L’État Artificiel
Alors que la vie civique américaine est de plus en plus façonnée par des algorithmes, la confiance dans le gouvernement a chuté. Y a-t-il un moyen de revenir en arrière ?
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Woman of the Hour, Will & Harper, et Ses Trois Filles ne sont que quelques-uns des films à regarder sur Netflix ce mois-ci.
La campagne de Trump a dépeint le père du Vice-Président comme un marxiste. Il insiste sur le fait qu’il a été caricaturé.
Le journaliste originaire de Gaza a arrêté de se nourrir le 31 décembre, pour entamer ce qui est devenu son ultime recours pour alerter les autorités quant à la situation en Palestine.
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PIERRE-PHILIPPE MARCOU via AFPLe drapeau cubain brandi par le chanteur Yotuel, le 25 juillet 2021, à Madrid DIPLOMATIE – “Je tiens le gouvernement américain pour responsable”, Cuba a dénoncé ce lundi 26 juillet une attaque “terroriste” à l’aide de cocktails molotov contre son ambassade à Paris et a rendu les États-Unis responsables de l’incident. Les pompiers français ont indiqué que deux engins incendiaires ont été lancés sur la mission diplomatique cubaine, située dans le XVe arrondissement de Paris et qui a subi des dégâts mineurs. “Nous dénonçons une attaque terroriste aux cocktails molotov contre notre ambassade à Paris @EmbaCubaFrancia”, s’est indigné le ministre cubain des Affaires étrangères Bruno Rodríguez sur Twitter. Denunciamos ataque terrorista con cocteles molotov contra nuestra Embajada en París @EmbaCubaFrancia. Responsabilizo al Gobierno de EEUU por sus continuas campañas contra nuestro país que alientan estas conductas y por llamados a la violencia, con impunidad, desde su territorio. — Bruno Rodríguez P (@BrunoRguezP) July 26, 2021 “Je tiens le gouvernement américain pour responsable de ces campagnes incessantes contre notre pays qui encouragent ces comportements et des appels à la violence, en toute impunité, depuis son territoire”, a-t-il ajouté. Pour leur part, les pompiers français ont indiqué avoir été alertés de l’attaque un peu après minuit et que “les deux engins, qui ont causé des dégâts mineurs, ont été éteints avant leur arrivée”. L’incident n’a pas été revendiqué dans l’immédiat. Selon le ministère cubain des Affaires étrangères, l’attaque s’est produite à 23H45 (21H45 GMT) avec trois cocktails molotov et un départ de feu a été éteint par des fonctionnaires de la mission. Durant le week-end et lundi, des manifestations pour et contre le gouvernement cubain ont été organisées dans diverses capitales à l’occasion de la fête nationale du 26 juillet, deux semaines après les manifestations antigouvernementales qui ont secoué…
ERIKA SANTELICES via AFPPhoto prise en République Dominicaine, le 12 juillet, lors du manifestation en soutien à celles de Cuba contre le gouvernement INTERNATIONAL – Le président cubain Miguel Diaz-Canel a rendu responsable lundi 12 juillet le gouvernement américain des manifestations historiques survenues la veille, via sa “politique d’asphyxie économique”, tandis que Washington et l’Union européenne appellent au calme. À la télévision, le dirigeant communiste a assuré que son gouvernement essaie d’“affronter et de vaincre” les difficultés face aux sanctions américaines, renforcées depuis le mandat du président américain Donald Trump. “Que cherchent-ils? Provoquer des troubles sociaux”, mais aussi “le fameux changement de régime”, a-t-il dénoncé. Des accusations qualifiées de “grave erreur” par le secrétaire d’État américain Antony Blinken, ce qu’a contesté le chef de la diplomatie cubaine Bruno Rodriguez, fustigeant “le renforcement de la politique de siège économique en pleine pandémie”. Le président américain Joe Biden a lui appelé “le régime cubain à entendre son peuple” et son “appel vibrant à la liberté”, en se gardant de toute “violence” contre les manifestants. Même ton du côté de l’Union européenne, dont le chef de la diplomatie Josep Borrell a demandé “aux autorités d’autoriser ces manifestations et d’écouter le mécontentement des manifestants”. Arrivé fin 2018 à Cuba, l’internet mobile, qui a permis dimanche la diffusion en direct d’une quarantaine de manifestations anti-gouvernement à travers l’île, restait coupé lundi soir. Les rues de La Havane étaient quant à elles sillonnées par la police et l’armée, ont constaté des journalistes de l’AFP, mais le calme était revenu après les échauffourées de la veille. Plusieurs dizaines de personnes, dont des journalistes indépendants cubains, ont été arrêtées et leurs proches se pressaient lundi aux abords des postes de police pour avoir des nouvelles. “À bas le communisme” En fin de journée, une manifestation d’une centaine de personnes…
