Pour conserver la génération Z, les entreprises doivent évoluer
Les vieux schémas de pouvoir et de contrôle ne suffiront pas à retenir les talents de la génération Z. Les employeurs doivent plutôt s'inspirer de Roblox.
Les vieux schémas de pouvoir et de contrôle ne suffiront pas à retenir les talents de la génération Z. Les employeurs doivent plutôt s'inspirer de Roblox.
James Hardy via Getty Images CORONAVIRUS – En avril 2020, en pleine première vague de coronavirus, le réseau Obépine voyait le jour. Son rôle? Analyser les traces de virus dans les eaux usées pour anticiper les rebonds de l’épidémie. Un an et demi plus tard, son utilité est reconnue de tous. Pourtant, il est voué à disparaitre, a rapporté France Inter ce 23 décembre. À son lancement, Obépine pouvait compter sur une trentaine de stations d’épurations pour fournir sa matière première. Interrogé par Le Huffpost à cette époque, Sébastien Wurtzer, microbiologiste virologue à Eau de Paris, estimait qu’avec une centaine d’agences, Obépine pourrait “couvrir 50% de la population française en temps réel ou presque”. Dix-huit mois plus tard, les scientifiques travaillent avec environ 150 stations. Parce qu’elles permettent de prédire avec une certaine exactitude l’évolution de l’épidémie, les données du réseau Obépine sont précieuses. “Source d’information efficace, rapide et fiable”, notait même la Commission européenne le 17 mars dans une recommandation pour une “approche commune” basée en partie sur cette surveillance. Sum’Eau, le remplaçant qui se fait attendre Mais ce constat européen a eu une conséquence imprévue: la fin d’Obépine, au profit de Sum’Eau, un organisme national confié à la Direction générale de la Santé, avec le soutien de Santé Publique France, précise France Inter. Sur le papier, Obépine devait donc s’arrêter courant 2021, et Sum’Eau aurait dû prendre le relai. Toutefois, la nouvelle organisation a dû mal à se mettre en place. “Le dispositif Sum’eau, d’après ce qu’on entend dire officieusement, ne pourrait être lancé que durant l’été 2022”, explique au micro de la radio le co-fondateur d’Obépine Vincent Maréchal. Face à ce retard, le ministère de la Santé a dû revoir son calendrier, et octroyer une rallonge budgétaire pour qu’Obépine poursuive ses activités jusqu’au 31 janvier 2022. Les fondateurs…
Les humains ont toujours eu tendance à jeter plus ou moins tout ce qui leur tombe sous la main. Des disques d’argile de la Grèce antique aux simples cailloux de rivière, il n’y a pas un homme qui n’ait pas essayé de lancer une pierre aussi loin que possible. Et maintenant, grâce à l’avènement des réseaux sociaux et de la vidéo, nombre d’entre eux peuvent enfin montrer leur « talent » à des millions de personnes. Publicité Il suffit d’aller sur YouTube pour trouver quelques hommes excités à l’idée de lancer une voiture ou un distributeur automatique d’une hauteur de quelques dizaines de mètres, juste pour rire. Sur TikTok, pendant ce temps, plusieurs centaines de types s’amusent à lancer des pierres depuis un pont, et le hashtag #ThrowingRocks a accumulé plus de 4 millions de vues. La plupart de ces vidéos sont identiques : on voit un mec crispé qui vacille sous le poids d’un rocher et tente de le jeter dans l’eau depuis le haut d’un pont. Les commentaires sont pleins d’éloges de la part d’autres hommes qui partagent leurs observations sur la performance – « le meilleur truc que j’ai vu de la journée », « c’est mieux que la drogue », « refais-le ». Dans l’une des vidéos les plus populaires sur TikTok, @jayteeemm lance une dalle d’environ 69 kilos dans une rivière verdâtre. La vidéo a été vue par plus de 48 millions de personnes et les réactions – les fameux duos – semblent provenir essentiellement de la gent masculine. Quand Phoenix, une jeune femme de 25 ans, a publié une vidéo d’elle en train de lancer une pierre, elle a remarqué une augmentation du nombre d’hommes parmi ses abonnés. « Mes posts et mon contenu étaient plutôt adaptés aux femmes et à la communauté queer, mais je tenais à faire une vidéo positive et…
SPORT – Merci, mais non merci. Cristiano Ronaldo, venu vanter le “potentiel énorme” de l’équipe du Portugal pour cet Euro-2021, n’a pas apprécié de voir du Coca-Cola trôner devant son micro en conférence de presse ce lundi 14 juin. À la veille de son entrée en lice dans la compétition, face à la Hongrie à Budapest, CR7 a retiré les bouteilles de soda et les a placées hors du champ des caméras en soulevant ensuite une bouteille d’eau pour bien faire passer son message. “De l’eau, pas du Coca”. Na coletiva de imprensa da seleção de Portugal hoje, Cristiano Ronaldo se incomodou com duas garrafas de Coca na frente dele. São patrocinadores. Ele retirou as duas garrafas, pegou uma de água e disse: ‘bebam água. Não Coca-Cola.’ Portugal estreia amanhã, 13h, contra a Hungria pic.twitter.com/nyWuHT5Bic — Doentes por Futebol (? JÁ!) (@DoentesPFutebol) June 14, 2021 La discipline diététique de Ronaldo n’est pas un secret, le joueur ayant déjà expliqué publiquement qu’il était particulièrement à cheval sur la consommation de produits très gras ou très sucrés. Fin décembre 2020, lors des Globe Soccer Awards à Dubaï, il expliquait notamment tenir cette même ligne au sein de sa propre famille qui compte quatre enfants. “Il m’arrive d’être dur (avec ses enfants, ndlr), quand je vois qu’on boit du Coca-Cola ou du Fanta, cela m’énerve. Je me bats quand ils mangent des chips ou des frites. Ils savent que ça ne me plaît pas”, expliquait-il alors. Il semble donc logique le père de famille continue de montrer l’exemple devant les caméras pendant l’un des événements sportifs les plus attendus de 2021, même si ça signifie se mettre à dos un sponsor majeur. A voir également sur Le HuffPost: Le conseil des ministres de Wallonie est allé très loin pour soutenir à la Belgique à l’Euro Source
FAID SOUHAILI via Getty ImagesL’eau sera coupée une nuit par semaine à Mayotte en raison de la pénurie MAYOTTE – L’eau sera coupée à Mayotte “une nuit par semaine, de 16h à 6H00”, à partir de la semaine prochaine, pour anticiper la pénurie d’eau qui s’annonce, a annoncé le préfet du territoire sur le média Mayotte la 1ere. “A la fin de la semaine prochaine, nous fermerons l’eau toutes les nuits, un jour par semaine, sur l’ensemble du territoire, de 16h à 6h”, a expliqué le préfet Jean-François Colombet. Mais “si ce n’est pas suffisant, à la fin septembre, nous couperons 24h par semaine, une fois par semaine”, afin “d’atteindre la saison des pluies”, qui arrive normalement en décembre, a-t-il ajouté. Sécheresse exceptionnelle et attente de la saison des pluies En 2017, Mayotte avait connu une grave crise d’approvisionnement en eau à cause d’une sécheresse exceptionnelle et de l’arrivée tardive de la saison des pluies. Des “tours d’eau” pour économiser l’eau avaient notamment été mis en place au sud de Grande Terre de décembre 2016 à avril 2017. L’essentiel (79%) de l’alimentation en eau potable de Mayotte provient de deux retenues collinaires au nord et au centre. Généralement, la saison des pluies permet de remplir les deux retenues, mais fin décembre 2016, faute de précipitations, les deux retenues étaient quasiment vides. Un plan “urgence eau”, d’un montant de 25 millions, avait été mis en place par l’Etat, prévoyant notamment l’interconnexion des deux retenues collinaires, la réhabilitation de campagne de forages, une deuxième usine de désalinisation et une troisième retenue. Une augmentation du nombre d’abonnés au réseau Le plan “a permis un gain de 1,2 million de m² d’eau, mais ça n’est pas suffisant”, a reconnu le préfet. Notamment en raison de l’augmentation chaque année du nombre d’abonnés au réseau (+1000 à 1400 abonnés…
Propluvia, ministère de la Transition écologiqueLa carte des départements de métropole concernés par des restrictions d’eau au 8 août 2020. SÉCHERESSE – La France doit faire face à un épisode de canicule et à une période de sécheresse prolongée, particulièrement problématique pour certains agriculteurs, la faune et la flore. Le manque d’eau augmente également les risques d’incendies et oblige des “pêches de sauvetage” pour déménager plusieurs espèces de poissons menacées par le tarissement des rivières. Face à cette situation, des restrictions d’eau et de son usage sont désormais en vigueur dans 72 départements touchés à des degrés divers, comme vous pouvez le voir dans la carte du ministère de la Transition écologique en tête d’article. Ils n’étaient que 53 fin juillet. Seuls les prélèvements “permettant d’assurer l’exercice des usages prioritaires y sont autorisés (santé, sécurité civile, eau potable, salubrité)”, précise le ministère. Une large partie du centre et de l’Est de la France est concernée. Dans cette région, la rivière Le Doubs est notamment très asséchée, obligeant à la capture des poissons, à l’épuisette ou à l’aide d’électrodes pour les endormir. Ils sont ensuite transvasés dans de grandes cuves d’eau oxygénée et relâchés dans des eaux plus profondes et plus fraîches. “Il faut qu’on trouve des solutions” “Encore quelques années comme ça et on récupérera de plus en plus de poissons, explique à France 3, Gérard Mougin, président de la fédération de pêche du Doubs. Il faut qu’on trouve des solutions pour protéger la faune et la biodiversité.” Une autre chercheuse à l’Université de France-Comté alerte, elle, de son côté sur la mort prématurée de certains arbres. « Les arbres meurent à une vitesse incroyable », alerte Carole Begeot, chercheuse au laboratoire Chrono-environnement de l’Université de Franche-Comté. La Maître de Conférences détaille les conséquences des fortes chaleurs sur la biodiversité.https://t.co/a5zL0jLQF2 — France 3…
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