Pourrait le Steampunk nous sauver ?
Un sous-genre de science-fiction qui semble bizarre offre des leçons utiles sur la gestion de la technologie dans une époque d’accélération.
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La plateforme de blogging Medium fait face à un afflux de contenu généré par l’IA. Le PDG Tony Stubblebine dit que cela “n’a pas d’importance” tant que personne ne le lit.
Les téléspectateurs peuvent profiter des événements enregistrés avec Rachel Maddow, Atul Gawande, Liz Cheney, Sara Bareilles, et d’autres.
Une conversation avec John Nathan, un biographe de Yukio Mishima, qui a traduit l’histoire « From the Wilderness » dans le numéro de cette semaine.
Du gore importé aux images effrayantes, ces films vous mettront certainement dans l'ambiance des fêtes.
Tony Tulathimutte, auteur de Rejection, scrute l'âme du désordre millénaire comme personne d'autre ne le fait.
Même de nombreux critiques les plus sévères de Benjamin Netanyahu ont soutenu la campagne militaire à Gaza. “Nous voyons une guerre différente de celle que vous voyez,” déclare l’écrivain Yossi Klein Halevi.
Un film remarquable est-il simplement un film qui a presque été, si ce n’est mauvais ou raté, du moins étrange ? La sensation de sa grandeur n’est-elle pas celle d’une étrangeté devenue évidence ? Une perception d’un monde improbable et pourtant indiscutable ? Un univers qui n’existe pas mais qui, durant deux heures, se transforme en ce qui est unique, notre monde en somme ? Les protagonistes du dernier long-métrage d’Alain Guiraudie sont peu nombreux. Les décors, eux, sont ceux d’un hameau du Gard, comprenant une maison, une ferme, une église et une forêt : rien de bien extraordinaire. La dramaturgie est sommaire : chaque fois que Jérémy, de retour à Saint-Martial pour les funérailles de son ancien patron, sort se promener, il croise une connaissance. Sans explication aucune : chacun apparaît simplement au détour d’un bois, au bord d’un lit ou à la croisée d’une route. On pourrait presque croire que l’on assiste à une comédie de boulevard, les sous-bois et les automobilistes remplaçant juste les placards. Les mêmes scènes se reproduisent, autour d’une table pour l’apéritif ou dans les bois pour la récolte des cèpes. À l’identique ou presque. Lorsqu’un corps disparait, l’enquête policière se déroule avec apathie et même complaisance : à la place de la police, n’importe quel observateur aurait rapidement identifié le coupable. Les dialogues oscillent entre sagesse rurale et réflexions métaphysiques. C’est que l’un des personnages est prêtre, mais d’une manière étrange : demandant à ce qu’on le confesse – au lieu de l’inverse – et tenant des discours excentriques sur le besoin de la violence dans ce monde. La cause guiraudienne a toujours tourné autour du désir. Elle l’est plus que jamais dans Miséricorde. La liberté de Guiraudie, bien sûr, qui depuis un quart de siècle a habitué son public à emprunter des chemins peu conventionnels. Des chemins cinématographiques mais aussi littéraires,…
Depuis trente ans, le cinéaste, ancien militant communiste, ancre la plupart de ses films à la campagne, avec des personnages de tous âges et de toutes sexualités. Son dernier film, «Miséricorde», un polar tragique dans les Cévennes, est en salles depuis mercredi. Alain Guiraudie est l’invité d’«À l’air libre».
Le romancier Howard Jacobson a soutenu qu’une trop grande couverture médiatique des enfants palestiniens morts est une nouvelle forme de “calomnie du sang” contre les Juifs.
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