C’est après mon divorce que j’ai compris les limites de l’éducation bienveillante – BLOG
ÉDUCATION – Aujourd’hui on va parler éducation bienveillante… Mais pas comme d’habitude, on va parler des limites, des injonctions, du trop-plein en fait… De tout ce dogme qui devient une charge mentale en plus pour nous parents, et plus particulièrement pour les mamans, je pense, et dans mon cas les mamans solos. Comme vous le savez peut-être je n’ai pas eu une enfance et une adolescence facile, et lorsque je suis tombée enceinte de doucette (ma fille, NDLR) j’avais très peur de reproduire ce que j’avais vécu, alors j’ai lu, j’ai lu les livres d’Isabelle Filliozat (qui sont très bien!!), j’ai lu des blogs, j’ai commencé à suivre des comptes Instagram traitant d’éducation bienveillante, je me suis mis une pression de ouf, perdant toute spontanéité dans ma parentalité au passage pour finir par faire… Un burn out maternel! Nuancer et s’adapter Je ne remets pas en cause ce que des gens comme Filliozat on écrit (enfin pas totalement), mais je pense qu’il faut nuancer et s’adapter à chaque situation aussi… Ce que je remets complètement en cause par contre ce sont ces comptes Instagram vendant littéralement des coachings en parentalité, en n’ayant aucune formation quelconque, parfois même pas d’enfants et juste des études en marketing! Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffingtonpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. Et puis l’année dernière j’ai divorcé, je me suis retrouvée seule avec mes deux petits, seule avec mon burn out et seule avec toutes ces injonctions que je recevais: “Ce serait moi, ils auraient déjà eu une déculottée”; “Non, mais dire non, c’est une VEO”; “Tu n’es pas assez sévère, ils te bouffent”; “Tu es…