INTERNATIONAL – La tension monte. Le gouvernement cubain s’est dit prêt dimanche 11 juillet à défendre la révolution “coûte que coûte”, face à des manifestations historiques contre la “dictature”, scrutées par Washington qui a mis en garde La Havane contre tout usage de la violence. “La révolution cubaine, nous la défendrons coûte que coûte!”, a clamé sur Twitter le vice-ministre des Affaires étrangères, Gerardo Peñalver, en partageant une vidéo de partisans communistes défilant aux cris de “Je suis Fidel!” tout en brandissant des drapeaux cubains. Pris par surprise par des manifestations spontanées qui ont éclaté dans diverses villes du pays, dont la capitale La Havane, le président Miguel Diaz-Canel a donné aux révolutionnaires “l’ordre de combattre”, les appelant à “sortir dans les rues où vont se produire ces provocations, dès maintenant et dans les prochains jours”. Le gouvernement américain a réagi dès dimanche 11 juillet en mettant en garde les autorités cubaines contre tout usage de la violence à l’encontre de “manifestants pacifiques”. “Les Etats-Unis soutiennent la liberté d’expression et d’assemblée à Cuba, et condamneraient fermement tout acte de violence ou qui viserait à prendre pour cible les manifestants pacifiques qui exercent leurs droits universels”, a affirmé le conseiller américain à la Sécurité nationale, Jake Sullivan, sur Twitter. Au total, selon le site de datajournalisme Inventario, une quarantaine de manifestations, éparpillées sur tout le territoire, ont été recensées dimanche. La plupart ont été diffusées en direct sur les réseaux sociaux, dans ce pays où l’arrivée de l’internet mobile fin 2018 a porté les revendications de la société civile. A partir de la mi-journée, l’accès à la 3G a d’ailleurs été coupé dans une grande partie du pays. Il n’a été rétabli qu’en milieu de soirée. “Nous avons faim” “Cuba n’est pas à vous!”, criait notamment une foule rassemblée face à des…
YAMIL LAGE via AFPPlus de 92% d’efficacité pour le vaccin anti-Covid cubain, selon le labo qui l’a mis au point CORONAVIRUS – Le candidat-vaccin Abdala développé par Cuba contre le coronavirus, le premier créé en Amérique latine, affiche une efficacité de 92,28% contre la maladie, a annoncé lundi 21 juin le laboratoire qui l’a mis au point. “Abdala, candidat-vaccin de Cuba du CIGB, montre une efficacité de 92,28% au bout de trois doses”, a annoncé sur Twitter le groupe pharmaceutique d’État BioCubaFarma, dont dépend le Centre d’ingénierie génétique et biotechnologique (CIGB). Abdala, en phase finale d’essais cliniques, doit recevoir l’autorisation officielle des autorités cubaines fin juin ou début juillet. La nouvelle a été annoncée en personne au président cubain Miguel Diaz-Canel, qui s’est ensuite félicité sur Twitter: “Frappés par deux pandémies (le Covid et le blocus), nos scientifiques de l’institut Finlay et du CIGB ont surmonté tous les obstacles et nous ont donné deux vaccins très efficaces: Soberana 2 et Abdala”. Premiers vaccins d’Amérique latine Samedi, l’institut Finlay de vaccination avait annoncé que son candidat, Soberana 2, affiche une efficacité de 62% après l’injection de deux de ses trois doses. C’est un résultat “réconfortant” car il prend en compte les variants qui circulent déjà dans le pays caribéen, avait déclaré à la presse locale Vicente Verez, directeur de l’institut. Ce candidat doit aussi recevoir le feu vert officiel d’ici peu. Leur prochaine approbation fera d’eux les premiers vaccins anti-coronavirus développés et produits en Amérique latine, même si les chercheurs ont dénoncé à plusieurs reprises les difficultés rencontrées en raison de l’embargo américain en vigueur depuis 1962 et renforcé sous l’administration Trump. Le gouvernement cubain aspire à ce qu’en août 70% des 11,2 millions d’habitants soient vaccinés, et toute la population avant la fin de l’année. En raison de l’embargo, Cuba a…
POLITIQUE – Il s’agit de son son dernier jour à la tête du Parti communiste de Cuba: Raul Castro, 89 ans, laisse place ce lundi 19 avril à une nouvelle génération, un moment historique après six décennies de pouvoir des frères Castro, mais qui ne change en rien la ligne politique. “J’ai la satisfaction de savoir que l’on remet la direction du pays à un groupe de dirigeants préparés”, qui défendent les “principes de la Révolution et du socialisme”, a-t-il lancé vendredi en ouvrant le congrès du parti à La Havane, baptisé “congrès de la continuité”. Le président Miguel Diaz-Canel, 60 ans, devrait prendre sa relève comme premier secrétaire du parti unique, poste le plus puissant à Cuba, l’un des cinq derniers pays communistes au monde avec la Chine, le Vietnam, le Laos et la Corée du Nord. Le passage de témoin survient à un moment critique pour l’île, plongée dans sa pire crise économique en 30 ans sous l’effet de la pandémie de coronavirus et du renforcement de l’embargo américain imposé depuis 1962. Pour l’immense majorité des 11,2 millions de Cubains, le changement est un symbole fort car ils n’ont jamais connu qu’un Castro – Fidel, puis son frère Raul – aux manettes. “Moi, depuis que je suis né, je ne connais qu’un seul parti”, confie Miguel Gainza, artisan de 58 ans croisé dans le quartier historique de La Havane. “Et personne ne meurt de faim, c’est vrai”. Mais aujourd’hui, “on est un peu coincés, et c’est dommage que Fidel soit mort car lui, si, réglait tous les problèmes”. “Gérer un pays” Dimanche, les 300 délégués du parti (700.000 membres officiellement) ont élu le nouvel Comité central, organe de direction composé de 114 personnes. Lundi, ces dernières désigneront à leur tour le Bureau politique, coeur du pouvoir qui compte actuellement 17…
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