Même perdre peut ne pas arrêter la campagne de vengeance de Trump
Mais à la veille d’une autre élection d’une mince marge, cela vaut certainement mieux que l’alternative.
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The Diplomat, Heartstopper et Hellbound ne sont que quelques-unes des émissions que vous devez regarder sur Netflix ce mois-ci.
Lors d’un rassemblement dont l’emplacement évoquait le 6 janvier, Harris a tiré la sonnette d’alarme sur les tendances autoritaires de Trump mais a refusé de s’attarder sur le spirale de honte nationale qui s’est formée autour de lui.
MaXXXine, Furiosa et Beetlejuice ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Max ce mois-ci.
Une conversation avec John Nathan, un biographe de Yukio Mishima, qui a traduit l’histoire « From the Wilderness » dans le numéro de cette semaine.
Après huit mois, l'un des enquêteurs les plus éminents des États-Unis en matière de crypto-criminalité pourrait enfin rentrer chez lui.
Notre podcast culturel s’empare de «Miséricorde» d’Alain Guiraudie, de «L’Amour ouf» de Gilles Lellouche et de la dernière Palme d’or du Festival de Cannes, «Anora» de Sean Baker.
Sabotage. Destruction de biens. Pour Léna Lazare et ses complices, radicalisés par des années d'inaction face à la crise environnementale, ce ne sont pas des gros mots. Ce sont des actes de joie.
L’armée mexicaine ne se doutait pas à quel point il serait facile de débusquer une cible criminelle de taille. C’est dans un clip vidéo de narcocorrido que Ricardo Ruiz Velasco, connu sous le nom de « Double R », a été repéré. Ruiz aime apparemment organiser de grandes fêtes pour les chanteurs de narcocorrido, qui écrivent des ballades évoquant les trafiquants de drogue et leur métier. Il aime inviter des personnes comme Luis R. Conríquez, que les autorités présentent comme un chanteur exclusif du Cartel de la Nouvelle Génération de Jalisco. L’armée mexicaine surveillait Conríquez, selon un document divulgué par le groupe de pirates informatiques Guacamaya, et tout ce qui leur restait à faire était d’attendre la prochaine fête de Ruiz. Publicité Le 25 juin, le gouvernement a appris que Conríquez s’était rendu dans un ranch situé dans les montagnes entre les États de Jalisco et de Zacatecas, une région minée par la violence entre les cartels de drogue en guerre, selon le document qui a fuité. L’armée a découvert que Conríquez était présent à l’une des fêtes organisées par Ruiz dans un ranch privé. Pendant sa visite, Conríquez a enregistré un clip vidéo et en a publié plusieurs extraits sur son compte Instagram. L’armée mexicaine a réussi à identifier le lieu à partir des vidéos de Conríquez, mais n’a pas agi sur le moment. « Le même jour, un convoi [de narcotrafiquants] composé d’une vingtaine de véhicules blindés s’est dirigé vers un ranch à la frontière entre Jalisco et Zacatecas », indique le document. Deux mois plus tard, en août, l’armée mexicaine a tenté de capturer Ruiz. Mais ses hommes se sont défendus et ont lancé une série d’attaques à Guadalajara, ce qui lui a valu d’être libéré par les autorités, selon des reportages de l’époque. Des images partagées sur…
La France sait exporter ses bandits de fiction. Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc adapté par Netflix et porté par Omar Sy, n’est-il pas ce carton d’audience planétaire vendu par la plateforme de streaming et ses chiffres (un poil) romancés ? Un succès qui aura fini par invisibiliser les figures de la rapine hexagonales faites de chair et d’os. Ces destins de « brigands d’honneur » comme celui de Louis Dominique Cartouche qui sévit au XVIIIe siècle avec sa bande et se distingue à grands coups de braquages de diligences et de casses spectaculaires, devenant même un des premiers bandits « médiatisés » dont la courte carrière sera retracée par des chansons et des pièces de théâtre. « Cartouche, je l’ai découvert probablement comme beaucoup de gamins de ma génération, par le film de Philippe de Broca, quand il est sorti au cinéma [1962], raconte Patrick Pécherot, auteur d’un texte consacré au « prince des voleurs » dans le recueil Bandits & Brigands, (ouvrage publié aux éditions L’Échappée, dans la collection Lampe –Tempête). Pour moi, ça a été un éblouissement. Il m’est apparu dans sa forme sublimée et bondissante [incarné par Jean-Paul Belmondo] mais j’avais aussi été très sensible au changement de ton qui se produit dans le film. De la comédie picaresque de cape et d’épée au drame et cette scène finale qui laisse deviner le sort réservé à Cartouche. » Avant que ne s’abatte la masse du bourreau un jour de novembre 1721 en place de Grève à Paris, Cartouche aura multiplié les coups d’éclat, forgeant une légende qui l’accompagne encore aujourd’hui de « bandit social ». On le décrit comme un homme rusé, à l’intelligence d’Ulysse, tantôt manipulateur, acrobate, ou séducteur. Pourtant, contrairement à un de ses successeurs, Louis Mandrin, qui redistribuait assez largement le butin arraché aux collecteurs d’impôts, Cartouche ne faisait pas systématiquement ruisseler ses…
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