Pourquoi Elon Musk embrasse-t-il vraiment Donald Trump ?
Après avoir dépensé plus de cent millions de dollars pour aider Trump à être élu, Musk est sur le point de gagner beaucoup plus.
Après avoir dépensé plus de cent millions de dollars pour aider Trump à être élu, Musk est sur le point de gagner beaucoup plus.
Plus : Une “grand-mère IA” fait perdre du temps aux escrocs, un procès vise les dirigeants de la société de logiciels espions NSO Group, et des hackers liés à la Corée du Nord tentent de s’attaquer à des malwares macOS.
Sur le terrain de la campagne, le président américain entrant Donald Trump a promis de libérer le créateur de Silk Road, Ross Ulbricht, de prison s’il est réélu. Tiendra-t-il sa promesse ?
Le président élu Donald Trump a annoncé qu’Elon Musk dirigera un nouveau Département de l’efficacité gouvernementale des États-Unis (“DOGE”).
Le régime autoritaire entraîne toujours la corruption. Avec Donald Trump au pouvoir, surveillez votre porte-monnaie.
L’industrie de la crypto célèbre le retour de Donald Trump à la Maison Blanche dans l’attente d’une période plus facile sous son régime.
Le projet ambitieux de vérification d'identité Worldcoin, désormais appelé World, veut un avenir où les humains sont « vérifiés par orbe ».
PARIS HILTON ET JIMMY KIMMEL EXHIBANT LEURS PHOTOS DE BORED APES.f Début janvier, les éditeurs responsables de Wikipédia ont voté pour exclure les NFT de la liste des « œuvres d’art les plus chères réalisées par des artistes vivants », disponible sur le site. Si l’encyclopédie en ligne n’est certes pas le bastion de l’art moderne, elle reste pour beaucoup source de vérité incontestable. Ce refus de classifier les NFT en tant qu’œuvres d’art n’est donc pas resté sans conséquence, puisqu’un débat fait actuellement rage entre la communauté NFT et la multitude de personnes qui tiennent du côté des éditeurs de Wiki. Publicité Les NFT (ou non-fongible tokens en anglais) sont des certificats numériques infalsifiables qui attestent l’authenticité d’un objet virtuel, permettant de s’en assurer la propriété. Évidemment, n’importe qui pourrait faire une capture d’écran ou un clic droit et enregistrer le fichier sur son petit ordinateur, mais là n’est pas la question. L’important, c’est le fait que quelqu’un possède techniquement cet artefact numérique spécifique, quel qu’il soit. Mais au-delà de cette signification technique, c’est principalement l’interprétation culturelle d’un NFT qui diffère d’un camp à l’autre. Pour leurs partisans les plus acharnés, ces jetons sont les pierres angulaires de communautés dynamiques qui rassemblent de nombreux adeptes. On peut observer ces derniers arborer des sacs à dos à écrans pour faire défiler leurs acquisitions lors des conventions sur les cryptomonnaies, utiliser leur NFT comme photo de profil sur Twitter pour asseoir leur autorité dans le milieu, ou encore discuter sur des forums Discord très fermés et uniquement accessibles grâce à l’achat de NFT. Et puis de l’autre côté, il y a les opposants. Ceux qui n’arrivent pas à passer outre l’objective laideur de la plupart de ces « œuvres ». Publicité Il suffit de parcourir un marketplace NFT comme Nifty Gateway ou OpenSea pour se…
En septembre dernier, le Salvador est devenu le premier pays au monde à introduire le bitcoin comme devise nationale. Quelques semaines plus tard, le président Nayib Bukele (40 ans), visiblement enthousiaste par rapport à cette nouveauté, a annoncé l’arrivée d’une « Bitcoin City ». De quoi se demander si ce pays d’Amérique centrale est en avance sur son temps ou s’il s’agit plutôt d’un pari risqué lancé par un président branché. VICE est allé s’imprégner de l’ambiance qui règne à El Zonte, aussi appelé Bitcoin Beach, l’épicentre actuel de cette crypto-monnaie au Salvador. Le bus 102 s’engouffre dans les sinueuses courbes de la seule avenue qui relie l’aéroport au reste de la côte. Du reggaeton sort des enceintes du vieux bus scolaire américain et ambiance la poignée de personnes à bord. Le paysage est idyllique. À droite, des vendeurs de rue sont accoudés à d’immenses bananiers et cocotiers et, au loin, on voit des montagnes et des pics volcaniques. À gauche, le littoral surplombe l’océan Pacifique et les vagues ont de quoi vous offrir des rêves humides si vous êtes adepte de surf. Après une bonne heure et demie de route, un panneau orné d’écrits quasi prophétiques jonche le bord de la route : « Bienvenue à El Zonte, Bitcoin Beach ». Les rues non pavées et poussiéreuses sont vides, à l’exception de quelques ouvriers qui réparent les égouts et les infrastructures routières. « Il y a beaucoup de travail, me dit l’un d’entre eux, pioche à la main. La ville a attiré beaucoup plus de visiteur·ses ces derniers mois. Surtout le week-end, c’est le bordel ici. Donc on essaye de s’y prendre rue après rue. Il faut que ça fasse propre et net. » El Zonte est une petite ville de trois mille habitant·es. Elle a officieusement été rebaptisée…
Eddy Zillain avait 15 ans lorsqu’il a investi toutes ses économies, soit 12 000 dollars au total, dans des cryptomonnaies. Trois ans plus tard, il affirme qu’il avait gagné plus d’un million de dollars. Aujourd’hui âgé d’une vingtaine d’année, Zillain affiche sa vie de rêve sur Instagram, une vie remplie de Lamborghini étincelantes et de yachts luxueux qui semblent venir tout droit du Loup de Wall Street. Publicité Dans le monde des cryptomonnaies, le parcours d’Eddy est loin d’être unique. Les réseaux sociaux regorgent de crypto-millionnaires autodidactes qui promettent que tout le monde peut gagner autant qu’eux. Mais derrière les threads et les façades virtuelles, combien gagnent réellement ces « crypto bros » ? Ewan, 23 ans, raconte qu’il s’est lancé dans le trading de cryptomonnaie en mars de cette année. « Au départ, j’étais super excité. Je me renseignais beaucoup sur les crypto en général et je lisais beaucoup de white papers [un recueil d’informations techniques publié par le créateur d’une cryptomonnaie], se souvient-il. Maintenant, je ne fais plus rien de tout ça. » Ewan dit avoir investi environ 1 200 euros dans les deux principales cryptomonnaies, le Bitcoin et l’Ethereum. Actuellement, son portefeuille se situe à environ 1 600 euros, ce qui signifie qu’il a réalisé un rendement de 35 % au cours de l’année écoulée. C’est bien, mais c’est loin du million. Richard, 41 ans, décrit son expérience comme une véritable montagne russe. En 2013, après avoir investi ses 165 000 euros d’économies dans le Bitcoin, puis dans l’Ethereum, il dit être passé « de la misère à la richesse, puis de nouveau à la misère ». Aujourd’hui, il dit être à mi-chemin entre les deux. Après plusieurs hauts et bas entre 2014 et 2017, il s’est retrouvé avec 38 millions d’euros en Ethereum aux prix d’aujourd’hui. Mais pendant la pandémie, il a…
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