“Emilia Pérez” est une comédie musicale peu curieuse sur un seigneur de la drogue trans.
Les performances de Karla Sofía Gascón et Zoe Saldaña apportent énergie et émotion, mais le film ne va jamais au-delà de ses surfaces tape-à-l’œil.
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ULTIMA IMPERO, TURIN. OUVERTURE : DÉCEMBRE 1992. FERMETURE : 2010. APRÈS TROIS ANNÉES DE CONSTRUCTION, LE CLUB A ÉTÉ INAUGURÉ AVEC UN DJ SET RÉUNISSANT LES ARTISTES ITALIENS LES PLUS EN VOGUE DE L’ÉPOQUE, DONT PIETRO VILLA, CLAUDIO COCCOLUTO, CLAUDIO DIVA, STEFANO SECCHI ET MANUEL BAGNOLI. PHOTO : ELSA MANCINI Source
gilaxia via Getty ImagesLes boîtes de nuit fermées 3 semaines de plus en janvier CORONAVIRUS – Fin du suspense pour les quelque 1600 discothèques de France. Fermées pour un mois début décembre pour faire face à la situation sanitaire, leurs portes resteront closes trois semaines supplémentaires en janvier, a déclaré ce mercredi 29 décembre le ministre délégué chargé du Tourisme et des PME, Jean-Baptiste Lemoyne. “Le 3 janvier comme les autres secteurs qui ont été annoncés par le Premier ministre, pour trois semaines il y aura la reconduction de la fermeture qui les concernait”, a annoncé Jean-Baptiste Lemoyne sur France Inter, levant enfin le doute qui persistait sur les boîtes de nuit depuis les annonces de lundi soir de Jean Castex concernant d’autres secteurs. La fermeture initiale des boîtes de nuit courait jusqu’au 6 janvier, mais il semblait peu probable qu’elles rouvrent à cette date, depuis que le gouvernement a annoncé qu’à partir du 3 janvier, les concerts debout seraient interdits, tout comme la consommation debout dans les bars et les cafés. Pour autant, le gouvernement n’avait jamais confirmé la prolongation de la fermeture des clubs jusqu’à l’intervention du ministre à la radio. Retour des jauges pour les grands rassemblements Sans aller jusqu’au couvre-feu le 31 décembre – au grand soulagement des professionnels –, le chef du gouvernement a aussi annoncé un retour des jauges pour les grands rassemblements, fixées à 2000 personnes en intérieur et 5000 en extérieur, et le recours obligatoire au télétravail dans les entreprises lorsqu’il est possible. Ont aussi été interdites les consommations d’aliments et de boissons dans les cinémas, théâtres, équipements sportifs et transports collectifs. Une concertation est prévue dans les jours à venir avec le ministère de l’Économie sur les aides à venir pour toutes les entreprises dont l’activité est soumise à des restrictions….
Yagi Studio via Getty ImagesUn foyer épidémique de contamination au covid-19 a été détecté dans une discothèque de Lille: 78 personnes ayant fréquenté les lieux autour du 14 juillet se sont désormais déclarées positives. FERMETURE – C’est une des sanctions prévues par la loi du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Une discothèque d’Eure-et-Loir, le “6711”, a été fermée samedi 21 août pour “non-application du pass sanitaire”, révèle France Bleu Centre Val de Loire. L’établissement de nuit, soumis à la présentation du QR code, restera fermé pour une durée de sept jours, soit jusqu’au vendredi 27 août inclus, sur décision de la préfecture. France Bleu précise que les autorités avaient déjà remarqué des “manquements identiques” lors de contrôles de police effectués les 31 juillet et 13 août derniers. Il s’agirait de la première fermeture administrative d’une discothèque pour ce motif dans le département. “Le passe sanitaire reste notre meilleure arme pour éviter des clusters et une flambée de l’épidémie, a assuré la préfète d’Eure-et-Loir Françoise Souliman. Je n’ignore pas les contraintes qu’impose sa mise en œuvre, mais c’est la condition pour éviter de refermer les activités économiques, culturelles ou de loisirs”. La préfète entend se montrer ferme contre les établissements qui ne contrôleraient pas le pass sanitaire: “Lorsque, de manière répétée, un gérant se met dans l’illégalité au mépris de la santé de ses clients et de ses salariés, je n’hésiterai pas à faire usage de l’ensemble des moyens à ma disposition pour faire cesser de tels comportements irresponsables”, abonde-t-elle. Des clusters identifiés Mi-juillet, deux foyers de contaminations au Covid-19 avaient été identifiés dans des discothèques situées dans l’est de la France avec, à chaque fois, plusieurs dizaines de personnes touchées. Interrogé sur BFMTV le 23 juillet dernier, le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy estimait…
