel de Claude 3.5 Sonnet, Anthropic a dévoilé la version 3.5 Haiku.
Pour tester Claude 3.5 Haiku, vous pouvez y accéder via l’API. Cependant, comme je l’ai mentionné précédemment, il reste en version bêta.
Quoi qu’il en soit, de nouvelles fonctionnalités IA viennent s’ajouter à celles déjà présentes dans la version 3.5 de Claude IA.
Deux ans après la mise sur le marché de ChatGPT, nous entrons dans une ère où l’intelligence artificielle peut manipuler un ordinateur de façon autonome.
Qui aurait cru cela… Même après des années à travailler dans le domaine de l’IA, je n’avais jamais envisagé qu’un jour, un agent IA pourrait capturer des écrans et rédiger un document sur un PC sans intervention humaine.
Anthropic déclare même que la dernière version de Claude 3.5 est capable de créer des rappels, gérer votre emploi du temps, et effectuer des recherches en ligne.
Ce qui me préoccupe, c’est de savoir si cela pose un risque pour la sécurité de mes données.
Si la dernière version de Claude AI peut contrôler votre ordinateur, il pourra certainement accéder à nos données.
Il existe donc un risque qu’il accède à nos fichiers personnels sensibles. La question que je me pose est si Anthropic a pris cette dimension en considération.
Eh bien oui, il semblerait. Jusqu’à présent, seuls les développeurs pouvaient accéder à cette nouvelle fonctionnalité via une API.
Sa disponibilité se fera donc progressivement. Tout comme OpenAI l’a fait après avoir lancé le modèle GPT-4.
Cela dit, les essais permettront à Claude de s’améliorer au fil du temps et d’atteindre le niveau de performance voulu.
Mais est-ce que cela vaut vraiment le coup ? J’attends vos retours avec impatience. N’hésitez donc pas à les partager en commentaire.
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