Pal Szilagyi Palko / EyeEm via Getty Images CORONAVIRUS – Deux foyers de contaminations au Covid-19 ont été identifiés dans des discothèques situées dans l’Est de la France, avec à chaque fois plusieurs dizaines de personnes touchées, a-t-on appris ce vendredi 23 juillet auprès des autorités sanitaires. Au Discopolis de Charmes, dans les Vosges, “un cluster au variant indien a été détecté parmi les habitants du secteur. Le contact tracing effectué par l’Assurance Maladie a permis d’identifier 44 personnes”, dit un communiqué de la préfecture et de l’Agence régionale de Santé (ARS) du Grand Est. Les personnes touchées ont été contaminées au cours de trois soirées, les 13, 16 et 17 juillet, et les chiffres pourraient encore augmenter puisque 1000 cas contacts ont été identifiés, selon l’ARS. Pas moins de 4000 personnes ont fréquenté l’établissement ces soirs là, relaie Vosges Matin et Le Journal de Saône-et-Loire. Par ailleurs, à Mathay, dans le Doubs, 66 personnes ont été testées positives après également trois soirées les 13, 16 et 17 juillet au Cario Club, a indiqué de son côté l’ARS Bourgogne Franche-Comté. L’établissement a d’ores et déjà fermé ses portes, a précisé la préfecture du Doubs. Le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, interrogé vendredi matin par BFMTV, a estimé qu’il était “dangereux” en termes épidémiques de fréquenter les boîtes de nuit, rouvertes avec pass sanitaire, assurant qu’elles avaient dans plusieurs pays, notamment aux Pays-Bas, été à l’origine de pic de contaminations. A Bordeaux, 81 personnes ont été testées positives après trois soirées techno organisées mi-juillet dans un club de la ville alors que des témoignages sur les réseaux sociaux ont mis en doute le respect des contrôles sanitaires. À voir également sur Le HuffPost: La vaccination bientôt obligatoire pour entrer dans les discothèques britanniques Source
FESTIVITÉS – 14 mars 2020 – 9 juillet 2021. Après seize mois de fermeture totale pour raisons sanitaires, les discothèques peuvent enfin rouvrir à partir de ce vendredi. Mais avant de programmer votre soirée, vérifiez que votre piste de danse préférée sera bien accessible. Car même si le désir de retrouver les clients est là, une (grande) partie des boîtes de nuit gardera portes closes cet été. Ils se présentaient comme “les oubliés” des déconfinements. Aussi, lors de l’annonce du calendrier et des consignes de réouverture, les principaux syndicats des établissements de nuit s’étaient pourtant dits soulagés: “Le protocole sanitaire des discothèques est à la hauteur des attentes du plus grand nombre”, écrivaient dans un communiqué commun le Groupement national des indépendants de l’hôtellerie restauration (GNI) et l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH) qui ont participé aux discussions avec le gouvernement. Le bémol, lâché à demi-mot, venait juste après: “Il appartient maintenant à chaque exploitant de discothèques d’apprécier sa capacité à ouvrir son établissement dans le respect du protocole sanitaire et de son équilibre économique et financier.” Auprès du HuffPost, Laurent Lutse, Président UMIH Cafés, Brasseries, Établissements de Nuit, précise qu’environ “30-35%” de boîtes de nuit semblent décidées à rouvrir dès le 9. Un chiffre revu légèrement à la baisse par Patrick Malvaës, président du Syndicat National des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), qui mise lui sur seulement “20-25%” d’établissements rouverts, conséquence d’un protocole “trop lourd de gestion”. “Beaucoup de choses à vérifier” à l’entrée Les potentielles complications apparaissent avant même de mettre un pied sur la piste. Pour entrer dans une boîte de nuit en 2021, les fêtards devront montrer patte blanche, notamment grâce au pass sanitaire (schéma vaccinal complet ou test négatif de moins de 48heures.) Pour les clients, cela revient simplement à présenter le résultat de…
Fontyn Christophe / EyeEm via Getty ImagesLe Conseil d’État a jugé que le maintien de leur fermeture n’était “pas disproportionné”(image d’illustration) DÉCONFINEMENT – Débouttés, une fois de plus. Le Conseil d’État a rejeté ce vendredi 21 mai deux référés-libertés déposés par des exploitants de discothèques qui demandaient leur réouverture d’ici au 30 juin, jugeant que le maintien de leur fermeture n’était “pas disproportionné”. L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) et le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL) réclamaient notamment que les discothèques, privées de date de réouverture, soient intégrées “en urgence” au plan de déconfinement du gouvernement. Leurs requêtes “sont rejetées”, a tranché vendredi la plus haute juridiction administrative, estimant que “le maintien de la fermeture (…) et l’existence d’une interdiction de circuler entre 21H00 et 6H00 à compter du 19 mai 2021 n’apparaissent pas disproportionnés” au regard de la situation sanitaire du pays. “La fermeture prolongée, depuis le 14 mars 2020, des discothèques et des établissements de nuit porte une atteinte grave à certaines libertés fondamentales (…) et présente pour le secteur et à titre individuel pour chacun des intéressés des conséquences majeures, financières autant qu’humaines”, ont reconnu les juges. Mais “la situation épidémiologique sur le territoire métropolitain demeure préoccupante”, ont-ils ajouté, relevant un “risque inhérent à l’activité qui est pratiquée dans les établissements de nuit, qui sont des espaces clos, incluant des contacts physiques rapprochés”. Les patrons de clubs s’estiment discriminés Les exploitants de discothèques avaient plaidé leur cause mercredi devant le Conseil d’État, le jour où restaurants et bars rouvraient leurs terrasses ― où les contagions sont jugées bien moins probables qu’en intérieur. Et alors que des concerts-tests vont avoir lieu fin mai et que les mariages reprendront avec des jauges et un couvre-feu à 21H00 le 9 juin, puis librement à…
King Lawrence via Getty Images/Tetra images RF (photo d’illustration: une boîte de nuit vide) CORONAVIRUS – Elles sont considérées comme les “oubliées” du déconfinement. Alors que le calendrier de la réouverture des commerces, des bars, cafés, restaurants, des salles de sport ou encore des lieux culturels a été annoncé il y a quelques semaines, une quinzaine d’élus demandent au gouvernement de rouvrir les discothèques dès le 30 juin prochain. Dans une tribune publiée dans Le Parisien ce dimanche 16 mai, la quinzaine d’élus, parmi lesquels Franck Louvrier, maire de La Baule-Escoublac, Jean-Pierre Giran, maire d’Hyères, Valérie Grozzi, maire de Grosseto-Prugna-Porticcio ou encore Maider Arosteguy, maire de Biarritz, pointent du doigt la “situation financière” des discothèques qui se “dégrade de façon critique”. “Un drame pour toute une profession, mais aussi pour les Français et leur envie de pouvoir faire la fête”, écrivent-ils. “Sans voies alternatives, des fêtes sauvages feront inévitablement leur apparition” En effet, les discothèques sont fermées depuis le 16 mars 2020, au début du premier confinement, et selon le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), au moins 400 clubs sur les 1654 présents en France vont disparaître. “Le déconfinement et l’après exigent de recréer une activité économique régulée, du lien social, des rencontres, mais aussi du divertissement”, écrivent les élus. “C’est pourquoi, en tant qu’acteurs du bien-être des Français, étant au plus près de leurs besoins et de leurs attentes, nous dénonçons l’idée selon laquelle nous pourrions reprendre une vie normale dans une France sans ces clubs, au risque que ce besoin festif qu’ils incarnent aille s’assouvir de façon sauvage et anarchique ou encore hors de nos frontières”. Et d’abonder: “Et, à la catastrophe économique, risque de s’ajouter le désordre et le risque sanitaire. Car sans voies alternatives, des fêtes sauvages et désorganisées feront inévitablement leur apparition”….
AFPJusqu’à 15.000€ d’aides par mois mais toujours pas de réouverture pour les discothèques (photo d’illustration) CORONAVIRUS – 50 millions pour 1600 entreprises. Le ministre délégué aux PME, Alain Griset, a annoncé ce vendredi 24 juillet des aides financières pour les discothèques, fermées depuis quatre mois pour cause de pandémie de coronavirus. Elles exhortaient le gouvernement à lui octroyer un “plan de sauvetage”. À l’issue d’une réunion avec les représentants du monde de la nuit, le ministre a confirmé qu’“il n’y a pas de date prévue de réouverture” des établissements du secteur, tout en dévoilant un dispositif de prise en charge des frais fixes des établissements festifs. Les loyers, factures d’eau et d’électricité et autres frais seront pris en charge à hauteur de 15.000 euros par mois maximum, pendant trois mois, au lieu de 5.000 euros initialement prévus dans les dispositifs d’aides aux entreprises menacées de faillite. Prévenir les risques de fermetures “Ce plafond couvre les charges d’environ 85% à 90% des établissements du monde de la nuit”, a précisé Alain Griset à la presse. Le ministère évalue le coût total de la mesure à 50 millions d’euros pour 1600 entreprises concernées. À partir du 10 septembre, les établissements du monde de la nuit bénéficieront de dérogations pour avoir accès aux aides du fonds de solidarité aux entreprises, mis en place pour faire face à la crise économique causée par le Covid-19. Les critères de chiffre d’affaires, de nombre de salariés, de perte de revenus ne s’appliqueront plus aux entreprises de ce secteur afin “de ne pas avoir de risque de fermetures d’entreprises”, a précisé Alain Griset. Les représentants du secteur, le Groupement national des indépendants hôtellerie et restauration (GNI-HCR), l’association française des exploitants de discothèques et dancings (AFEDD), l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) et le Syndicat national…
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